Viande bio : Différence entre versions

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''Car s'il est vrai que la diététique honnête considère déjà avec méfiance la qualité réellement nutritive de la viande, s'il est vrai que végétariens, végétaliens et véganistes l'ont définitivement rejetée, il existe une raison essentielle pour laquelle on ne devrait pas manger de viande : le fait que pour l'obtenir il faille nécessairement condamner à mort des êtres sensibles innocents !''
 
''Car s'il est vrai que la diététique honnête considère déjà avec méfiance la qualité réellement nutritive de la viande, s'il est vrai que végétariens, végétaliens et véganistes l'ont définitivement rejetée, il existe une raison essentielle pour laquelle on ne devrait pas manger de viande : le fait que pour l'obtenir il faille nécessairement condamner à mort des êtres sensibles innocents !''
  
Pourtant c'est le cycle alimentaire de l'Homme, il est omnivore et DOIT donc manger de la viande.
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====Pas de viande sans tuerie !====
PS: le lion ne s'occupe pas de savoir si le zèbre qu'il va manger est un innocent petit animal.
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Prétendre que la viande soit une bonne source de protéines à condition que les animaux qui la fournissent soient élevés de façon "naturelle" est un argument doublement fallacieux.
  
Mais le véritable problème est comment doit être traité les animaux destinés à l’abattoir.
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* '''Premièrement''' parce que le fait de présenter la viande comme une source de protéine occulte le caractère sordide de la chaîne de production bouchère. Biologique ou non, la viande est le fruit d'une manipulation que la plupart des consommateurs sont incapables d'imaginer et qu'il faut bien rappeler : assommage, abattage, brochage, saignée, dépeçage, dépouillement (ou déplumage s'il s'agit d'oiseaux), écorchage, équarissage, tranchage, etc. Autant de manipulations complexes, menées par des hommes de métier, avec des outillages adaptés, bref un univers qui n'a rien de naturel. À cela s'ajoutent les carnages de l'Aïd el kébir , ce massacre annuel où chaque foyer musulman doit égorger "son" mouton, la chasse, la pêche et la corrida considérés comme des "sports", l'expérimentation animale qui soumet de milliers de lapin, rats, chats, souris et singes à des tortures révoltantes, etc.
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* '''Deuxièmement''' parce que se demander si la viande est bonne ou non à la consommation alimentaire, est un raccourci hypocrite par rapport à la réalité ; L'homme devrait d'abord s'interroger sur le bien fondé de l'acte de tuer. Savoir si oui ou non l'homme a le droit moral, éthique et naturel de prendre la vie à des êtres que le destin a fait naître sous une forme différente de la nôtre.
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====La Viande bio, ça n’existe pas !====
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Ce qui n'est pas naturel n’est pas bio. Voici ce que nous dit le dictionnaire Robert au sujet de l'emploi de l'adjectif biologique («bio» étant sa contraction) dans le domaine alimentaire :
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'''''Biologique :''' (Emploi non scientifique). De la vie spontanée, naturelle. > Écologique. Agriculture biologique. Produits biologiques, naturels, fabriqués ou cultivés sans substances chimiques artificielles.''
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Il semble donc que le concept d'''élevage biologique'' ne soit pas intégré dans cette définition. Mais en supposant même qu'il le soit, y a-t-il concordance entre les deux démarches ? Le principe même de l'élevage peut-il s'inscrire dans une démarche écologique, c'est-à-dire la recherche d'une vie saine et naturelle ?
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De toute évidence, la réponse est NON. Si la viande était une nourriture naturelle pour l'homme, notre apparence physique serait différente ; nous aurions les caractères évidents d'un prédateur : des dents pointues et espacées, une mâchoire puissante, des griffes acérées ou, pourquoi pas, des pinces et un dard empoisonné. Nous n'avons rien de tout cela. Bien au contraire, l'homme est un animal chétif qui, dans un environnement primitif aurait vite été éliminé par la sélection naturelle s'il n'avait eu son intelligence pour s'organiser en groupes et assurer sa protection (instinct de conservation).
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Cette intelligence nous est donc indispensable à notre survie, mais elle n'est pas un passe-droit nous autorisant à tuer. ''A fortiori'' quand celui qui est visé est plus faible que nous !
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Si la viande était une nourriture naturelle pour l'homme, son obtention ne nécessiterait pas tout l'arsenal compliqué qui constitue la chaîne de production bouchère. Les animaux ne se débattraient pas et les cochons ne hurleraient pas si leur mise à mort était naturelle.
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La viande en soi est un produit artificiel, puisqu'obtenu par des moyens mécaniques compliqués, et ne peut donc pas être qualifiée de biologique. Tout dans la viande est artificiel : le fait que pour la préserver de la putréfaction (naturelle) il faille la conserver dans le froid (artificiel), la préserver des germes (naturels) en l'emballant sous vide (artificiel) ou la faire sécher (artificiel), fumer (artificiel), mettre sous sel (artificiel), etc.
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Tous les zoologues le savent : le tube digestif des animaux carnivores est quatre fois plus court que le nôtre. Alors, pourquoi se forcer à manger de la viande puisque de toute évidence, même notre tube digestif n'est pas fait pour ça ? À cause d'un risque de carence en vitamine B12 ? À cause d'un risque de carence en protéines ?
  
 
===Le mythe des protéines===
 
===Le mythe des protéines===
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En vérité, notre tube digestif est fait pour métaboliser ce dont nous avons besoin. Les faux diététiciens veulent nous faire croire que l'alimentation idéale devrait être une sorte de bouillie prédigérée avec un échantillon de chacune des vitamines (beaucoup d'aliments industriels étalent fièrement la liste des vitamines qu'ils contiennent, comme si c'était une référence). En fait, l'alimentation saine, variée et équilibrée doit simplement être constituée des trois espèces que la nature nous fournit en abondance : fruits, légumes et céréales. Pourquoi faire compliqué lorsqu'on peut faire simple ?
 
En vérité, notre tube digestif est fait pour métaboliser ce dont nous avons besoin. Les faux diététiciens veulent nous faire croire que l'alimentation idéale devrait être une sorte de bouillie prédigérée avec un échantillon de chacune des vitamines (beaucoup d'aliments industriels étalent fièrement la liste des vitamines qu'ils contiennent, comme si c'était une référence). En fait, l'alimentation saine, variée et équilibrée doit simplement être constituée des trois espèces que la nature nous fournit en abondance : fruits, légumes et céréales. Pourquoi faire compliqué lorsqu'on peut faire simple ?
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===La question de la vitamine B12 : ===
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{{Avertissement|texte=Cette partie de l'article comporte un sujet à l'heure actuelle controversé.}}
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La '''vitamine B12''' (ou ''cobalamine'') est une vitamine hydrosoluble qui existe sous deux formes stables: la cyanocobalamine et l'hydroxocobalamine. La vitamine B12 est le cofacteur d'enzymes participant au métabolisme des acides nucléiques et à la synthèse de la méthionine.
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La vitamine B12 est stockée dans le foie, qui en contient normalement suffisamment pour une période de 3 à 6 ans (2 à 5 milligrammes), même en absence totale de source dans la nourriture.
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Pendant quelques années, il a été pensé que les algues comestibles (exemples : nori, wakame et kombu), les produits de soja fermenté (comme le tempeh et le miso), et une algue bleu-verte appelée spiruline, contenaient tous des hautes quantités de B12. Cependant la méthode commune d'analyse, utilisant la croissance bactérienne comme indicateur, mesure actuellement un ensemble de famille de particules ressemblant chimiquement à la B12. Toutes ne sont pas authentiques, c'est à dire des vitamines actives que le corps humain peut utiliser : les particules ressemblantes, vues comme analogues, ne peuvent pas jouer le rôle de la vitamine B12 dans le corps, et seraient même soupçonnées de bloquer l'assimilation de la "vraie" B12.
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Un nouveau test, appelé un « titrage radio différentiel », est conçu spécialement pour mesurer les formes de la vitamine que le corps humain peut utiliser, et ré-analysé par cette méthode, le niveau de la B12 active dans beaucoup d'aliment est vu comme beaucoup plus bas. Par exemple le tempeh, qui était considéré comme contenant plusieurs micros grammes de B12 pour 100g a été trouvé après reanalyse comme ne contenant aucune vitamine active.
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==Voir aussi==
 
==Voir aussi==

Version du 22 février 2013 à 11:56

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Cet article fait partie du
Thème S'alimenter

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Catégorie:S'alimenter
Portail:S'alimenter

Par Viande Bio, on spécifie toute viande issue d'animaux élevés et nourris suivant les règles du (ou des) labels bio.

Mais pour qu'une viande soit considéré comme bio, il n'y a pas que l'animal qui doit être bio. Mais aussi tous les additifs qui sont ajoutés dans la viande. Ce qui est tout particulièrement le cas pour la charcuterie.

L'alimentation du bétail

Pour qu'une viande soit bio, toute la chaine d'alimentation de jusqu'a l'animal doit être biologique. Les animaux bio doivent donc manger bio ! Néanmoins, en fonction du label bio, l'alimentation du bétail ne doit pas toujours être 100% bio. Pour le label européen par exemple, un minimum de 85% d'alimentation biologique doit être respecté. Minimum qui monte à 100% pour les ruminants.

La qualité et la composition de l’alimentation animale sont des éléments essentiels de l’élevage biologique. Elles sont souvent strictement réglementées.

Les restrictions

Les ingrédients suivants sont interdits dans l’alimentation animale biologique :

  • les hormones de croissance
  • les acides aminés synthétiques
  • les organismes génétiquement modifiés (OGM)

D’autres ingrédients, comme ceux listés ci-dessous, ne peuvent être utilisés que sous certaines conditions :

  • les ingrédients non biologiques d’origine végétale
  • les ingrédients d’origine animale et minérale
  • les additifs alimentaires
  • les aides à la nutrition animale, comme les enzymes et les micro-organismes
  • les auxiliaires de transformation

Règles d'élevage

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Il faut des pâturages capables de satisfaire les besoins nutritionnels et comportementaux de chaque espèce animals. Les zones d'élevages ne doivent pas être trop chargées.

Mutilations

Limitation de l’amputation complète ou partielle :

  • des queues (pour les ovins, les porcins, etc.)
  • des becs (pour les poules, les dindes, etc.)
  • des cornes (pour les bovins, les ovins, etc.)

Santé et bien être des animaux

Vista-vlc.png Cette section est vide ou n'est pas assez détaillée, votre aide est la bienvenue !

Légitimité de la Viande «bio»

Nuvola apps important.svg.png Attention : Cet article fait actuellement l'objet d'un débat au sein d'Ekopédia. Son objectivité est mise en doute, ainsi que son titre et son classement.

Viande «bio», est-ce possible ?

Une nécessaire mise au point

Force est de constater que de nombreux magasins bio proposent sur leurs étalages du «jambon bio», du «saucisson bio» et autres absurdités, sous le fallacieux prétexte de proposer au consommateur des produits sains, en réaction au scandale de la viande contaminée par la maladie de la vache folle. On a même pu lire à partir de 1994 des articles prétendant que la viande pouvait faire partie d'une alimentation naturelle et pouvait elle-même, sous certaines conditions, bénéficier du qualificatif « bio ».

Cette tendance et cette mode du "tout bio" appellent évidemment un certain nombre de mises au point et ne peut laisser indifférents ceux dont le choix végétariste s'enracine bien au-delà d'une simple préoccupation diététique.

Car s'il est vrai que la diététique honnête considère déjà avec méfiance la qualité réellement nutritive de la viande, s'il est vrai que végétariens, végétaliens et véganistes l'ont définitivement rejetée, il existe une raison essentielle pour laquelle on ne devrait pas manger de viande : le fait que pour l'obtenir il faille nécessairement condamner à mort des êtres sensibles innocents !

Pas de viande sans tuerie !

Prétendre que la viande soit une bonne source de protéines à condition que les animaux qui la fournissent soient élevés de façon "naturelle" est un argument doublement fallacieux.

  • Premièrement parce que le fait de présenter la viande comme une source de protéine occulte le caractère sordide de la chaîne de production bouchère. Biologique ou non, la viande est le fruit d'une manipulation que la plupart des consommateurs sont incapables d'imaginer et qu'il faut bien rappeler : assommage, abattage, brochage, saignée, dépeçage, dépouillement (ou déplumage s'il s'agit d'oiseaux), écorchage, équarissage, tranchage, etc. Autant de manipulations complexes, menées par des hommes de métier, avec des outillages adaptés, bref un univers qui n'a rien de naturel. À cela s'ajoutent les carnages de l'Aïd el kébir , ce massacre annuel où chaque foyer musulman doit égorger "son" mouton, la chasse, la pêche et la corrida considérés comme des "sports", l'expérimentation animale qui soumet de milliers de lapin, rats, chats, souris et singes à des tortures révoltantes, etc.
  • Deuxièmement parce que se demander si la viande est bonne ou non à la consommation alimentaire, est un raccourci hypocrite par rapport à la réalité ; L'homme devrait d'abord s'interroger sur le bien fondé de l'acte de tuer. Savoir si oui ou non l'homme a le droit moral, éthique et naturel de prendre la vie à des êtres que le destin a fait naître sous une forme différente de la nôtre.

La Viande bio, ça n’existe pas !

Ce qui n'est pas naturel n’est pas bio. Voici ce que nous dit le dictionnaire Robert au sujet de l'emploi de l'adjectif biologique («bio» étant sa contraction) dans le domaine alimentaire :

Biologique : (Emploi non scientifique). De la vie spontanée, naturelle. > Écologique. Agriculture biologique. Produits biologiques, naturels, fabriqués ou cultivés sans substances chimiques artificielles.

Il semble donc que le concept d'élevage biologique ne soit pas intégré dans cette définition. Mais en supposant même qu'il le soit, y a-t-il concordance entre les deux démarches ? Le principe même de l'élevage peut-il s'inscrire dans une démarche écologique, c'est-à-dire la recherche d'une vie saine et naturelle ?

De toute évidence, la réponse est NON. Si la viande était une nourriture naturelle pour l'homme, notre apparence physique serait différente ; nous aurions les caractères évidents d'un prédateur : des dents pointues et espacées, une mâchoire puissante, des griffes acérées ou, pourquoi pas, des pinces et un dard empoisonné. Nous n'avons rien de tout cela. Bien au contraire, l'homme est un animal chétif qui, dans un environnement primitif aurait vite été éliminé par la sélection naturelle s'il n'avait eu son intelligence pour s'organiser en groupes et assurer sa protection (instinct de conservation).

Cette intelligence nous est donc indispensable à notre survie, mais elle n'est pas un passe-droit nous autorisant à tuer. A fortiori quand celui qui est visé est plus faible que nous !

Si la viande était une nourriture naturelle pour l'homme, son obtention ne nécessiterait pas tout l'arsenal compliqué qui constitue la chaîne de production bouchère. Les animaux ne se débattraient pas et les cochons ne hurleraient pas si leur mise à mort était naturelle.

La viande en soi est un produit artificiel, puisqu'obtenu par des moyens mécaniques compliqués, et ne peut donc pas être qualifiée de biologique. Tout dans la viande est artificiel : le fait que pour la préserver de la putréfaction (naturelle) il faille la conserver dans le froid (artificiel), la préserver des germes (naturels) en l'emballant sous vide (artificiel) ou la faire sécher (artificiel), fumer (artificiel), mettre sous sel (artificiel), etc.

Tous les zoologues le savent : le tube digestif des animaux carnivores est quatre fois plus court que le nôtre. Alors, pourquoi se forcer à manger de la viande puisque de toute évidence, même notre tube digestif n'est pas fait pour ça ? À cause d'un risque de carence en vitamine B12 ? À cause d'un risque de carence en protéines ?

Le mythe des protéines

L'homme n'a pas besoin de manger des protéines pour métaboliser des protéines. La preuve en est que de nombreux champions sportifs, dont les besoins en protéines sont supérieurs à la normale, sont végétariens et ne s'en portent que très bien. Citons par exemple Surya Bonaly, Murray Rose, Ruth Heidrich. Rien dans leur silhouette musclée ne trahit la moindre "carence". La champion Carl Lewis est également végétarien, c'est pourtant une "montagne de muscles"…

En vérité, notre tube digestif est fait pour métaboliser ce dont nous avons besoin. Les faux diététiciens veulent nous faire croire que l'alimentation idéale devrait être une sorte de bouillie prédigérée avec un échantillon de chacune des vitamines (beaucoup d'aliments industriels étalent fièrement la liste des vitamines qu'ils contiennent, comme si c'était une référence). En fait, l'alimentation saine, variée et équilibrée doit simplement être constituée des trois espèces que la nature nous fournit en abondance : fruits, légumes et céréales. Pourquoi faire compliqué lorsqu'on peut faire simple ?

La question de la vitamine B12 :

Nuvola apps important.svg.png Attention : Cette partie de l'article comporte un sujet à l'heure actuelle controversé.

La vitamine B12 (ou cobalamine) est une vitamine hydrosoluble qui existe sous deux formes stables: la cyanocobalamine et l'hydroxocobalamine. La vitamine B12 est le cofacteur d'enzymes participant au métabolisme des acides nucléiques et à la synthèse de la méthionine.

La vitamine B12 est stockée dans le foie, qui en contient normalement suffisamment pour une période de 3 à 6 ans (2 à 5 milligrammes), même en absence totale de source dans la nourriture.

Pendant quelques années, il a été pensé que les algues comestibles (exemples : nori, wakame et kombu), les produits de soja fermenté (comme le tempeh et le miso), et une algue bleu-verte appelée spiruline, contenaient tous des hautes quantités de B12. Cependant la méthode commune d'analyse, utilisant la croissance bactérienne comme indicateur, mesure actuellement un ensemble de famille de particules ressemblant chimiquement à la B12. Toutes ne sont pas authentiques, c'est à dire des vitamines actives que le corps humain peut utiliser : les particules ressemblantes, vues comme analogues, ne peuvent pas jouer le rôle de la vitamine B12 dans le corps, et seraient même soupçonnées de bloquer l'assimilation de la "vraie" B12.

Un nouveau test, appelé un « titrage radio différentiel », est conçu spécialement pour mesurer les formes de la vitamine que le corps humain peut utiliser, et ré-analysé par cette méthode, le niveau de la B12 active dans beaucoup d'aliment est vu comme beaucoup plus bas. Par exemple le tempeh, qui était considéré comme contenant plusieurs micros grammes de B12 pour 100g a été trouvé après reanalyse comme ne contenant aucune vitamine active.


Voir aussi

Liens internes

Liens externes

B12 :

Bibliographie

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