Utilisateur:MAUFRAN

Bonjour - je viens de decouvrir votre site en cherchant une definition concise de l'économie distributive afin de me rememorer les textes de Duboin - ayant cherché à ce moment une explication sur le role des monnaies et les moyens de créer une ou des monnaie à but social. Ces données que j'ai consulté il y a pas mal d'années sont devenues un peu flou et je ne suis pas capable d'en discuter aujourd'hui, et ce n'est pas le sujet de mon article aujourd'hui. Le sujet est le suivant:

   Tout le monde dit et croit vivre de son argent (l'argent qu'il gagne par son salaire 
    ou le produit de ce qu'il vend ou encore pire, le fruit que lui rapporte son argent placé)
   C'est faux. Nous  vivons (mangeons, buvons, voyageons, nous instruisons, nous distrayons) 
    du fait du travail des autres et l'inverse est vrai: les autres vivent par notre contibution
    au travail général; 

Les seules richesses intrinsèques sont: les richesses naturelles minières et agricoles, les technologies humaines de transformation de ces richesses en produits consommables et le travail humain; la monnaie qui va avec n'a que la valeur que les hommes veulent bien lui donner en fonction de leur politique économique. Il en ressort que l'homme doit travailler pour les autres et recevoir le fruit du travail des autres sans que cela passe par un salaire lié à la valeur de son travail. Le salaire doit être indépendant du travail et correspondre aux besoins et désirs (culture, distractions, projets...etc) de chacun et une monnaie non thésirisable créée au fur à mesure de ces besoins. Cette théorie me semble une base incontournable pour construire une économie sociale juste. Surement y a-t-il dans votre forum des idées qui rejoignent les miennes mais votre site est tellement large et les sujets de discussion si divers que je n'ai pas encore eu le temps de les visiter - j'aimerais avoir quelques indications. Je ne pense pas écrire chaque jour sur ce site car je manque de temps mais je m'efforcerai de le consulter régulierement. Bien a vous cordialement. MAUFRAN