Vaccination

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Introduction

La vaccination est un procédé visant à introduire un agent extérieur appelé vaccin dans un organisme vivant. Cela devait créer une réaction immunitaire alors qu'il existe des capacités du corps à s'auto immuniser sans ceux-ci. Le vaccin est un produit commercial générant d'énormes bénéfices aux fabricants, il est chimique ou organique appelé antigène destiné à stimuler les défenses naturelles de l'organisme (le système immunitaire). Les défenses immunitaires « stimulées » par le vaccin sont censées prévenir une attaque de l'agent pathogène pendant une durée pouvant varier d'un vaccin à l'autre, l'histoire démontre que ceci est totalement faux et que les maladies n'ont pas besoin des vaccins pour disparaître.

Réalité historique de l'hérésie vaccinale

Dès le XIe siècle, les Chinois pratiquaient la variolisation : il s'agissait d'inoculer une forme qu'on espérait peu virulente de la variole en mettant en contact la personne à immuniser avec le contenu de la substance suppurant des vésicules d'un malade.

Déjà, les résultats restaient aléatoires et risqués, pourtant la pratique s'est progressivement diffusée le long de la route de la soie. Elle a été importée depuis Constantinople en occident au début du XVIIIe siècle.

Le Quid attribue la découverte de la vaccination, en 1798, au médecin anglais Edward Jenner (1749-1823). Celui-ci a pourtant acheté son diplôme de médecine 15 livres sterling (source: "sanctity of human blood"), il entend parler d'une croyance populaire selon laquelle attraper la variole des vaches préserverait de la forme humaine. Le 14 mai 1796, il inocule un enfant du pus prélevé sur la main d'une fermière infectée par la vaccine, ou variole des vaches, qui était présente sur les pis de la vache. Trois mois plus tard, il inocula la variole à l'enfant qu'il décrète immunisé sans autres formes de vérification. Cette pratique alors se répand progressivement dans toute l'Europe et se révèlera catastrophique.

Le mot "vaccination" vient du latin "vacca" qui signifie "vache".

Le principe d'action de la vaccination a été récupéré bien plus tard par Louis Pasteur qui n'est pas médecin et entend profiter des possibilités commerciales en utilisant ses collaborateurs Roux et Duclaux, suite aux travaux de Robert Koch mettant en relation les microbes et les maladies et du savant Bechamps. Sa première tentative de vaccination fut la vaccination d'un troupeau de moutons contre le choléra le 5 mai 1881. On sait aujourd'hui que le choléra dans un verre d'eau ne résiste pas à un jus de citron! La première vaccination humaine (hormis la vaccination au sens originel de Jenner) serait celle d'un enfant contre la rage le 6 juin 1885 ce qui est historiquement faux.

Pasteur lui-même le supposé découvreur des vaccins ne s'est jamais vacciné. Pasteur n'était pas médecin. Edward Jenner (1749-1823); avait décrété avoir obtenu le vaccin de la variole sans autre forme, 100 ans auparavant; il avait vacciné son aîné qui en est mort, il n'a jamais vacciné ses autres enfants du coup. Il s'est cependant administré sa trituration vaccinale lui aussi (Jenner) et a vu sa santé dépérir et ne s'est jamais remis tout à fait. Tout en sachant par la statistique que la vaccination causait plus de maladies que le contact avec la maladie lui-même, ces pseudo savants (en mal de fortune) ont caché volontairement les résultats du mieux qu'ils ont pu, jusqu'à la mise à l'abri de leurs fortunes personnelles. Encore et toujours le leitmotiv implique d'autres causes que l'inefficacité vaccinale. C'était facile en ces temps reculés, alors que peut de gens étaient instruits, de leur faire croire toute sorte de chose, aujourd'hui à l'heure d'internet peu de gens sont instruits sur la composition des vaccins, les dangers du mercure, les accidents à grande échelle et les contaminations en labo "Chiron" les dépenses de stockage qui plombe la sécu, les dangers des mélanges et triturations sans aucun contrôle de certains fous en chemise blanche, etc.

Quant à Pasteur lui-même, il s'est avéré être un plagiat des plus efficace. Il a volé les trouvailles de ses prédécesseurs sans jamais mentionner leurs noms et les résultats de leurs recherches dans ses édits. Il a toujours louvoyé entre les différents gouvernements de l'époque pour être protégé par eux et recevoir beaucoup d'argent. Ses recherches et tests étaient très limités (exemple du vaccin contre la rage, il est porté aux nues pour un seul cas réussi, plusieurs des suivants étant inefficace, voire même dangereux). Le lobbying monétaire était déjà commencé à cette époque. Plusieurs pays ont refusé longtemps de vacciner, dont l'Angleterre, la Grande-Bretagne, et d'autres encore (je n'ai pas le livre ouvert sur ces pages en ce moment, c'est celui du Dr. Louis de Brouwer qui en parle).

Plus récemment

Les pratiques de voyoux sont et ont toujours été de mise au sein de l'industrie qui produit des vaccins et cherche à en imposer la vente aux consommateurs tous les moyens sont bons pour forcer la main, ainsi:

Dans le NSSM 200, Henry Kissinger préconise de contenir, voire de réduire, la population des pays sous-développés pour préserver les intérêts Américains. En France l'obligation du B.C.G., date de 1950, où - coïncidence troublante, le président du Sénat est le P.D.G. de l'Institut Pasteur? En Italie un énorme scandale a dénoncé la corruption organisée par les laboratoires, prouvant ainsi qu'ils sont prêts à tout pour vendre leurs vaccins. En effet, en 1991, Francesco de Lorenzo, ministre italien de la santé, a touché de nombreux pots-de-vin de plusieurs laboratoires, dont SmithKline Beecham . Le Président de cette firme, qui fabrique le vaccin antihépatite B, a avoué avoir donné au ministre 600 millions de lires quelques mois avant que ce dernier rende la vaccination obligatoire dans son pays. Francesco de Lorenzo a été inculpé et condamné à plusieurs années de prison ferme, ainsi que Paolo Cirino Pomicino, ancien ministre du Budget, et le Pr. Dulio Poggiolini, membre influent des instances européennes du Médicament, qui fut aussi à la tête de la Direction du médicament dans son pays et Président de l'Ordre des médecins. Plus d'une soixantaine d'autres membres tout puissants du ministère de la Santé ont également été condamnés pour diverses fautes graves que le Giornale per la protezione della salute (n° 6, mars 1998) qualifiait de « pratiques mafieuses ». Ce qui n'a pas empêché certains d'entre eux de revenir plus tard dans les coulisses des ministères. Extrait de Sylvie Simon

Ainsi, la vaccination contre le choléra n'est plus disponible en France, compte tenu de sa faible efficacité et de l'abandon justifié de l'obligation de se vacciner pour la quasi-totalité des pays (en tout cas pour du tourisme)».

La vaccination à large échelle ne permet pas du tous de réduire l'incidence de la maladie chez la population vaccinée: On nous fait croire à tort que la plupart des épidémies ont disparu grâce aux vaccinations par l'escamotage des statistiques. Pire la vaccination dans son ensemble est le responsable d'une dégénérescence de l'immunité globale des populations qui augmente le chiffre d'affaire de l'industrie qui leur vend des médicaments.

La vaccination à large échelle ne permet pas de réduire l'incidence de la maladie chez la population vaccinée (L'inventeur du vaccin oral de la polio Albert Sabin dit 30 ans plus tard: "Les données officielles ont montré que les vaccinations à grande échelle aux É.-U. ont échoué quant à obtenir une amélioration de la lutte contre les maladies pour lesquelles elles étaient censées fournir une immunisation. Par essence ce fut et c’est un échec."), la vaccination n'a pas permis l'éradication de la variole en 1980 et de la poliomyélite de type 2 de la surface de la Terre en 1999, car celle-ci s'est réduite d'elle-même.

Par exemple, la peste a sévi pendant des siècles à travers le monde et s'est éteinte totalement sans aucune vaccination. Pourtant, les grandes épidémies de lèpre ne sévissent plus, bien qu'il n'existe aucun vaccin contre cette maladie. D'une manière générale, le recul des maladies a toujours commencé bien avant l'introduction des vaccins. De plus, si la disparition des épidémies était essentiellement due aux vaccinations, ces maladies devraient continuer à sévir dans les pays qui ne les ont pas pratiquées ou qui les ont abandonnées, alors que l'histoire de l'épidémiologie démontre tout à fait le contraire et la presse scientifique internationale atteste du reste que des épidémies se déclarent encore dans des pays où la couverture vaccinale est presque totale.

Par exemple lorsque l'épidémie de variole commence à disparaître spontanément (dans les années 1900), alors que la Grande-Bretagne, qui avait rendu la vaccination obligatoire en 1853, revient sur sa décision et accorde l'objection de conscience, la vaccination devient obligatoire en France (1902) et la campagne vaccinale prend son ampleur. C'est immédiatement la catastrophe: les épidémies repartent et se succèdent, manifestement réveillées par ces campagnes vaccinales, puis par les conditions de vie défavorables au cours des deux guerres mondiales. Qu'à cela ne tienne, l'Institut Pasteur affiche des tableaux statistiques tronqués, ne démarrant qu'après la fin de la Seconde Guerre mondiale. Il est probable que si la vaccination n'avait pas été rendue obligatoire et la campagne vaccinale intensifiée à ce point, la VARIOLE aurait disparu spontanément dans les années 1910, et non pas 1979... (L'impatient). De 1871 à 1872 en Angleterre, 98% de la population de 2 à 50 ans était vaccinée contre la variole. De 1871 à 1872, ce pays a néanmoins enregistré une de ses plus graves épidémies de variole avec 45.000 décès. Au cours de la même période, l'Allemagne, avec 96% de vaccinés, dénombrait 125.000 décès dus à la variole. (The Hadwen Documents)

L'exemple de la variole aux Philippines est significatif. En 1905, la mortalité par variole dans les îles est de l'ordre de 10%. Une campagne de vaccinations massive est mise en route. Immédiatement, se déclenche une épidémie, qui tue 25% de la population. La campagne de vaccinations est intensifiée, sans état d'âme. En 1925, une nouvelle épidémie se déclenche, qui tue 54% de la population. Population alors vaccinée à 95%... Dans la capitale, Manille, la mieux vaccinée, le taux de décès atteint 65,3%. Dans l'île de Mindanao où la vaccination avait été refusée, ce taux plafonne à 11,4%.

Depuis 1949, date à laquelle aucune obligation vaccinale ne fut plus imposée aux citoyens britanniques, le Royaume-Uni a brillamment démontré que la suppression des obligations vaccinales n'a pas entraîné un quelconque retour des épidémies, argument toujours invoqué par les vaccinalistes pour continuer à vouloir imposer les vaccinations. Les pays de l'Est ont pratiqué pendant près de 50 ans la vaccination systématique, couvrant ainsi la quasi-totalité de leur population. Or, c'est dans ces pays que resurgissent la diphtérie et la poliomyélite. Il est donc légitime de penser que d'une part ce vaccin n'a pas été aussi efficace qu'on le prétendait et d'autre part qu'il a engendré des modifications bactériennes directement liées aux souches vaccinales.

Le constat d'inefficacité de certains vaccins est tellement patent qu'il est parfois établi par les laboratoires eux-mêmes. Ainsi SmithKline Beecham, fabricant du vaccin hépatite B, a déclaré :

"La vaccination contre HBV, obligatoire pour certains groupes à risque, mériterait d'être étendue à une plus large population, la plus jeune notanunent, la vaccination des sujets à haut risque n'ayant eu, semble-t-il, aucun impact aux États-Unis sur l'incidence de la maladie." (cf. Le Concours médical, vol. 15, n°4, 1993).

Constat d’inefficacité dressé par le laboratoire fabricant qui pourtant recommande d'étendre une vaccination qui se révèle n'avoir aucun impact sur la maladie !

Certains vaccins sont rendus obligatoires et remboursés par la sécurité sociale, ce qui devrait rassurer les administrés qui pourtant les payent par l'impôt (ils ne sont donc pas gratuits du tout). Les autorités sanitaires assurent que le rapport-bénéfice/risque serait suffisamment significatif et l'inobservation des prescriptions vaccinales expose à des sanctions pénales ou administratives, notamment au retrait de l'autorité parentale, à la déscolarisation, au renvoi d'une administration, à une amende ou à une peine privative de liberté. Exemple pour refus de se soumettre, ou de soumettre ceux sur lesquels on exerce l'autorité parentale ou ceux dont on assure la tutelle à l'obligation de vaccination contre la tuberculose l'art. L. 3112-1 du Code de la santé publique prévoit 3 750 euros d'amende et 6 mois de prison. Vouloir contraindre plutôt que convaincre n'est néanmoins pas une méthode qui fait l'unanimité chez les citoyens français puisque des personnes regroupées en association pour ne citer que la ligue nationale pour la liberté des vaccinations attendent de voir la liberté de tout un chacun pleinement consacrée à hauteur des avancées de la Charte des droits fondamentaux de l'Union européenne qui instaure une clause de conscience. La contestation n'est plus marginale en 2006, et la plupart des vaccins commencent à être remis en cause.

Cas particuliers

Polio

La première campagne de vaccination de masse antipoliomyélite, dans les années 50, a été marquée par la fourniture d'un important lot défectueux (virus vivant non atténué) aboutissant à près de 220 000 contaminations dont 70 000 malades, 164 paralysies sévères et 10 décès. Ensuite les dégâts continues au nom de la science qui se plante magistralement. La vaccination de masse antipoliomyélite, voit le vaccin contre la polio contaminé par le virus SV40 dans les années 50 et 60 ceci sera soigneusement étouffé, car en 2006 de très nombreuses personnes sont porteuses du virus sv40!

Ces vaccins antipolio ont été produits sur reins de singes contaminés par le virus cancérogène SV 40, inoffensif pour le singe, mais tumoral pour l'homme. Ce qui expliquerait l'explosion de cancers dans le monde depuis 30 ans. Ainsi, sans le savoir, l'homme avait déjà créé une arme redoutable mettant en péril la planète, ceci au nom de principes prophylactiques absurdes.

C'est pourtant en 1960 aux É.-U., 2 virologues ont découvert que les 2 vaccins antipolio étaient contaminés par le virus simien SV40 ; ce virus provoque des modifications au niveau des cellules humaines en culture. Des millions d'enfants ont reçu ce vaccin . ( Med. Journal of Australia,17/3, 1973,p.555).

En 1977, le Dr Jonas Salk qui avait créé le premier vaccin antipolio a témoigné devant plusieurs scientifiques que la campagne de vaccinations massives contre la polio avait été la cause de la plupart des cas de polio aux États-Unis depuis 1961 (Science 4/4/77, « Abstracts »)


Rougeole

Le vaccin contre la rougeole est cultivé sur des embryons de poulets, tout comme celui de l’influenza (grippe) , de la fièvre jaune et les oreillons. Ces embryons se forment entièrement après 35 heures d’incubation. On peut voir leur coeur battre dès le cinquième jour. Les oiseaux proviennent d’immenses poulaillers contenant plus de 10 000 poules et près de 700 coqs. Pendant la période de production de ses vaccins contre la grippe, une compagnie pharmaceutique consomme 160 000 oeufs par semaine.

Ce vaccin est mis en cause dans la maladie de Crohn.

D'après le "Journal of Clinical Microbiology" de juin 1994, n°6, une équipe de chercheurs japonais du Centre de recherche biomédicale de la Faculté de Tokyo a mis en évidence la présence de fragments d'ARN du virus de la peste dans des vaccins contre la rougeole, la rubéole et les oreillons (vaccins simples et vaccins associés). Le plus étonnant et le plus inquiétant aussi, c'est que ces chercheurs assurent que les vaccins ne pouvaient être "contaminés". Les ARN du virus de la peste seraient donc apparus par un phénomène de recombinaison qui reste encore à expliquer. (D'après l'IMPATIENT - Hors-Série n°11 - Juin 1996)

L'Organisation Mondiale de la Santé est décrite dans une série d'articles publiés dans le BritishMedical Journal et dans The Lancet comme une institution corrompue et à bout de souffle. C'est« le prochain Unesco » écrit notamment The Lancet. (La Recherche, Oct. 1995, 280; p.15)

La capture de l'expertise sanitaire par les lobbies industriels est trop souvent patente. Chacun d'entre nous doit absolument prendre conscience de l'énorme collusion de la recherche et de l'économie marchande dans le domaine.« Il n'est pas admissible que les laboratoires nient les faits avérés..., que la justice soit totalement inadaptée et ne puisse protéger le citoyen, comme c'est sa mission, parce qu'elle applique à une chose le principe qui devrait être réservé aux hommes : " pas de culpabilité déclarée sans absolue certitude" et qu'elle impose de faire la preuve que l'industrie a volontairement caché des informations, quand ce devrait être à l'industrie de prouver la non-toxicité de ses produits...Quoiqu'il en soit, le doute ne doit servir en aucun cas de paravent et les consommateurs doivent être alertés quand il existe. » (Dr B. Donatini).

Webographie

  • [1] Communiqué de la LNPLV