Réseau d'échange réciproque de savoirs : Différence entre versions

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* http://www.mirers.org/ Le mouvement des réseaux d'échanges réciproques des savoirs
 
* http://www.mirers.org/ Le mouvement des réseaux d'échanges réciproques des savoirs
 
* http://www.lefourquet.irisnet.be/1accueil/137res/restexte.htm  : un petit texte de présentation d'un RES belge
 
* http://www.lefourquet.irisnet.be/1accueil/137res/restexte.htm  : un petit texte de présentation d'un RES belge
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* http://www.inti.be/ecotopie/res.html  encore un petit texte d'introduction
  
  

Version du 31 décembre 2005 à 22:43




Origine

source: http://larondedessavoirs.free.fr/quisommesnous/quisom.htm

Les Réseaux d'Échanges Réciproques de Savoirs (RERS) sont nés il y a une vingtaine d'années, d'un questionnement pédagogique et d'une pratique sociale et civique de Claire et Marc Héber-Suffrin. Ils sont issus d'un croisement de mouvements pédagogiques, d'associations d'éducation populaire et de questionnements autour de la citoyenneté. En 2000, les RERS sont environ 600 en France dont les DOM-TOM, et 150 en Europe, Amérique Latine et Afrique, développés grâce à des enseignants, des travailleurs sociaux, des acteurs locaux, des initiatives bénévoles, des partenariats.

  • Chacun a des savoirs qui peuvent intéresser les autres.
  • Tout le monde est capable d'apprendre des savoirs proposés par d'autres.
  • Nous pouvons tous apprendre et transmettre.


Ils sont aussi appelés RES, Réseau d'Echanges de Savoirs, notamment en Belgique, où je ne sais pas si c'est juste une convention de langage ou si cela découle d'une variante significative par rapport aux RERS.

Objectif

Le principe : Permettre à des personnes de tous horizons sociaux, professionnels, culturels, de faire des offres et demandes de savoirs, savoir-faire, expériences... Il n'y a pas de petits ou de grands savoirs. La pluralité des personnes, la diversité des savoirs, des lieux d'apprentissage, des méthodes, des motivations font la richesse du système, sans aucun rapport d'argent ou de service : la valeur qui circule c'est le savoir.

La réciprocité est une dimension essentielle, tour à tour, on apprend de quelqu'un et à quelqu'un. Pour qu'ait lieu l'échange, la mise en relation permet d'élaborer ensemble la méthode et les moyens. Le demandeur est ainsi acteur de son apprentissage, de sa réussite. Transmettre ses savoirs permet à l'offreur de les réorganiser, de les réactualiser pour pouvoir mieux donner, et parfois de se réinvestir dans sa propre formation.


Bibliographie

  • "Le cercle des savoirs reconnus" Claire et Marc Héber-Suffrin. édition Desclée de Brouwer. 1993

Webographie


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