Fumer : Différence entre versions
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D'année en année, la tolérance des non-fumeurs envers les fumeurs diminue. La raison principale est la meilleure connaissance des risques liés au tabagisme passif. | D'année en année, la tolérance des non-fumeurs envers les fumeurs diminue. La raison principale est la meilleure connaissance des risques liés au tabagisme passif. | ||
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* confectionner des cigarettes à tube, à partir de tabac à rouler | * confectionner des cigarettes à tube, à partir de tabac à rouler | ||
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* rammasser (avec plus ou moins de bonheur) des herbes des champs, les faire sécher, les fumer | * rammasser (avec plus ou moins de bonheur) des herbes des champs, les faire sécher, les fumer | ||
Version du 18 juin 2005 à 02:35
Au choix :
- Pulsion masochiste consistant à voir sa vie partir en fumée…
- Un des plaisir de la vie, avec manger, boire, dormir, et tant d'autre choses… comme tout les plaisirs, il n'est pas bien vu de tous
Sommaire
Historique
Le fait de fumer est une pratique ancestrale. Avant de devenir une aliénation, c'était avant tout un plaisir et un acte social.
Ce n'est en fin de compte que très récemment que le produit commercial et manufacuré dénnommé cigarette s'est imposée dans nos sociétés.
L'aliénation de la cigarette
L'aliénation de la cigarette ne tient pas tant dans la cigarette elle-même ou son contenu (tabac…), mais dans le rôle social et individuel qu'elle à désormais prise dans nos sociétés.
La cigarette représente un des symbole de notre société de consommation actuelle combinant capitalisme et culpabilité.
D'un côté la société incite à la consommation tout azimut, donc à la consommation de cigarettes. De l'autre elle culpabilise le citoyen, l'incitant à "capitaliser" sa santé (c'est à dire la mettre de côté pour plus tard, pour jamais). Résultat les gens continuent de fumer mais sans plaisir, avec un sentiment de culpabilité. Ce sentiment de culpabilité tend à générer non un arrêt de la consommation de cigarette, mais une consommation cyclique consistant à arrêter et reprendre sans cesse, sans plus profiter du plaisir même.
Vivre ensemble
Fumer à toujours été une activité hautement sociale, participant au mieux vivre ensemble.
D'année en année, la tolérance des non-fumeurs envers les fumeurs diminue. La raison principale est la meilleure connaissance des risques liés au tabagisme passif.
En France, la loi Evin du 10 janvier 1991 empêche la publicité pour le tabac et interdit de fumer dans les lieux affectés à un usage collectif. Mais cette loi est peu respectée.
Lutter contre la pollution
En plus de la pollution visuelle, un mégot de cigarette met plusieurs années à se dégrader dans la nature. Au lieu de jeter ses mégots par terre, on peut prendre avec soi un cendrier portable. N'importe quelle petite boîte métallique fait l'affaire : boîte de bonbons ou de cigarillos...
L'été, il suffit d'un mégot jeté par la fenêtre d'une voiture pour provoquer un incendie. Pourtant toutes les voitures sont équipées de cendriers.
Que fumer ?
On peut bien sûr fumer les cigarettes préfabriquées par l'industrie lourde. Mais aussi fumer beaucoup d'autre chose :
- tabac à rouler
- tabac à pipe
- cigare
- bidees
- cigarettes à l'eucalyptus
- cannabis et autres plantes psychotropes
- herbes des champs
La fumée se "mange" également, le fumé étant avec la salaison un vieux procédé de conservation
- cuisine au fumet
- poisson fumé
- viande fumé
Comment fumer ?
- fumer des cigarettes industrielle, avec ou sans filtre
- rouler soi même ces cigarettes (pour le plaisir, ou les économies d'argent)
- confectionner des cigarettes à tube, à partir de tabac à rouler
- fumer la pipe ou le calumet
- faire pousser soi-même, sécher et fumer (le cannabis et certains tabacs)
- rammasser (avec plus ou moins de bonheur) des herbes des champs, les faire sécher, les fumer
