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== La nourriture idéale et les combinaisons simplifiées ==
 
== La nourriture idéale et les combinaisons simplifiées ==
  
Parce que d’abord il faut chercher le bon régime, les bonnes idées, ce n’est pas facile à trouver, et quand on les a trouvées, les tentations extérieures et intérieures sont tellement fortes qu’on ne peut pas d’emblée les appliquer. Il faut des années et des années. La différence fondamentale est que la médecine combat les symptômes avec des poisons sans combattre la cause. L’alimentation naturelle est celle qui se rapproche le plus de l’alimentation des grands primates. Il n’y aura pas de produits animaux, ni viande, ni poisson, ni huîtres, ni fruits de mer, et il n’y aura pas non plus de céréales. D’après le tableau d’anatomie et de physiologie comparées, qui a été proposé par les grands physiologistes du siècle passé, français, allemand, comme Cuvier, l’homme est frugivore. Il n’est pas carnivore, ni omnivore, ni granivore. Il reste tous les fruits, tous les légumes, et les racines, comme les pommes de terre, les topinambours, les ignames. Il faut exclure complètement les épices, les aromates, la moutarde, le poivre, le sel, et le tabac, l’alcool, le vin. Et il faut en plus de cela surveiller les émotions vives, c’est-à-dire les fortes émotions, comme le chagrin, la colère, les soucis — bien tout ça peut causer la maladie, même si votre régime est parfait. 99,9% des médicaments sont des poisons et sont complètement inutiles. La France a des lois médicales qui sont vraiment dictatoriales. Les fabriques de produits pharmaceutiques sont vraiment des bêtes. On ne peut pas aller contre elles. Il faut chercher à vivre une vie saine, et pour avoir la santé, on ne peut pas autrement que par la vie saine. Ni par les vaccins, ni par les médicaments, ni par aucun remède, il n'y a que la vie saine qui donne la santé. En anglais, ils disent, « Health by healthful living ». C’est beaucoup plus compact, et beaucoup plus correct, mais je n’arrive pas à le traduire en français d’une façon aussi compacte.
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L’alimentation naturelle est celle qui se rapproche le plus de l’alimentation des grands primates. Il n’y aura pas de produits animaux, ni viande, ni poisson, ni huîtres, ni fruits de mer, et il n’y aura pas non plus de céréales. D’après le tableau d’anatomie et de physiologie comparées, l’homme est frugivore. Il reste tous les fruits, tous les légumes, et les racines, comme les pommes de terre, les topinambours, les ignames. Il faut exclure complètement les épices, les aromates, la moutarde, le poivre, le sel, et le tabac, l’alcool, le vin. Et il faut en plus de cela surveiller les émotions vives, c’est-à-dire les fortes émotions, comme le chagrin, la colère, les soucis — bien tout ça peut causer la maladie, même si votre régime est parfait.
  
 
Pour rejoindre Albert Mosséri et demander plus de renseignements
 
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Tel/Fax: 333-25-21-60-05
 
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''L'hygiénisme, Le Guide du débutant - Manger nature, santé nature - Tome 1 et 2 - La nourriture idéale et les combinaisons simplifiées - La santé par la nourriture - La santé par les aliments compatibles - Manger pour vivre sans maladies - La nutrition hygiéniste, unique remède de la rature - L'homme, le singe et le paradis (Menu Paradisiaque & Santé) - Santé radieuse par le jeûne - Le jeûne, meilleur remède de la nature - Jeûner pour revivre - L'anti-médecine - Tome 1 et 2 - Le goulag du sida - Tome 1 et 2 - Confiez votre santé à la nature - Hernie, hémorroïdes, ptoses, varices, déplacement de la matrice - Plus jamais mal portant - A la recherche d'une santé parfaite''
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''L'hygiénisme, Le Guide du débutant - Manger nature, santé nature - Tome 1 et 2 - La nourriture idéale et les combinaisons simplifiées - La santé par la nourriture - La santé par les aliments compatibles - Manger pour vivre sans maladies - La nutrition hygiéniste, unique remède de la rature - L'homme, le singe et le paradis (Menu Paradisiaque & Santé) - Santé radieuse par le jeûne - Le jeûne, meilleur remède de la nature - Jeûner pour revivre - L'anti-médecine - Tome 1 et 2 - Le goulag du sida - Tome 1 et 2 - Confiez votre santé à la nature - Hernie, hémorroïdes, ptoses, varices, déplacement de la matrice - Plus jamais mal portant - A la recherche d'une santé parfaite''.
  
L'art de vivre en bonne santé par le respect des lois de la nature et par la bonne connaissance des aliments spécifiques à l'espèce humaine. Cette conception est révolutionnaire au sens noble du terme parce qu'elle est aux antipodes des modes de pensée habituels. Tout est régi par des lois naturelles. Dans la fabuleuse organisation de la vie interne cellulaire, il n'y a pas de place pour le hasard. En d'autres termes la théorie fataliste des microbes, virus, est une nouvelle démonologie insensée. Quant à la vaccination, elle est une nouvelle absolution illusoire. Notre organisme, et lui seul, possède la prérogative de nous sortir du désordre (maladie) par son propre pouvoir d'auto guérison sous réserve que l'on supprime l'origine du déséquilibre. Il existe un lien de continuité et d'évolution entre les différents états pathologiques: aigus, chroniques et de dégénérescence.
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L'art de vivre en bonne santé par le respect des lois de la nature et par la bonne connaissance des aliments spécifiques à l'espèce humaine. Cette conception est révolutionnaire au sens noble du terme parce qu'elle est aux antipodes des modes de pensée habituels. Tout est régi par des lois naturelles. Dans la fabuleuse organisation de la vie interne cellulaire, il n'y a pas de place pour le hasard.
  
 
Les principales causes des maladies qui nous touchent sont les suivantes :
 
Les principales causes des maladies qui nous touchent sont les suivantes :
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Les virus, qui sont souvent cités comme étant des causes de maladie, sont en fait des déblayeurs de terrain, utile à l'organisme. Ils sont accusés de tous les maux car ils rapportent des sommes considérables aux multinationales pharmaceutiques par la vente de médicaments chargés de les contrer.
 
Les virus, qui sont souvent cités comme étant des causes de maladie, sont en fait des déblayeurs de terrain, utile à l'organisme. Ils sont accusés de tous les maux car ils rapportent des sommes considérables aux multinationales pharmaceutiques par la vente de médicaments chargés de les contrer.
 
Enfin, il existe beaucoup d'autres facteurs secondaires de maladies qui sont cités à la fin de ce guide
 
Enfin, il existe beaucoup d'autres facteurs secondaires de maladies qui sont cités à la fin de ce guide
 
QUAND ON SE SENT PARTIR
 
 
Selon le docteur Dodds, la sensation de "partir", dans certains cas, ne provient pas d'un manque de nourriture, mais de l'absence du stimulant habituel, ce qui pourrait être contesté. En effet, cette sensation ne doit pas être ignorée, ni prise à la légère. Le sujet souffre de dénutrition grave, car il ne digère que le 10 % de ce qu'il mange. Il ne faut pas prolonger cet état sans risques. Il faut nourrir ces personnes convenablement, par petites quantités, par mini-repas répétés, dans des conditions favorables de repos, avant et après chaque repas, avec l'absence de tout trouble psychologique, émotif ou autre. Shelton aussi cite, parmi les sensations de fausse faim celle de se sentir "partir", mais je considère cela plutôt comme un symptôme aigu de dénutrition et de faim authentique. Voyons d'un peu plus près cette sensation de "se sentir partir", symptôme qu'il ne faut pas prendre à la légère, ni ignorer. Quand cela se produit, il faut manger et s'étendre un peu, car le corps réclame de la nourriture. Au bout de plusieurs semaines, ce genre de faim disparaît, pour faire place à une faim moins urgente quand les réserves sont renflouées. Ainsi, ceux qui se sentent "partir" pour avoir manqué un seul repas doivent être nourris de la sorte. J'ai connu plusieurs cas du genre qui ont ignoré volontairement cette sensation de faim et qui ont persisté à ne pas manger, mais qui ont fini par verser dans une boulimie incontrôlable aboutissant à la mort par dénutrition. En effet, les gros repas ne sont pas digérés convenablement. Ils passent dans les selles et aggravent la dénutrition. Ils peuvent entraîner finalement la mort par inanition. Il faut dans ces conditions extrêmes plusieurs mini-repas, sous le contrôle d'un surveillant énergique qui ne permettra pas au sujet de se gaver jusqu'à la mort, ni même de manger à sa faim.
 
 
QUAND ON SE SENT FAIBLE
 
 
Il ne faut pas confondre la sensation de se sentir "partir", avec la faiblesse. Dans la sensation de faiblesse, on se sent faible, incapable de se concentrer, de fournir un effort musculaire. Cela est dû à la toxémie. Le foie engorgé accapare tout le sang et l'énergie, ce qui prive les muscles et le cerveau d'un influx nerveux abondant. A ce moment-là, il faut s'abstenir de manger, s'étendre, retarder le repas et les forces reviennent rapidement avec toute la lu­cidité mentale habituelle. Par contre, quand on se sent "partir", on sent un vide à l'intérieur, un état proche de l'évanouissement, une faim diffuse qui part de l'estomac et qui monte vers la gorge et la bouche. A ce moment-là, il faut manger un peu, puis se reposer ou faire une sieste. Par contre, la faiblesse n'est pas un symptôme de faim, mais d'empoisonnement, qui réclame, non une tasse de café, une cigarette ou de la nourriture, comme c'est l'habitude chez la plupart des gens, mais du repos couché. Certains me rétorquent que dans la vie courante on n'a pas toujours le loisir de s'étendre quand on est fatigué, et qu'une cigarette ou une tasse de café "vous réveillent" et vous permettent de poursuivre vos activités. Je réponds toujours que cela se produit au détriment de votre santé et que vous devrez en subir les conséquences à brève ou à longue échéance. Il y aura toujours une note à payer.
 
 
L'ODEUR DES ALIMENTS ET LES CONDIMENTS
 
 
Contrairement à ce que pratiquent les adeptes de l'instinctothérapie, la vraie faim ne peut pas être provoquée par l'odeur, le goût ou fût-ce l'idée d'un aliment. Ces adeptes qui hument les aliments avant d'en manger, ne recherchent en vérité que l'appétit et l'envie, mais n'ont pas faim. Quand on a vraiment faim, on n'est pas tellement difficile dans le choix des aliments. D'autre part, la vraie faim n'est pas stimulée par les condiments, les assaisonnements et le sel. Ces substances sont des poisons. La salive qui est déversée sur le sel ne contient pas de sucs digestifs, mais de l'eau pour diluer le poison et le rendre moins corrosif aux tissus. Quand on ressent la vraie faim, on se satisfait de l'aliment simple, n'importe lequel, sans aucun assaisonnement, ni préparation, à l'état naturel. Quand on ressent la vraie faim, on n'a pas généralement une préférence pour un aliment particulier que l'odorat est censé repérer et débusquer. Par contre, dans la fausse faim, on recherche l'envie et l'appétit, on est difficile, exigeant, on hume les aliments les uns après les autres, pour ne choisir à la fin qu'un seul. C'est la pratique des "instinctos".
 
 
LA VARIÉTÉ EXCITE L'APPÉTIT
 
 
On sait que l'appétit, l'envie et la fausse faim peuvent être stimulés par la variété. C'est ainsi que lorsqu'on n'a plus envie de manger d'un aliment dont on s'est repu, on peut exciter l'appétit en changeant d'aliment. C'est pourquoi la variété porte à la gloutonnerie. Faut-il pour cela se limiter à une seule espèce de nourriture à chaque repas ? Peut-être. De toute façon, il ne faut pas multiplier le nombre des aliments deux ou trois fruits différents sont mieux que cinq ou six. "Combien de gens sont encore affamés quand arrive le tour du dessert ? demande Shelton. Et pourtant, très peu refusent ce dessert !" Combien de repas faut-il manger par jour ? Cela dépend de votre faim. Il n'existe pas de chiffre sacro-saint. Si vous mangez des mini-repas, - comme les animaux végétariens - vous aurez besoin de manger trois ou quatre repas, ou même cinq repas par jour. Mais si vous mangez de gros repas - comme les carnivores ! - alors, un ou deux repas suffiront amplement.
 
  
 
LES ALIMENTS SIMPLES
 
LES ALIMENTS SIMPLES
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Le bon régime n'est pas le seul facteur de santé, quoiqu'il soit le plus important. Les soucis, le chagrin, les contrariétés, la peur, l'angoisse, la haine, la rancune, la jalousie, l'inquiétude, la hâte, la précipitation, peuvent affecter la santé et la détruire. Le surmenage, le manque de sommeil, les veillées, les surexcitations trop fréquentes, les abus sexuels, peuvent aussi freiner tout progrès vers une santé radieuse. Il faut 8/10 heures de sommeil la nuit, selon les individus. La sieste est excellente, quand cela est possible.
 
Le bon régime n'est pas le seul facteur de santé, quoiqu'il soit le plus important. Les soucis, le chagrin, les contrariétés, la peur, l'angoisse, la haine, la rancune, la jalousie, l'inquiétude, la hâte, la précipitation, peuvent affecter la santé et la détruire. Le surmenage, le manque de sommeil, les veillées, les surexcitations trop fréquentes, les abus sexuels, peuvent aussi freiner tout progrès vers une santé radieuse. Il faut 8/10 heures de sommeil la nuit, selon les individus. La sieste est excellente, quand cela est possible.
 
LE SPORT
 
 
La pratique du sport pour avoir une bonne santé est souvent illusoire. On s'imagine à tort que l'effort physique aide l'élimination. C'est le contraire qui se produit. En effet, les énergies sont dirigées vers les muscles durant l'effort physique et l'élimination se ralentit faute de recevoir l'influx nécessaire à son accomplissement. Les organes d'élimination et les cellules ont besoin d'énergie nerveuse pour fonctionner, autant que les muscles. Or le corps n'a pas un stock d'énergie inépuisable. Il ne peut pas en dépenser dans toutes les directions à la fois. C'est pourquoi on ne peut pas se concentrer mentalement durant une course à pied sur autre chose que sur la course elle-même. On ne peut pas bien travailler non plus quand l'estomac est plein. Le travail digestif nécessite autant d'énergie que deux heures de dur labeur. Voilà ce qui explique la mort des nageurs qui entrent dans l'eau l'estomac plein. Leur digestion s'arrête, car le sang est dévié vers les muscles et vers la peau pour résister au froid de l'eau. L'épuisement est fatal.
 
 
LE JEÛNE HEBDOMADAIRE
 
 
Quand on a une contrariété, de graves soucis, un grand chagrin, quand on est obligé de se précipiter, de courir, quand on a une obsession, alors il faut sauter le repas, car l'estomac ne peut rien digérer durant ces périodes difficiles de la vie. Les glandes digestives sont paralysées et ne sécrètent plus rien. Tout ce qu'on mangera durant ces périodes ne profitera pas au corps, mais au contraire ne sera pas digéré. En effet, ce qui n'est pas digéré fermente ou se putréfie à cause de la chaleur et de l'humidité ambiantes. De toute façon, comme la plupart des personnes font des écarts alimentaires, elles devront jeûner un jour par semaine. Le jeûne hebdomadaire permet de retrouver la tranquillité d'esprit et la pondération. Les pires difficultés de la vie sont atténuées quand l'estomac est vide. Le calme revient, la paix s'installe, le découragement disparaît, l'enthousiasme renaît, l'espoir recommence. Toutes les misères paraîtront alors moins graves qu'elles n'avaient semblé au début. Enfin, si on est obligé de conduire sa voiture durant de longues heures, on a avantage à ne pas manger ni avant, ni durant le voyage. Une pomme ou deux suffiront de temps à autre. Un gros repas déviera les énergies vers l'estomac pour la digestion, ce qui privera le système nerveux et les réflexes de l'énergie nécessaire pour éviter les accidents. Ceux qui ne font pas de grands écarts de régime n'ont pas besoin de ce jeûne hebdomadaire
 
  
 
LES AUTRES FACTEURS DE MALADIE
 
LES AUTRES FACTEURS DE MALADIE
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Au réveil, la plupart des gens, dès qu'ils ouvrent les yeux après une nuit de sommeil, fument mangent ou boivent quelque chose. Le petit déjeuné est souvent composé de café et de croissants. Mais au réveil, on n'a jamais réellement faim. On a la bouche pâteuse, mauvaise, parfois amère, sèche. On a l'esprit vaseux, pas clair et engourdi. Instinctivement, on cherche à supprimer ces symptômes d'élimination nocturne à l'aide d'une boisson chaude contenant des poisons, comme le café, le thé, le cacao, les tisanes, puis par le tabac. Ensuite, on mange sans faim un ou deux croissants, ce qui surcharge l'organisme à un moment où ses forces vives sont concentrées à achever le catabolisme (élimination de la nuit). Pour ceux qui souffrent de dénutrition (malgré l'abondance de leur alimenta­tion), la "faim" pourrait apparaître une ou deux heures après le réveil, et même tout de suite. Quand leur dénutrition aura été soignée et éliminée, leur corps ne réclamera de nourriture que plusieurs heures après le réveil.
 
Au réveil, la plupart des gens, dès qu'ils ouvrent les yeux après une nuit de sommeil, fument mangent ou boivent quelque chose. Le petit déjeuné est souvent composé de café et de croissants. Mais au réveil, on n'a jamais réellement faim. On a la bouche pâteuse, mauvaise, parfois amère, sèche. On a l'esprit vaseux, pas clair et engourdi. Instinctivement, on cherche à supprimer ces symptômes d'élimination nocturne à l'aide d'une boisson chaude contenant des poisons, comme le café, le thé, le cacao, les tisanes, puis par le tabac. Ensuite, on mange sans faim un ou deux croissants, ce qui surcharge l'organisme à un moment où ses forces vives sont concentrées à achever le catabolisme (élimination de la nuit). Pour ceux qui souffrent de dénutrition (malgré l'abondance de leur alimenta­tion), la "faim" pourrait apparaître une ou deux heures après le réveil, et même tout de suite. Quand leur dénutrition aura été soignée et éliminée, leur corps ne réclamera de nourriture que plusieurs heures après le réveil.
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Quand on a une contrariété, de graves soucis, un grand chagrin, quand on est obligé de se précipiter, de courir, quand on a une obsession, alors il faut sauter le repas, car l'estomac ne peut rien digérer durant ces périodes difficiles de la vie. Les glandes digestives sont paralysées et ne sécrètent plus rien. Tout ce qu'on mangera durant ces périodes ne profitera pas au corps, mais au contraire ne sera pas digéré. En effet, ce qui n'est pas digéré fermente ou se putréfie à cause de la chaleur et de l'humidité ambiantes. De toute façon, comme la plupart des personnes font des écarts alimentaires, elles devront jeûner un jour par semaine. Le jeûne hebdomadaire permet de retrouver la tranquillité d'esprit et la pondération. Les pires difficultés de la vie sont atténuées quand l'estomac est vide. Le calme revient, la paix s'installe, le découragement disparaît, l'enthousiasme renaît, l'espoir recommence. Toutes les misères paraîtront alors moins graves qu'elles n'avaient semblé au début. Enfin, si on est obligé de conduire sa voiture durant de longues heures, on a avantage à ne pas manger ni avant, ni durant le voyage. Une pomme ou deux suffiront de temps à autre. Un gros repas déviera les énergies vers l'estomac pour la digestion, ce qui privera le système nerveux et les réflexes de l'énergie nécessaire pour éviter les accidents. Ceux qui ne font pas de grands écarts de régime n'ont pas besoin de ce jeûne hebdomadaire
  
 
L'opinion médicale et populaire veut que la faim soit une sensation douloureuse et pénible. On parle des souffrances de la faim. "J'ai souffert de la faim", vous dira-t-on! Or la faim est une manifestation du fonctionnement normal du corps, et toutes les fonctions normales du corps procurent du plaisir. Ainsi, par exemple, le fait d'uriner, d'évacuer, de regarder, de dormir, d'avoir des rapports sexuels, sont toutes des fonctions agréables. Pourquoi parle-t-on alors des souffrances de la faim ? de ses douleurs ? Il est vrai que certains individus ressentent effectivement des souffrances, mais ce ne sont là que des signes d'élimination et de désintoxication pour effacer les séquelles irritantes des repas malsains précédents. Celui qui arrête de fumer ou de boire du café ressent des souffrances identiques et des douleurs similaires provenant de la désintoxication. Ces inconvénients ne doivent pas porter à manger, ni à fumer, ni à boire du café. Répétons-le : les souffrances parfois ressenties ne sont pas celles de la faim, mais bien celles de la désintoxication. Ces souffrances disparaissent quand la désintoxication se termine, et quand la faim arrive enfin, aucune souffrance n'est ressentie.
 
L'opinion médicale et populaire veut que la faim soit une sensation douloureuse et pénible. On parle des souffrances de la faim. "J'ai souffert de la faim", vous dira-t-on! Or la faim est une manifestation du fonctionnement normal du corps, et toutes les fonctions normales du corps procurent du plaisir. Ainsi, par exemple, le fait d'uriner, d'évacuer, de regarder, de dormir, d'avoir des rapports sexuels, sont toutes des fonctions agréables. Pourquoi parle-t-on alors des souffrances de la faim ? de ses douleurs ? Il est vrai que certains individus ressentent effectivement des souffrances, mais ce ne sont là que des signes d'élimination et de désintoxication pour effacer les séquelles irritantes des repas malsains précédents. Celui qui arrête de fumer ou de boire du café ressent des souffrances identiques et des douleurs similaires provenant de la désintoxication. Ces inconvénients ne doivent pas porter à manger, ni à fumer, ni à boire du café. Répétons-le : les souffrances parfois ressenties ne sont pas celles de la faim, mais bien celles de la désintoxication. Ces souffrances disparaissent quand la désintoxication se termine, et quand la faim arrive enfin, aucune souffrance n'est ressentie.
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Quand on mange sans éprouver une demande naturelle, on ne profite pas, ou très peu, de ce qu'on mange. C'est exactement comme celui qui pratique la respiration forcée et profonde sans besoin ni essoufflement, ou encore comme celui qui boit sans avoir soif. "Cette manière de manger, écrit Shelton, transforme le corps en fabrique d'engrais". La vraie faim représente la demande naturelle de manger et indique que la nourriture sera effectivement élaborée par le corps. Par contre, quand on sent les aliments avant d'en choisir un qui vous tente, on cherche à aiguiser l'appétit, et l'on ne digère qu'une partie seulement de ce qu'on ingère. Les selles deviennent abondantes et l'on ne profite pas de tout ce qu'on mange.
 
Quand on mange sans éprouver une demande naturelle, on ne profite pas, ou très peu, de ce qu'on mange. C'est exactement comme celui qui pratique la respiration forcée et profonde sans besoin ni essoufflement, ou encore comme celui qui boit sans avoir soif. "Cette manière de manger, écrit Shelton, transforme le corps en fabrique d'engrais". La vraie faim représente la demande naturelle de manger et indique que la nourriture sera effectivement élaborée par le corps. Par contre, quand on sent les aliments avant d'en choisir un qui vous tente, on cherche à aiguiser l'appétit, et l'on ne digère qu'une partie seulement de ce qu'on ingère. Les selles deviennent abondantes et l'on ne profite pas de tout ce qu'on mange.
  
"Pour comprendre ce qu'est la vraie faim, écrit Shelton, voyons ce qu'elle n'est pas, avant de chercher ce qu'elle est". Pensez à la soif : est-ce une douleur ? un vertige ? un évanouissement ? Rien de tout cela. La soif est ressentie dans la bouche et dans la gorge et l'on ressent un désir conscient pour boire de l'eau. Or on ne prend jamais le mal de tête pour de la soif, car on connaît très bien la soif. Il en est de même pour la faim authentique: on ressent un désir authentique pour manger, on est à l'aise, sans souffrances ni malaises. La salive coule abondamment dans la bouche et souvent on désire un aliment particulier." Certains jeûneurs ressentent des douleurs stomacales vives qui peuvent durer une semaine. Ce n'est pas la faim. Ceux qui les ressentent sont les dyspeptiques, les nerveux, les anxieux, les ulcéreux, ceux qui souffrent de gastrite à cause des aliments malsains et des médicaments. Certaines douleurs passagères sont dues aux contractions spasmodiques de l'estomac et des intestins, provenant du dérangement psychique ou émotionnel du sympathique abdominal qui contrôle cette région du corps. Le mal de tête n'est pas la faim. La douleur dans l'abdomen n'est pas la faim. Les rongements stomacaux ne sont pas la faim. La lassitude n'est pas la faim. Les vertiges ne sont pas la faim. La faiblesse n'est pas la faim. L'évanouissement n'est pas la faim. La sensation de vide n'est pas la faim. L'agitation n'est pas la faim.
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"Pour comprendre ce qu'est la vraie faim, écrit Shelton, voyons ce qu'elle n'est pas, avant de chercher ce qu'elle est". Pensez à la soif : est-ce une douleur ? un vertige ? un évanouissement ? Rien de tout cela. La soif est ressentie dans la bouche et dans la gorge et l'on ressent un désir conscient pour boire de l'eau. Or on ne prend jamais le mal de tête pour de la soif, car on connaît très bien la soif. Il en est de même pour la faim authentique: on ressent un désir authentique pour manger, on est à l'aise, sans souffrances ni malaises. La salive coule abondamment dans la bouche et souvent on désire un aliment particulier." Certains jeûneurs ressentent des douleurs stomacales vives qui peuvent durer une semaine. Ce n'est pas la faim. Ceux qui les ressentent sont les dyspeptiques, les nerveux, les anxieux, les ulcéreux, ceux qui souffrent de gastrite à cause des aliments malsains et des médicaments. Certaines douleurs passagères sont dues aux contractions spasmodiques de l'estomac et des intestins, provenant du dérangement psychique ou émotionnel du sympathique abdominal qui contrôle cette région du corps. Le mal de tête n'est pas la faim. La douleur dans l'abdomen n'est pas la faim. Les rongements stomacaux ne sont pas la faim. La lassitude n'est pas la faim. Les vertiges ne sont pas la faim. La faiblesse n'est pas la faim. L'évanouissement n'est pas la faim. La sensation de vide n'est pas la faim. L'agitation n'est pas la faim. Contrairement à ce que pratiquent les adeptes de l'instinctothérapie, la vraie faim ne peut pas être provoquée par l'odeur, le goût ou fût-ce l'idée d'un aliment. Ces adeptes qui hument les aliments avant d'en manger, ne recherchent en vérité que l'appétit et l'envie, mais n'ont pas faim. Quand on a vraiment faim, on n'est pas tellement difficile dans le choix des aliments. D'autre part, la vraie faim n'est pas stimulée par les condiments, les assaisonnements et le sel. Ces substances sont des poisons. La salive qui est déversée sur le sel ne contient pas de sucs digestifs, mais de l'eau pour diluer le poison et le rendre moins corrosif aux tissus. Quand on ressent la vraie faim, on se satisfait de l'aliment simple, n'importe lequel, sans aucun assaisonnement, ni préparation, à l'état naturel. Quand on ressent la vraie faim, on n'a pas généralement une préférence pour un aliment particulier que l'odorat est censé repérer et débusquer. Par contre, dans la fausse faim, on recherche l'envie et l'appétit, on est difficile, exigeant, on hume les aliments les uns après les autres, pour ne choisir à la fin qu'un seul. C'est la pratique des "instinctos". On sait que l'appétit, l'envie et la fausse faim peuvent être stimulés par la variété. C'est ainsi que lorsqu'on n'a plus envie de manger d'un aliment dont on s'est repu, on peut exciter l'appétit en changeant d'aliment. C'est pourquoi la variété porte à la gloutonnerie. Faut-il pour cela se limiter à une seule espèce de nourriture à chaque repas ? Peut-être. De toute façon, il ne faut pas multiplier le nombre des aliments deux ou trois fruits différents sont mieux que cinq ou six. "Combien de gens sont encore affamés quand arrive le tour du dessert ? demande Shelton. Et pourtant, très peu refusent ce dessert !" Combien de repas faut-il manger par jour ? Cela dépend de votre faim. Il n'existe pas de chiffre sacro-saint. Si vous mangez des mini-repas, - comme les animaux végétariens - vous aurez besoin de manger trois ou quatre repas, ou même cinq repas par jour. Mais si vous mangez de gros repas - comme les carnivores ! - alors, un ou deux repas suffiront amplement.
  
 
== Le jeûne ou l'autoguérison ==
 
== Le jeûne ou l'autoguérison ==
  
 
&laquo; <i>Le jeûne est l'abstention totale d'aliments solides ou liquides autres que de l'eau pure, ou, l'abstention toale de tout aliment y compris l'eau pure, sur des périodes de durée variable (durée très courte lors d'abstention d'eau)</i> &raquo;. Le jeûne est la restriction, voire la suppression, momentanée de l'alimentation solide, pour une meilleure santé ; et peut être une excellente méthode de guérison. Il est indiqué dans tous les cas d'obésité, de maladies cardiovasculaires, de désintoxications, de troubles rénaux et intestinaux. En effet, dans notre société, la consommation d'aliments est trop importante en quantité et c'est la principale cause des problèmes de santé actuels, comme l'obésité, en augmentation constante. Une réduction de la quantité alimentaire parsemée de quelques diètes ou jeûnes dans l'année permet au départ une détoxination de l'organisme avec des résultats considérables : perte de poids, sang de meilleure qualité, peau rajeunie, consolidation d'anciennes fractures, meilleure forme physique et intellectuelle. Une meilleure résistance aux maladies et bien d'autres choses encore... Le jeûne préconise le repos le plus total dans toutes les fonctions de l'organisme. En situation de jeûne (au repos), l'organisme économise momentanément l'énergie affectée à la fonction musculaire afin de la mettre à la disposition de la fonction d'élimination toxinique. C'est pour cela que l'activité physique est proscrite tant que le corps est en état d'acidose - c'est-à-dire d'empoisonnement, dû principalement au stress et à l'alimentation. Le repos le plus total, aussi bien du corps et de l'esprit, est le maître mot dans la pensée hygiéniste. Le concept de &laquo; médicament &raquo; n'existe pas en hygiénisme. En effet, les hygiénistes pensent que l'organisme a toutes les capacités de supprimer les désordres de santé, créés par une hygiène de vie défectueuse. À partir du moment où on le met au repos, il peut se rénover, se régénérer dans le maximum de fonctions physiologiques, y compris les fonctions alimentaires. Pendant le jeûne, l'organisme fonctionne au ralenti, le volume du sang est plus fluide et le cœur travaille deux fois moins. La durée du jeune dépend de la vitalité du sujet, de son âge, de ses réserves, de la maladie à traiter. Les cures peuvent durer de plusieurs heures à plusieurs semaines. Éviter de pratiquer un jeûne quand on est trop fatigué. L'élimination demande de l'énergie à l'organisme. Il peut se produire des boutons sur la peau, des mauvaises odeurs, une mauvaise haleine, ... mais ne pas s'inquiéter et accompagner si possible ces manifestations d'épuration au grand air. Le jeûne résout la plupart des problèmes de santé courants. Il vaut mieux faire de petits jeûnes répétés que de longs jeunes, surtout chez des personnes maigres ou hypotoniques.
 
&laquo; <i>Le jeûne est l'abstention totale d'aliments solides ou liquides autres que de l'eau pure, ou, l'abstention toale de tout aliment y compris l'eau pure, sur des périodes de durée variable (durée très courte lors d'abstention d'eau)</i> &raquo;. Le jeûne est la restriction, voire la suppression, momentanée de l'alimentation solide, pour une meilleure santé ; et peut être une excellente méthode de guérison. Il est indiqué dans tous les cas d'obésité, de maladies cardiovasculaires, de désintoxications, de troubles rénaux et intestinaux. En effet, dans notre société, la consommation d'aliments est trop importante en quantité et c'est la principale cause des problèmes de santé actuels, comme l'obésité, en augmentation constante. Une réduction de la quantité alimentaire parsemée de quelques diètes ou jeûnes dans l'année permet au départ une détoxination de l'organisme avec des résultats considérables : perte de poids, sang de meilleure qualité, peau rajeunie, consolidation d'anciennes fractures, meilleure forme physique et intellectuelle. Une meilleure résistance aux maladies et bien d'autres choses encore... Le jeûne préconise le repos le plus total dans toutes les fonctions de l'organisme. En situation de jeûne (au repos), l'organisme économise momentanément l'énergie affectée à la fonction musculaire afin de la mettre à la disposition de la fonction d'élimination toxinique. C'est pour cela que l'activité physique est proscrite tant que le corps est en état d'acidose - c'est-à-dire d'empoisonnement, dû principalement au stress et à l'alimentation. Le repos le plus total, aussi bien du corps et de l'esprit, est le maître mot dans la pensée hygiéniste. Le concept de &laquo; médicament &raquo; n'existe pas en hygiénisme. En effet, les hygiénistes pensent que l'organisme a toutes les capacités de supprimer les désordres de santé, créés par une hygiène de vie défectueuse. À partir du moment où on le met au repos, il peut se rénover, se régénérer dans le maximum de fonctions physiologiques, y compris les fonctions alimentaires. Pendant le jeûne, l'organisme fonctionne au ralenti, le volume du sang est plus fluide et le cœur travaille deux fois moins. La durée du jeune dépend de la vitalité du sujet, de son âge, de ses réserves, de la maladie à traiter. Les cures peuvent durer de plusieurs heures à plusieurs semaines. Éviter de pratiquer un jeûne quand on est trop fatigué. L'élimination demande de l'énergie à l'organisme. Il peut se produire des boutons sur la peau, des mauvaises odeurs, une mauvaise haleine, ... mais ne pas s'inquiéter et accompagner si possible ces manifestations d'épuration au grand air. Le jeûne résout la plupart des problèmes de santé courants. Il vaut mieux faire de petits jeûnes répétés que de longs jeunes, surtout chez des personnes maigres ou hypotoniques.
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La différence fondamentale est que la médecine combat les symptômes avec des poisons sans combattre la cause. 99,9% des médicaments sont des poisons et sont complètement inutiles. La France a des lois médicales qui sont vraiment dictatoriales. Les fabriques de produits pharmaceutiques sont vraiment des bêtes. On ne peut pas aller contre elles. Il faut chercher à vivre une vie saine, et pour avoir la santé, on ne peut pas autrement que par la vie saine. Ni par les vaccins, ni par les médicaments, ni par aucun remède, il n'y a que la vie saine qui donne la santé. En anglais, ils disent, « Health by healthful living ». C’est beaucoup plus compact, et beaucoup plus correct, mais je n’arrive pas à le traduire en français d’une façon aussi compacte. En d'autres termes la théorie fataliste des microbes, virus, est une nouvelle démonologie insensée. Quant à la vaccination, elle est une nouvelle absolution illusoire. Notre organisme, et lui seul, possède la prérogative de nous sortir du désordre (maladie) par son propre pouvoir d'auto guérison sous réserve que l'on supprime l'origine du déséquilibre. Il existe un lien de continuité et d'évolution entre les différents états pathologiques: aigus, chroniques et de dégénérescence.
  
 
== Connaissez-vous la composition des vaccins ? ==
 
== Connaissez-vous la composition des vaccins ? ==

Version du 6 octobre 2008 à 15:13

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