Utilisateur:- Hermes -/Listes de travail/Templiers : Différence entre versions

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{{Fin dynastie}}
 
{{Fin dynastie}}
  
== DOCUMENTS ==
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== DOCUMENTS divers ==
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https://fr.wikipedia.org/wiki/Liste_des_commanderies_templi%C3%A8res_en_Midi-Pyr%C3%A9n%C3%A9es
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https://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Prieur%C3%A9_de_Sion&oldid=187487126
  
== lISTE CHRONOLOGIQUE ==
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==Grands Maîtres présumés==
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"Nautonnier", un mot [[vieux français]] pour un [[navigateur]], qui signifie [[Grand Maître (ordre)|Grand Maître]] dans leur nomenclature ésotérique interne. La liste suivante des Grands Maîtres est tirée des ''[[Dossiers Secrets d'Henri Lobineau]]'' compilés par Plantard sous le ''nom de plume'' de "Philippe Toscan du Plantier" en 1967. Tous ceux nommés sur cette liste était morte avant cette date. Tous sauf deux figurent également sur les listes de prétendus « [[Imperator]]s » (chefs suprêmes) et « membres distingués » de l'[[Ancien Ordre mystique Rosae Crucis]] qui circulaient en France à l'époque où Plantard était en contact avec cet [[Ordre Rosicrucien]]. La plupart des personnes nommées partagent le fil conducteur d'être connues pour avoir un intérêt pour l'[[occulte]] ou l'[[hérésie chrétienne|hérésie]].<ref name="Introvigne 2005"/>
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[[File:Leonardo da Vinci - autoportrait présumé - WGA12798.jpg|thumb|right|[[Leonardo da Vinci]], prétendument le Prieuré du 12ème Grand Maître de Sion]]
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Les ''Dossiers Secrets'' affirmaient que le Prieuré de Sion et les [[Chevaliers Templiers]] ont toujours partagé [[Grands Maîtres des Templiers|le même Grand Maître]] jusqu'à un [[schisme (religion)|schisme]] survenu lors de l'incident de la "[[Coupe de l'orme]]" en 1188. Suite à cet événement, les Grands Maîtres du Prieuré de Sion sont répertoriés en [[langue française|français]] comme étant :
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# [[Jean de Gisors]] (1188-1220)
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# Marie de Saint-Clair (1220-1266)- Marie de Saint-Clair (1192-1266), fille de Robert de Saint-Clair et d'Isabel Lévis, devint Grande Maîtresse du Prieuré de 1220 à sa mort (3).
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# [[Guillaume de Gisors]] (1266-1307)
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# [[Edouard de Bar]] (1307-1336)
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# [[Jeanne de Bar]] (1336-1351)
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# Jean de Saint-Clair (1351–1366)
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# [[Blanche de Navarre, reine de France|Blanche d'Évreux]] (1366-1398)
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# [[Nicolas Flamel]] (1398-1418)
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# [[René d'Anjou|René d'Anjou]] (1418–1480)
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# [[Yolande, duchesse de Lorraine|Iolande de Bar]] (1480-1483)
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# [[Sandro Botticelli]] (1483-1510)
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# [[Léonard de Vinci]] (1510-1519)
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# [[Charles III, duc de Bourbon|Connétable de Bourbon]] (1519-1527)
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# [[Ferrante Gonzague|Ferrante I Gonzaga]] (1527-1575)
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# [[Louis Gonzague, duc de Nevers|Ludovico Gonzaga]] (1575-1595)
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# [[Robert Fludd]] (1595-1637)
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# [[Johannes Valentinus Andreae|J. Valentin Andrea]] (1637–1654)
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# [[Robert Boyle]] (1654–1691)
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# [[Isaac Newton]] (1691-1727)
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# [[Charles Radclyffe]] (1727-1746)
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# [[Prince Charles Alexandre de Lorraine|Charles de Lorraine]] (1746-1780)
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# [[archiduc Maximilien François d'Autriche|Maximilien de Lorraine]] (1780-1801)
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# [[Charles Nodier]] (1801-1844)
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# [[Victor Hugo]] (1844-1885)
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# [[Claude Debussy]] (1885-1918)
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# [[Jean Cocteau]] (1918-1963)
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Un document ultérieur, ''Le Cercle d'Ulysse'',<ref name="Jean Delaude 1994"/> identifie [[François Ducaud-Bourget]], un éminent prêtre [[traditionaliste catholique]] pour qui Plantard avait travaillé comme a [[Sexton (bureau)|sexton]] pendant la Seconde Guerre mondiale,<ref name="Introvigne 2005" /> en tant que Grand Maître après la mort de Cocteau. Plantard lui-même est plus tard identifié comme le prochain Grand Maître.
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Lorsque les ''Dossiers secrets'' ont été révélés comme faux par des chercheurs français, Plantard s'est tu. Lors de sa tentative en 1989 de faire un retour et de relancer le Prieuré de Sion, Plantard a cherché à se démarquer de la première liste discréditée, et a publié une deuxième liste de Grands Maîtres du Prieuré,<ref>La deuxième liste est apparue dans ''Vaincre'' No 3, septembre 1989, p. 22.</ref> qui comprenait les noms du défunt Roger-Patrice Pelat, et de son propre fils Thomas Plantard de Saint-Clair :
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# Jean-Tim Negri d'Albes (1681-1703)
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# François d'Hautpoul (1703-1726)
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# [[André Hercule de Rosset de Rocozels de Fleury|André-Hercule de Fleury]] (1726-1766)
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# [[Prince Charles Alexandre de Lorraine|Charles de Lorraine]] (1766-1780)
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# [[archiduc Maximilien François d'Autriche|Maximilien de Lorraine]] (1780-1801)
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# [[Charles Nodier]] (1801-1844)
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# [[Victor Hugo]] (1844-1885)
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# [[Claude Debussy]] (1885-1918)
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# [[Jean Cocteau]] (1918-1963)
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# François Balphangon (1963-1969)
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# John Drick (1969-1981)
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# [[Pierre Plantard|Pierre Plantard de Saint-Clair]] (1981)
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# [[Philippe de Chérisey]] (1984-1985)
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# {{ill|Roger-Patrice Pelat|fr|}} (1985-1989)
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# [[Pierre Plantard|Pierre Plantard de Saint-Clair]] (1989)
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# Thomas Plantard de Saint-Clair (1989)
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En 1993, Plantard a reconnu que les deux listes étaient frauduleuses lorsqu'il a fait l'objet d'une enquête par un juge lors de l'[[Affaire du Prieuré de Sion#Pelat|Affaire de Pelat]].<ref name="lepoint"/><ref name="Philippe Laprévôte 1996 p. 140"/>
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En 2006, l'auteur américain Eric Mader-Lin a fait une déclaration publique affirmant être l'actuel Grand Maître du Prieuré de Sion.<ref>{{cite web|url=http://www.necessaryprose.com/thegm.htm| title=Déclaration du Grand Maître du Prieuré de Sion|website=www.necessaryprose.com}}</ref>
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Le [[emblème]] officiel du Prieuré de Sion est en partie basé sur le [[fleur-de-lis]], qui était un symb
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== LISTE Chronologique ==
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{{à sourcer|date=juillet 2012}}
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{{Synthèse inédite|date=octobre 2021}}
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{{voir homonymes|Sion}}
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[[Fichier:Priory of Sion Logo.png|vignette|droite|uporight=1.2|[[Blason]] officiel du Prieuré de Sion qui est en partie basé sur la [[fleur-de-lis]]symbole associé à la [[monarchie française]].<ref name="Baigent 1982">{{Cite book|last1=Baigent |first1=Michael |author-link1=Michael Baigent |last2=Leigh |first2=Richard |author-link2=Richard Leigh (author) |last3=Lincoln |first3=Henry |author-link3=Henry Lincoln | title=[[The Holy Blood and the Holy Grail]] | publisher=Jonathan Cape|year=1982|isbn=978-0-224-01735-0}}</ref>]]
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Le '''Prieuré de Sion''' est le nom donné à plusieurs groupes, à la fois existants et séculaires ou non, réels et fictifs; dont une organisation fondée en France en 1956 par [[Pierre Plantard]] (1920-2000)<ref>[http://www.rennes-le-chateau.org/evenements/mort-pierre-plantard.php] La mort de Pierre Plantard</ref>. Dans une série de documents tapés à la machine à écrire et déposés à la [[Bibliothèque nationale de France|Bibliothèque nationale]] au milieu des années 1960, intitulés ''[[Dossiers secrets d'Henri Lobineau]]'', [[Pierre Plantard]] présente le Prieuré comme une confrérie remontant à 1099<ref>{{lien web|langue=en|url=http://www.cbsnews.com/news/the-priory-of-sion/|titre=The Priory Of Sion: Is The "Secret Organization" Fact Or Fiction?|site=[[CBS News]] ([[60 Minutes]])|date=30 avril 2006}}</ref>, {{refnec|des faux confectionnés avec le concours de [[Philippe de Chérisey]], le complice de Plantard}}. Néanmoins, de nombreux [[Théorie du complot|théoriciens de la conspiration]] persistent à croire que le Prieuré de Sion est une organisation obscure qui protège un secret capable de faire s'écrouler l'[[Catholicisme|Église catholique]]. Cette thèse est celle proposée par [[Henry Lincoln]], [[Michael Baigent]] et [[Richard Leigh]] dans leur livre ''[[L'Énigme sacrée]]'' publié en 1982 et dont de nombreux éléments ont été repris par [[Dan Brown]] dans son best-seller intitulé ''[[Da Vinci Code]]'', publié le {{date-|18 mars 2003}}.
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== Description des faits et de la polémique ==
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Selon les documents  qui ont été déposés par Pierre Plantardà la [[Bibliothèque nationale de France]] dans les années 1960 intitulés ''Archives du Prieuré de Sion'', le Prieuré de Sion serait une organisation secrète prestigieuse fondée en 1099 à l'issue de la [[Première croisade]], qui aurait compté parmi ses membres un grand nombre de personnages qui figurent parmi les plus illustres de l’histoire et de la civilisation occidentale comme [[Guillaume II de Chanaleilles|Guillaume de Chanaleilles]] (1153-1154), [[Sandro Botticelli]] (1483-1510), [[Leonardo da Vinci]] (1510-1519), [[Charles III de Bourbon|Charles III]] (Duc de Bourbon-Montpensier) (1519-1527), [[Isaac Newton]] (1691-1727), [[Victor Hugo]] (1844-1885), [[Claude Debussy]] (1862-1918) ou encore [[Jean Cocteau]] (1918-1963). {{refnec|En 1993 Pierre Plantard admit cependant que cette liste n'était que le fruit de son imagination.}}
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Toujours selon ces dossiers secrets, le Prieuré de Sion comprenait plus de mille membres, structurés en sept niveaux. À mesure que l'on s'élève dans la hiérarchie, le nombre des membres se divise par trois, jusqu'au nautonier. Nautonier est un mot de vieux français maritime pour celui qui était [[navigateur]], et qui signifie [[Grand Maître (ordre)|Grand Maître]] dans la nomenclature ésotérique interne du Prieuré.
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Toujours selon ces dossiers secrets, le Prieuré de Sion comprenait 1 093 membres, structurés en sept niveaux (un Nautonier - 3 Princes noachites de Notre-Dame - 9 Croisés de Saint-Jean - 27 Commandeurs - 61 Chevaliers - 243 Ecuyers - 729 Preux). À mesure que l'on s'élève dans la hiérarchie, le nombre des membres se divise donc par trois, jusqu'à la charge de nautonier, exercée par une personne seule.
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De nos jours, le Prieuré de Sion a une existence « officielle », mais bien moins mystérieuse et ésotérique : il s'agit d'une [[association loi de 1901]] fondée le {{date|7|mai|1956}} par Pierre Plantard (secrétaire général), André Bonhomme (président), Jean Deleaval (vice-président), Armand Defago (trésorier) et dont les statuts sont déposés à la sous-préfecture de [[Saint-Julien-en-Genevois]] ([[Haute-Savoie]]). Elle prend pour sous-titre l'acronyme CIRCUIT (Chevalerie d'institution et règle catholique et d'union indépendante traditionaliste) et comme emblème un coq blanc. {{refnec|Plantard, accusé de fraude devant la justice française en [[1992]] a déclaré qu'il s'agissait d'une supercherie qui était censée le mettre sur le trône de France en tant que descendant des [[Francs#Les_Mérovingiens|Francs]] [[Mérovingiens]].}}
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Le {{date|27|décembre|2002}}, un communiqué publié sur du papier à en-tête officiel, annonce publiquement la réactivation de la société. Le message est signé de Gino Sandri, ancien secrétaire particulier de Pierre Plantard, sous le titre de secrétaire général, et d'une femme anonyme, censée être le nouveau « nautonier ». Cependant, certains experts n'y ont vu qu'un coup publicitaire.
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== Liste des Grands Maîtres ==
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La version du Prieuré de Sion, dont il a été question pour la première fois dans les années 1960, était censée être dirigée par un ''Nautonnier'', soit un vieux mot français désignant un ''Navigateur'' et qui signifie grand maître dans leur nomenclature ésotérique interne.
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[[Wikt:grand maître|Grand maître]] devint le titre traditionnel généralement attribué au plus haut dirigeant d’un ordre ou d’une [[confrérie]].
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En [[1967]], la liste suivante des grands maîtres provient des Dossiers Secrets d'Henri Lobineau compilés par Pierre Plantard sous nom de plume de ''Philippe Toscan du Plantier''. Cette liste circulait en France à l'époque où Pierre Plantard était dit en relation avec l'Ordre rosicrucien. Deux membres qui n'étaient pas décédès avant cette date, figuraient sur cette liste, et étaient présents également sur des listes de dits «Imperators» (chefs suprêmes) et de «membres distingués» de l' ancien ordre mystique [[Rose-Croix|Rosae Crucis]]. A ses débuts, le conseil suprême de ''Supérieurs Inconnus'' des Rosae Crucis, ne comprenant que 9 membres<ref> R.Le Forestier, ''Les Supérieurs Inconnus'', ''op.cit'', {{p.|81-82}} </ref>. Les idées des Rose-croix se sont propagée dans les milieux maçonniques allemands et protestants<ref name="Bayard_1987">{{harv|Bayard|1987|p=295-335}}</ref>, alors que le pape [[Clément XII]]<ref>lointain successeur de [[Clément V]] qui avait dissous l'Ordre sous la pression de [[Philippe IV le Bel]]</ref> s'était élevé contre la franc-maçonnerie dans la bulle [[In eminenti apostolatus specula]] (1738).
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La plupart des personnes nommées dans les "Dossiers" partagent le fil conducteur d'être connues pour s'intéresser à l' occultisme ou à une ''certaine hérésie''. Certains desdits grands maîtres et grandes maîtresses du Prieuré de Sion, tels que Jeanne de Bar, Léonard de Vinci, Nicolas Flamel, Isaac Newton, Charles Nodier, Victor Hugo, Claude Debussy ou encore Jean Cocteau, ont été des précurseurs, des célébrités modernistes de leur temps.
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Les grands maîtres du Prieuré de Sion sont répertoriés en français comme étant ''grands maîtres du Prieuré de Sion'' comme suit en liste :
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<table border="1">
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<tr>
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<th width="30%">Grands maîtres du Prieuré de Sion</th>
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<th width="70%">À noter que...</th>
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</tr>
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<tr valign="top">
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<td>
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''Début présumé de liste''...<br>
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# [[Hugues de Blanquefort]] (1150-1151)
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# [[Bernard de Tramelay]] (1151-1153)
 +
# [[Guillaume de Chanaleilles (Prieuré de Sion)|Guillaume Chanaleilles]] (1153-1154)
 +
# [[Évrard des Barres]] (1154-1155)
 +
# [[André de Montbard]] (1155-1156)
 +
# [[Bertrand de Blanquefort]] (1156-1169)
 +
# [[Philippe de Milly]] (1169-1170)
 +
# [[Eudes de Saint-Amand]] (1170- 1180)
 +
# [[Arnaud de Toroge]] (1181-1184)
 +
# [[Gérard de Ridefort]] (1184-1188)
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....................................................................
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: => ''Scission dans l'Ordre'' <=
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....................................................................
 +
# [[Jean de Gisors]] (1188-1220)<ref>[[Guy-Claude Mouny|Guy Mouny]], ''Rennes-le-Château: un autre regard sur l'énigme'', Cheminements, Le Coudray-Macouard, 1999.</ref>
 +
# [[Marie de Saint-Clair]] (1220-1266)
 +
# [[Guillaume de Gisors]] (1266-1307)
 +
# [[Edouard de Bar]] (1307–1336)
 +
# [[Jeanne de Bar]] (1336–1351)
 +
# [[Jean de Saint-Clair]] (1351–1366)
 +
# [[Blanche d'Évreux]] (1366–1398)
 +
# [[Nicolas Flamel]] (1398–1418)
 +
# [[René_d'Anjou#Gestionnaire_éclairé_et_amoureux_des_arts|René d'Anjou]] (1418–1480)
 +
# [[Iolande de Bar]] (1480-1483)
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# [[Sandro Botticelli]] (1483-1510)
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# [[Léonard de Vinci]] (1510-1519)
 +
# [[Connétable de Bourbon]] (1519-1527)
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# [[Ferrante I Gonzaga]] (1527–1575)
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# [[Ludovico Gonzaga]] (1575–1595)
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# [[Robert Fludd]] (1595–1637)
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# [[J. Valentin Andrea]] (1637-1654)
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# [[Robert Boyle]] (1654-1691)
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# [[Isaac Newton]] (1691–1727)
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# [[Charles Radclyffe]] (1727–1746)
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# [[Charles de Lorraine]] (1746–1780)
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# [[Maximilien de Lorraine]] (1780-1801)
 +
# [[Charles Nodier]] (1801–1844)
 +
# [[Victor Hugo]] (1844–1885)
 +
# [[Claude Debussy]] (1885–1918)
 +
# [[Erik Satie]] (1918-1925)
 +
# [[Jean Cocteau]] (1925-1963)
 +
# .
 +
</td>
 +
<td><br>
 +
* ...
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* Bernard de Tramelay (xxxx-xxxx) est dit [[Liste_des_maîtres_de_l'ordre_du_Temple|4ème maître]] (1152 à 1153) de l'ordre du Temple
 +
* ...
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* Évrard [[Oissery#Le_château|des Barres]] (1113-1174) est dit [[Liste_des_maîtres_de_l'ordre_du_Temple|3ème maître]] (1147 à 1151) de l'ordre du Temple. Son frère [[Évrard_des_Barres#Jeunesse|Guillaume Ier des Barres]] (1130-1180), bienfaiteur du prieuré de Noëfort est le 1er membre de la [[maison]] des Barres<ref> {{harvsp|Étienne Pattou|2006-2016|p=2 et 3.}} ; {{harvsp|Jean-Baptiste-Pierre Courcelles|1822|p=1}}.</ref> Guillaume est dit croisé « pelerin en Jerusalem » après la [[deuxième croisade]]<ref>[http://fmg.ac/Projects/MedLands/parcorroc.htm#_ftnref513 B. Comtes de Rochefort (Barres)].</ref>.
 +
* ...
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* André de [[Château de Montbard|Montbard]] (1103-1156) est dit [[Liste_des_maîtres_de_l'ordre_du_Temple|5ème maître]] (1153 à 1156) de l'ordre du Temple et l'un de ses 9 chevaliers fondateurs. Sa soeur [[Alèthe (sainte)|Sainte Alèthe de Montbard]] (1070-1107) est la mère de saint [[Bernard de Clairvaux]] (oncle d'andré)
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* Bertrand de [[Château de Blanquefort|Blanquefort]] (1109-1169) est dit [[Liste_des_maîtres_de_l'ordre_du_Temple|6ème maître]] (1156 à 1169) de l'ordre du Temple
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* ...
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* ...
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* ...
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* [[17 janvier]] 1188, au jour de [[Antoine]] et [[Roseline]],  près du [[Château de Gisors|fort de Gisors]] sous un vieil [[orme]] séculaire sis  « en marche » de Normandie où se déroulent [[Hommage féodal|hommages]] et pactes est lancée [[troisième croisade|3ème croisade]]<ref name="Favier">{{Ouvrage |auteur1=Jean Favier |titre=Les Plantagenêts |sous-titre=Origines et destin d'un empire (XIe-XIVe siècles) |éditeur=[[Librairie Arthème Fayard|Fayard]] |année=2004 |pages totales=962 |isbn=978-2-213-63974-1 |présentation en ligne={{Google Livres|Cucm4nYdxfQC|page=PT81}}}}</ref>...
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*[[28 juillet]] 1188: [[Guillaume II des Barres]] combat [[Richard Ier d'Angleterre|Richard ''Cœur de Lion'']], est fait prisonnier à [[Châteauroux]]; puis s’évade<ref name="Pernoud">{{Ouvrage |auteur1=Régine Pernoud |titre=Richard Cœur de Lion |éditeur=[[Librairie Arthème Fayard|Fayard]] |année=1988 |pages totales=326 |isbn=978-2-213-63880-5 |présentation en ligne={{Google Livres|_TWbAAAAQBAJ|page=70}}}}</ref>
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* 18 août [[1188#Événements|1188]], 2ème réunion entre les rois [[Henri II d'Angleterre|Henri II]] et [[Château_de_Gisors#L'annexion_par_Philippe_Auguste|Philippe Auguste]] près de [[Gisors]] : le vieil [[orme]] séculaire est abattu par le camp français<ref>{{Ouvrage |auteur1=Henry Arbois de Jubainville, Léon Pigeotte, Auguste Longnon |titre=Histoire des ducs et des comtes de Champagne |éditeur=A. Durand |année=1865 |présentation en ligne={{Google Livres|_LoNAAAAIAAJ|page=23}}}}</ref>...
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* Jean de Gisors est un normand [[Vikings#Autres_noms|Viking]], fondateur de [[Portsmouth]] et est lié à  [[Thomas_Becket#L'assassinat|saint Thomas Becket]].
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* Marie de Saint-Clair (1192-1266) est fille de [[Robert de Saint-Clair]] et d'[[Isabel Levis]].
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* A la mort de Marie, sa mère Isabel Levis serait devenue ''grande maîtresse'' du Prieuré de 1220.
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* Le roi René administre et au développe l'[[Anjou]], la [[Lorraine]] et la [[Provence]]. Amoureux des arts et des livres, il est un des mécènes les plus importants, curieux et originaux de la fin du Moyen Âge.
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* ...les plus célèbres sont saint [[Antoine le Grand]] d'Égypte, le fondateur du [[monachisme]] chrétien, et saint [[Antoine de Padoue]], [[docteur de l'Église]]
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* [[Pablo Picasso|Picasso]] et surtout [[Jean_Marais#Rencontre_avec_Jean_Cocteau|Jean Marais]] (décédé en 1998) sont deux artistes très proches de Jean Cocteau.
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* .
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</td>
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</tr>
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</table>
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== Reprise de la théorie par des auteurs essayistes ==
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Dans ''[[L'Énigme sacrée]]'' (''The Holy Blood and the Holy Grail'', « La Sainte Lignée et le Saint [[Graal]] ») publié en [[1982 en littérature|1982]] par [[Henry Lincoln]], [[Michael Baigent]] et [[Richard Leigh]], trois journalistes britanniques, présentent le Prieuré comme un regroupement d'organisations secrètes telles que [[Templum Domini]], Ordo Hospitalis Sancti Johannis Hierosolymitani [[Ordre de Saint-Jean de Jérusalem|Ordo Hospitalis Sancti Johannis Hierosolymitani]], [[Rose-croix|Rosae Crucis]] ou autres [[franc-maçonnerie|francs-maçons]]. Dans cet essai, la dynastie mérovingienne quant à elle descendrait directement de [[Jésus de Nazareth|Jésus]] et de [[Marie Madeleine|Marie-Madeleine]]. Dans cette optique, la mission du Prieuré serait donc de cacher l'existence de cette « sainte lignée ». Les trois coauteurs établirent un lien entre cette mission et le thème du [[Graal]], traditionnellement associé aux Templiers et déclarent que le « [[Graal]] » est une métaphore qui désignerait cette descendance supposée du [[Jésus de Nazareth|Christ]].
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L'auteur [[John Daniel]] reprend également la théorie du complot décrite par Pierre Plantard dans son ouvrage ''Scarlet and the Beast - A History of the War between English and French Freemasonry'' (''L'écarlate et la bête - Une histoire de la guerre entre la franc-maçonnerie anglaise et française'')<ref>[[John Daniel]], ''Scarlet and the Beast - A History of the War between English and French Freemasonry'', Day Publishing; 3rd edition (April 1, 2007), {{ISBN|978-1890913991}}</ref>.
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== Reprise de la théorie dans la littérature ==
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[[Fichier:Leonardo da Vinci - presumed self-portrait - WGA12798.jpg|vignette|droite|uporight=1.2|[[Leonard de Vinci]], présumé 12ème grand maitre du Prieuré de Sion<ref name="Brown 2003">{{Cite book|author=[[Dan Brown]] | title=[[Da Vinci Code]] | publisher=Doubleday |year=2003|isbn=2709626934}}, éd. française 2004 chez [[Jean-Claude Lattès]]</ref>]]
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[[Umberto Eco]], dans son roman de [[1988]], ''[[Le Pendule de Foucault]]'', montre son point de vue sur la question en illustrant un système d’associations sans preuve qui aurait permis le fondement de la société secrète.
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Dans la série de romans historiques ''[[Les Enfants du Graal]]'' ([[1991]] à [[1997]]) de [[Peter Berling]], le Prieuré de Sion y protège les deux héros, Roç et Yesa, qui y sont présentés comme des descendants de Jésus. Elle met aussi en scène [[Guillaume de Gisors]] et [[Marie de Saint-Clair]], deux des grands maîtres de la société.
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[[Dan Brown]], quant à lui, a repris tous ces thèmes pour construire l'intrigue de son ''[[Da Vinci Code]]''. La trame de ce roman s'appuie en réalité sur l'histoire de l'[[abbé Saunière]], curé de la paroisse de [[Rennes-le-Château]] située dans l'[[Aude (département)|Aude]]. Autour de la relation entre Jésus-Christ et Marie-Madeleine, sur laquelle le roman de Dan Brown décline son énigme, se greffe le Prieuré de Sion. La société secrète est ici présentée comme une des clefs de voûte de la descendance de Jésus-Christ. Cette fiction navigue ainsi entre vérité et parfum de complot et dans laquelle Léonard de Vinci, le Saint Graal, les Templiers, les cathares et les francs-maçons viennent s'ajouter. L'écrivain [[André Grall]] s'y verra même impliqué.
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[[Jean-Paul Bourre]] a repris le thème du Prieuré de Sion dans un thriller politico-occultiste intitulé, ''L'Élu du serpent rouge'' (éditions Les Belles Lettres) : Patrice Villard (''alias'' [[François de Grossouvre]]) est le grand maître du Prieuré de Sion et responsable des Chasses présidentielles (couverture lui permettant d'être un des conseillers occultes du Président François Mitterrand). Car dès les années 1950, il était devenu honorable correspondant de services de renseignement extérieurs français, le [[Service de documentation extérieure et de contre-espionnage]]<ref>[[Edwy Plenel]], ''Le journaliste et le Président'', Stock, 2006.</ref>. On voit apparaître un certain Gillis, archiviste de l'Ordre de Dieu. Différentes sociétés secrètes ou discrètes vont se disputer un mystérieux manuscrit intitulé « Le serpent rouge ».
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* Le livre de Dan Brown "[[Da Vinci Code]]" et le [[Da Vinci Code (film)|film]] qui en a résulté, font allusion au Prieuré de Sion
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* Les ''[[Dossiers secrets d'Henri Lobineau]]''
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* [[Philippe de Chérisey]]
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* [[Pierre Plantard]]
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* [[François Ducaud-Bourget]]
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* ''[[Le Sang des Templiers]]'' (''Das Blut der Templer'') : : téléfilm allemand réalisé par [[Florian Baxmeyer]], sorti en 2004, conte l'histoire d'un jeune homme qui descendrait des Prieurs de Sion et des [[Ordre du Temple|Chevaliers du Temple]]. Ces deux ordres se battent depuis des siècles pour la possession du [[Saint Graal]].
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* [[Vie cachée de Jésus]]
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* [[Rennes-le-Château#L'Antiquité|Rhedae]]
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* [[Famille saint-clair]]
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* [[Légendes au sujet des Templiers]]
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**[[Liste des maîtres de province de l'ordre du Temple]]
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* [[Sion (Bible)]]
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* [[Fille_de_Sion#Bible_hébraïque|Fille de Sion]]
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* [[Protocoles des Sages de Sion]]
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* [[Basilique Notre-Dame de Sion]]
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* [[Maison des Barres]]
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* [[Armorial de la maison de Lorraine]]
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* [[Comté de Bar]]
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** [[Liste des comtes puis ducs de Bar]]
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** [[Liste des ducs de Lorraine]]
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== Liens externes ==<!--Liens vers des pages web externes à l'encyclopédie fr.wikipedia-->
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* Site Officiel du Prieuré de Sion - Ordre de la Rose-Croix Véritas: [http://www.prieure-de-sion.com O.D.L.R.C.V.]
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* [https://fmg.ac/Projects/MedLands/BAR.htm#_Toc484261336 Medieval Lands : comtes de Bar]
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== Bibliographie ==
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* ''Adler :'' {{ouvrage|prénom1=Alexandre|nom1=Adler|lien auteur1=Alexandre Adler|langue=fr|titre=Sociétés secrètes : de Léonard de Vinci à Rennes-le-Château|éditeur=Bernard Grasset|lieu=Paris|année=2007|mois= |jour= |pages totales=318|isbn=9782246724018}}.
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* ''Bordes'' Richard, "Les Mérovingiens à Rennes-le-Château, mythe ou réalité", Philippe Schrauben Éditeur, 1984.
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* [[Bourre|Bourre Jean-Paul]], ''L'Élu du Serpent rouge'', [[Les Belles Lettres]], 2004, 303 pages. (ouvrage consacré à Rennes-le-château avec une étude approfondie sur [[Pierre Plantard]] et le Prieuré de Sion.)
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* Buchholtzer Laurent, ''Octonovo'', ''Rennes-le-château, une affaire paradoxale'', L'Œil du Sphinx, 2008.
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* ''Cipriani'' Domizio, ''Templar Order il cammino dei templari la via verso la saggezza by Bastogi'' libri 2016 {{ISBN|9788899376482}} IT, FR, EN.
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* Cipriani Domizio, ''Le Prieuré de Sion una scienza sociale'', by Bastogi libri, 2018, IT {{ISBN|8894894711|978-8894894714}}
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* ''[[Dan Brown]]'', ''The Da Vinci Code'', édition originale, [[Doubleday]], 2003, {{ISBN|0385504209}} ; ''[[Da Vinci Code]]'', éd. française chez [[Jean-Claude Lattès]], 2004 {{ISBN|2709624931}}, édition illustrée {{ISBN|2709626934}}.
 +
* De Lestrange Aymon et [[Raoul de Warren]], ''Les prétendants au trône de France'', L'Herne, Paris, plusieurs rééditions.
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* [[Don Rosa]], ''[[Une lettre de la maison]]'', [[Egmont Ehapa Verlag|Egmont]], 34 p, [[2004]], où les antagonistes font partie du Prieuré. (ouvrage de fiction faisant une référence au Prieuré de Sion)
 +
* Doumergue Christian, ''Le secret Dévoilé'', Éditions de l'Opportun, 2013
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* Doumergue Christian et Thierry E. Garnier, ''Le Prieuré de Sion'', Éditions Arqa, 2012
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* [[Marie-France Etchegoin|''Etchegoin'' Marie-France]] et [[Frédéric Lenoir]], ''Code Da Vinci : l'enquête'', paru en {{date-|mai 2006}} Essai (Poche)
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* ''Garcia'' Jean-Pierre, ''Rennes-le-Château : Le Secret dans l'Art ou l'Art du Secret'', 2008 {{ISBN|978-2-9530184-0-0}}
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* ''[[Henry Lincoln|Lincoln Henry]]'', [[Michael Baigent]] et [[Richard Leigh]], [[L'Énigme sacrée]]'' (''The Holy Blood and the Holy Grail'', « La Sainte Lignée et le Saint [[Graal]] »), publié en [[1982 en littérature|1982]]
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* ''Martinez Otero'' Luis-Miguel, ''El Priorato de Sión'', Obelisco, 2004 {{ISBN|84-9777-093-5}}
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* [[Massimo Introvigne|Introvigne Massimo]], ''Les Illuminés et le Prieuré de Sion'', traduction Antoine Ofenbauer, [[Éditions Xenia]], Vevey, CH. avec un résumé sur le site du [[Centre pour l'études des nouvelles religions|CESNUR]] [http://www.cesnur.org/2006/mvr.pdf]
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* [[Jean Robin (écrivain)|''Robin'' Jean]], ''Les Sociétés secrètes au rendez-vous de l'Apocalypse'', [[Guy Trédaniel éditeur]], 1985, 390 p. (seconde partie).
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== Notes et références ==
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{{Références}}
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[[Catégorie:Théorie du complot]]

Version du 31 octobre 2021 à 02:12

HYPOTHESE templière

  • L'hypothèse d'un lien cagot/templiers (issue notamment du livre Les Templiers de Michel Lamy, paru en 2001) n'est qu'une des nombreuses hypothèses et qu'elle est loin d'être jugée la plus crédible
    • De plus, le fait que des Templiers aient fait appel à des charpentiers est banal, puisque de nombreux seigneurs (templiers ou non) ou paroisses ont fait appel à des cagots, qui dans certaines zones du Sud-Ouest étaient de toute façon les seuls à pratiquer ce métier :

L'histoire des cagots est liée à celle des Templiers. En effet, les templiers furent commanditaires de nombreuses chapelles, églises ou cathédrales. Dans la construction d'une voute d'une église, une des difficultés majeures est d'obtenir la courbe. Celle-ci est obtenue à l'aide d'une charpente en bois, véritable ouvrage d'art d'autant plus précieux qu'il est temporaire, jusqu'à ce que la clé de voute verrouille la voute. On a vu que les cagots étaient souvent menuisiers ou charpentiers. Lorsque les templiers ont recherché les meilleurs ouvriers, ils ont souvent recruté des cagots. On trouve notamment des cagots sur les chantiers des cathédrales d'Amiens, de Reims, de Beauvais... C'est ainsi qu'on trouve aujourd'hui dans la Picardie et le nord de la France des descendants des Cagots, notamment une famille Gaffet, une famille Caqueux.


DOCUMENTS divers

https://fr.wikipedia.org/wiki/Liste_des_commanderies_templi%C3%A8res_en_Midi-Pyr%C3%A9n%C3%A9es https://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Prieur%C3%A9_de_Sion&oldid=187487126

Grands Maîtres présumés

"Nautonnier", un mot vieux français pour un navigateur, qui signifie Grand Maître dans leur nomenclature ésotérique interne. La liste suivante des Grands Maîtres est tirée des Dossiers Secrets d'Henri Lobineau compilés par Plantard sous le nom de plume de "Philippe Toscan du Plantier" en 1967. Tous ceux nommés sur cette liste était morte avant cette date. Tous sauf deux figurent également sur les listes de prétendus « Imperators » (chefs suprêmes) et « membres distingués » de l'Ancien Ordre mystique Rosae Crucis qui circulaient en France à l'époque où Plantard était en contact avec cet Ordre Rosicrucien. La plupart des personnes nommées partagent le fil conducteur d'être connues pour avoir un intérêt pour l'occulte ou l'hérésie.[1]
Fichier:Leonardo da Vinci - autoportrait présumé - WGA12798.jpg
Leonardo da Vinci, prétendument le Prieuré du 12ème Grand Maître de Sion

Les Dossiers Secrets affirmaient que le Prieuré de Sion et les Chevaliers Templiers ont toujours partagé le même Grand Maître jusqu'à un schisme survenu lors de l'incident de la "Coupe de l'orme" en 1188. Suite à cet événement, les Grands Maîtres du Prieuré de Sion sont répertoriés en français comme étant :

  1. Jean de Gisors (1188-1220)
  2. Marie de Saint-Clair (1220-1266)- Marie de Saint-Clair (1192-1266), fille de Robert de Saint-Clair et d'Isabel Lévis, devint Grande Maîtresse du Prieuré de 1220 à sa mort (3).
  3. Guillaume de Gisors (1266-1307)
  4. Edouard de Bar (1307-1336)
  5. Jeanne de Bar (1336-1351)
  6. Jean de Saint-Clair (1351–1366)
  7. Blanche d'Évreux (1366-1398)
  8. Nicolas Flamel (1398-1418)
  9. René d'Anjou (1418–1480)
  10. Iolande de Bar (1480-1483)
  11. Sandro Botticelli (1483-1510)
  12. Léonard de Vinci (1510-1519)
  13. Connétable de Bourbon (1519-1527)
  14. Ferrante I Gonzaga (1527-1575)
  15. Ludovico Gonzaga (1575-1595)
  16. Robert Fludd (1595-1637)
  17. J. Valentin Andrea (1637–1654)
  18. Robert Boyle (1654–1691)
  19. Isaac Newton (1691-1727)
  20. Charles Radclyffe (1727-1746)
  21. Charles de Lorraine (1746-1780)
  22. Maximilien de Lorraine (1780-1801)
  23. Charles Nodier (1801-1844)
  24. Victor Hugo (1844-1885)
  25. Claude Debussy (1885-1918)
  26. Jean Cocteau (1918-1963)

Un document ultérieur, Le Cercle d'Ulysse,[2] identifie François Ducaud-Bourget, un éminent prêtre traditionaliste catholique pour qui Plantard avait travaillé comme a sexton pendant la Seconde Guerre mondiale,[1] en tant que Grand Maître après la mort de Cocteau. Plantard lui-même est plus tard identifié comme le prochain Grand Maître.

Lorsque les Dossiers secrets ont été révélés comme faux par des chercheurs français, Plantard s'est tu. Lors de sa tentative en 1989 de faire un retour et de relancer le Prieuré de Sion, Plantard a cherché à se démarquer de la première liste discréditée, et a publié une deuxième liste de Grands Maîtres du Prieuré,[3] qui comprenait les noms du défunt Roger-Patrice Pelat, et de son propre fils Thomas Plantard de Saint-Clair :

  1. Jean-Tim Negri d'Albes (1681-1703)
  2. François d'Hautpoul (1703-1726)
  3. André-Hercule de Fleury (1726-1766)
  4. Charles de Lorraine (1766-1780)
  5. Maximilien de Lorraine (1780-1801)
  6. Charles Nodier (1801-1844)
  7. Victor Hugo (1844-1885)
  8. Claude Debussy (1885-1918)
  9. Jean Cocteau (1918-1963)
  10. François Balphangon (1963-1969)
  11. John Drick (1969-1981)
  12. Pierre Plantard de Saint-Clair (1981)
  13. Philippe de Chérisey (1984-1985)
  14. Modèle:Ill (1985-1989)
  15. Pierre Plantard de Saint-Clair (1989)
  16. Thomas Plantard de Saint-Clair (1989)

En 1993, Plantard a reconnu que les deux listes étaient frauduleuses lorsqu'il a fait l'objet d'une enquête par un juge lors de l'Affaire de Pelat.[4][5]

En 2006, l'auteur américain Eric Mader-Lin a fait une déclaration publique affirmant être l'actuel Grand Maître du Prieuré de Sion.[6]

Le emblème officiel du Prieuré de Sion est en partie basé sur le fleur-de-lis, qui était un symb


LISTE Chronologique

Modèle:À sourcer Modèle:Synthèse inédite

Page d'aide sur l'homonymie Pour les articles homonymes, voir Sion   
Fichier:Priory of Sion Logo.png
Blason officiel du Prieuré de Sion qui est en partie basé sur la fleur-de-lissymbole associé à la monarchie française.[7]

Le Prieuré de Sion est le nom donné à plusieurs groupes, à la fois existants et séculaires ou non, réels et fictifs; dont une organisation fondée en France en 1956 par Pierre Plantard (1920-2000)[8]. Dans une série de documents tapés à la machine à écrire et déposés à la Bibliothèque nationale au milieu des années 1960, intitulés Dossiers secrets d'Henri Lobineau, Pierre Plantard présente le Prieuré comme une confrérie remontant à 1099[9], des faux confectionnés avec le concours de Philippe de Chérisey, le complice de Plantard[réf. nécessaire]. Néanmoins, de nombreux théoriciens de la conspiration persistent à croire que le Prieuré de Sion est une organisation obscure qui protège un secret capable de faire s'écrouler l'Église catholique. Cette thèse est celle proposée par Henry Lincoln, Michael Baigent et Richard Leigh dans leur livre L'Énigme sacrée publié en 1982 et dont de nombreux éléments ont été repris par Dan Brown dans son best-seller intitulé Da Vinci Code, publié le Modèle:Date-.

Description des faits et de la polémique

Selon les documents qui ont été déposés par Pierre Plantardà la Bibliothèque nationale de France dans les années 1960 intitulés Archives du Prieuré de Sion, le Prieuré de Sion serait une organisation secrète prestigieuse fondée en 1099 à l'issue de la Première croisade, qui aurait compté parmi ses membres un grand nombre de personnages qui figurent parmi les plus illustres de l’histoire et de la civilisation occidentale comme Guillaume de Chanaleilles (1153-1154), Sandro Botticelli (1483-1510), Leonardo da Vinci (1510-1519), Charles III (Duc de Bourbon-Montpensier) (1519-1527), Isaac Newton (1691-1727), Victor Hugo (1844-1885), Claude Debussy (1862-1918) ou encore Jean Cocteau (1918-1963). En 1993 Pierre Plantard admit cependant que cette liste n'était que le fruit de son imagination.[réf. nécessaire]

Toujours selon ces dossiers secrets, le Prieuré de Sion comprenait plus de mille membres, structurés en sept niveaux. À mesure que l'on s'élève dans la hiérarchie, le nombre des membres se divise par trois, jusqu'au nautonier. Nautonier est un mot de vieux français maritime pour celui qui était navigateur, et qui signifie Grand Maître dans la nomenclature ésotérique interne du Prieuré. Toujours selon ces dossiers secrets, le Prieuré de Sion comprenait 1 093 membres, structurés en sept niveaux (un Nautonier - 3 Princes noachites de Notre-Dame - 9 Croisés de Saint-Jean - 27 Commandeurs - 61 Chevaliers - 243 Ecuyers - 729 Preux). À mesure que l'on s'élève dans la hiérarchie, le nombre des membres se divise donc par trois, jusqu'à la charge de nautonier, exercée par une personne seule.

De nos jours, le Prieuré de Sion a une existence « officielle », mais bien moins mystérieuse et ésotérique : il s'agit d'une association loi de 1901 fondée le 7 mai 1956 par Pierre Plantard (secrétaire général), André Bonhomme (président), Jean Deleaval (vice-président), Armand Defago (trésorier) et dont les statuts sont déposés à la sous-préfecture de Saint-Julien-en-Genevois (Haute-Savoie). Elle prend pour sous-titre l'acronyme CIRCUIT (Chevalerie d'institution et règle catholique et d'union indépendante traditionaliste) et comme emblème un coq blanc. Plantard, accusé de fraude devant la justice française en 1992 a déclaré qu'il s'agissait d'une supercherie qui était censée le mettre sur le trône de France en tant que descendant des Francs Mérovingiens.[réf. nécessaire]

Le 27 décembre 2002, un communiqué publié sur du papier à en-tête officiel, annonce publiquement la réactivation de la société. Le message est signé de Gino Sandri, ancien secrétaire particulier de Pierre Plantard, sous le titre de secrétaire général, et d'une femme anonyme, censée être le nouveau « nautonier ». Cependant, certains experts n'y ont vu qu'un coup publicitaire.

Liste des Grands Maîtres

La version du Prieuré de Sion, dont il a été question pour la première fois dans les années 1960, était censée être dirigée par un Nautonnier, soit un vieux mot français désignant un Navigateur et qui signifie grand maître dans leur nomenclature ésotérique interne.

Grand maître devint le titre traditionnel généralement attribué au plus haut dirigeant d’un ordre ou d’une confrérie.

En 1967, la liste suivante des grands maîtres provient des Dossiers Secrets d'Henri Lobineau compilés par Pierre Plantard sous nom de plume de Philippe Toscan du Plantier. Cette liste circulait en France à l'époque où Pierre Plantard était dit en relation avec l'Ordre rosicrucien. Deux membres qui n'étaient pas décédès avant cette date, figuraient sur cette liste, et étaient présents également sur des listes de dits «Imperators» (chefs suprêmes) et de «membres distingués» de l' ancien ordre mystique Rosae Crucis. A ses débuts, le conseil suprême de Supérieurs Inconnus des Rosae Crucis, ne comprenant que 9 membres[10]. Les idées des Rose-croix se sont propagée dans les milieux maçonniques allemands et protestants[11], alors que le pape Clément XII[12] s'était élevé contre la franc-maçonnerie dans la bulle In eminenti apostolatus specula (1738).

La plupart des personnes nommées dans les "Dossiers" partagent le fil conducteur d'être connues pour s'intéresser à l' occultisme ou à une certaine hérésie. Certains desdits grands maîtres et grandes maîtresses du Prieuré de Sion, tels que Jeanne de Bar, Léonard de Vinci, Nicolas Flamel, Isaac Newton, Charles Nodier, Victor Hugo, Claude Debussy ou encore Jean Cocteau, ont été des précurseurs, des célébrités modernistes de leur temps.

Les grands maîtres du Prieuré de Sion sont répertoriés en français comme étant grands maîtres du Prieuré de Sion comme suit en liste :

Grands maîtres du Prieuré de Sion À noter que...

Début présumé de liste...

  1. Hugues de Blanquefort (1150-1151)
  2. Bernard de Tramelay (1151-1153)
  3. Guillaume Chanaleilles (1153-1154)
  4. Évrard des Barres (1154-1155)
  5. André de Montbard (1155-1156)
  6. Bertrand de Blanquefort (1156-1169)
  7. Philippe de Milly (1169-1170)
  8. Eudes de Saint-Amand (1170- 1180)
  9. Arnaud de Toroge (1181-1184)
  10. Gérard de Ridefort (1184-1188)

....................................................................

=> Scission dans l'Ordre <=

....................................................................

  1. Jean de Gisors (1188-1220)[13]
  2. Marie de Saint-Clair (1220-1266)
  3. Guillaume de Gisors (1266-1307)
  4. Edouard de Bar (1307–1336)
  5. Jeanne de Bar (1336–1351)
  6. Jean de Saint-Clair (1351–1366)
  7. Blanche d'Évreux (1366–1398)
  8. Nicolas Flamel (1398–1418)
  9. René d'Anjou (1418–1480)
  10. Iolande de Bar (1480-1483)
  11. Sandro Botticelli (1483-1510)
  12. Léonard de Vinci (1510-1519)
  13. Connétable de Bourbon (1519-1527)
  14. Ferrante I Gonzaga (1527–1575)
  15. Ludovico Gonzaga (1575–1595)
  16. Robert Fludd (1595–1637)
  17. J. Valentin Andrea (1637-1654)
  18. Robert Boyle (1654-1691)
  19. Isaac Newton (1691–1727)
  20. Charles Radclyffe (1727–1746)
  21. Charles de Lorraine (1746–1780)
  22. Maximilien de Lorraine (1780-1801)
  23. Charles Nodier (1801–1844)
  24. Victor Hugo (1844–1885)
  25. Claude Debussy (1885–1918)
  26. Erik Satie (1918-1925)
  27. Jean Cocteau (1925-1963)
  28. .


Reprise de la théorie par des auteurs essayistes

Dans L'Énigme sacrée (The Holy Blood and the Holy Grail, « La Sainte Lignée et le Saint Graal ») publié en 1982 par Henry Lincoln, Michael Baigent et Richard Leigh, trois journalistes britanniques, présentent le Prieuré comme un regroupement d'organisations secrètes telles que Templum Domini, Ordo Hospitalis Sancti Johannis Hierosolymitani Ordo Hospitalis Sancti Johannis Hierosolymitani, Rosae Crucis ou autres francs-maçons. Dans cet essai, la dynastie mérovingienne quant à elle descendrait directement de Jésus et de Marie-Madeleine. Dans cette optique, la mission du Prieuré serait donc de cacher l'existence de cette « sainte lignée ». Les trois coauteurs établirent un lien entre cette mission et le thème du Graal, traditionnellement associé aux Templiers et déclarent que le « Graal » est une métaphore qui désignerait cette descendance supposée du Christ.

L'auteur John Daniel reprend également la théorie du complot décrite par Pierre Plantard dans son ouvrage Scarlet and the Beast - A History of the War between English and French Freemasonry (L'écarlate et la bête - Une histoire de la guerre entre la franc-maçonnerie anglaise et française)[19].

Reprise de la théorie dans la littérature

Umberto Eco, dans son roman de 1988, Le Pendule de Foucault, montre son point de vue sur la question en illustrant un système d’associations sans preuve qui aurait permis le fondement de la société secrète.

Dans la série de romans historiques Les Enfants du Graal (1991 à 1997) de Peter Berling, le Prieuré de Sion y protège les deux héros, Roç et Yesa, qui y sont présentés comme des descendants de Jésus. Elle met aussi en scène Guillaume de Gisors et Marie de Saint-Clair, deux des grands maîtres de la société.

Dan Brown, quant à lui, a repris tous ces thèmes pour construire l'intrigue de son Da Vinci Code. La trame de ce roman s'appuie en réalité sur l'histoire de l'abbé Saunière, curé de la paroisse de Rennes-le-Château située dans l'Aude. Autour de la relation entre Jésus-Christ et Marie-Madeleine, sur laquelle le roman de Dan Brown décline son énigme, se greffe le Prieuré de Sion. La société secrète est ici présentée comme une des clefs de voûte de la descendance de Jésus-Christ. Cette fiction navigue ainsi entre vérité et parfum de complot et dans laquelle Léonard de Vinci, le Saint Graal, les Templiers, les cathares et les francs-maçons viennent s'ajouter. L'écrivain André Grall s'y verra même impliqué.

Jean-Paul Bourre a repris le thème du Prieuré de Sion dans un thriller politico-occultiste intitulé, L'Élu du serpent rouge (éditions Les Belles Lettres) : Patrice Villard (alias François de Grossouvre) est le grand maître du Prieuré de Sion et responsable des Chasses présidentielles (couverture lui permettant d'être un des conseillers occultes du Président François Mitterrand). Car dès les années 1950, il était devenu honorable correspondant de services de renseignement extérieurs français, le Service de documentation extérieure et de contre-espionnage[21]. On voit apparaître un certain Gillis, archiviste de l'Ordre de Dieu. Différentes sociétés secrètes ou discrètes vont se disputer un mystérieux manuscrit intitulé « Le serpent rouge ».

Dans ses bande-dessinées La Couronne des Croisés et Une lettre de la maison, Keno Don Rosa oppose les templiers puis Balthazar Picsou au prieuré de Sion.[réf. nécessaire]

Articles connexes

Modèle:Colonnes

Liens externes

Bibliographie

  • Bordes Richard, "Les Mérovingiens à Rennes-le-Château, mythe ou réalité", Philippe Schrauben Éditeur, 1984.
  • Bourre Jean-Paul, L'Élu du Serpent rouge, Les Belles Lettres, 2004, 303 pages. (ouvrage consacré à Rennes-le-château avec une étude approfondie sur Pierre Plantard et le Prieuré de Sion.)
  • Buchholtzer Laurent, Octonovo, Rennes-le-château, une affaire paradoxale, L'Œil du Sphinx, 2008.
  • Cipriani Domizio, Templar Order il cammino dei templari la via verso la saggezza by Bastogi libri 2016 (ISBN 9788899376482) IT, FR, EN.
  • Cipriani Domizio, Le Prieuré de Sion una scienza sociale, by Bastogi libri, 2018, IT (ISBN 8894894711 et ISBN 978-8894894714)
  • Garcia Jean-Pierre, Rennes-le-Château : Le Secret dans l'Art ou l'Art du Secret, 2008 (ISBN 978-2-9530184-0-0)

Notes et références

  1. 1,0 et 1,1 Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte ; aucun texte n’a été fourni pour les références nommées Introvigne_2005.
  2. Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte ; aucun texte n’a été fourni pour les références nommées Jean_Delaude_1994.
  3. La deuxième liste est apparue dans Vaincre No 3, septembre 1989, p. 22.
  4. Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte ; aucun texte n’a été fourni pour les références nommées lepoint.
  5. Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte ; aucun texte n’a été fourni pour les références nommées Philippe_Lapr.C3.A9v.C3.B4te_1996_p._140.
  6. http://transitionculture.org/2012/12/05/the-top-ten-films-as-chosen-by-transition-initiatives/
  7. Modèle:Cite book
  8. [1] La mort de Pierre Plantard
  9. The Priory Of Sion: Is The "Secret Organization" Fact Or Fiction? sur CBS News (60 Minutes), 30 avril 2006
  10. R.Le Forestier, Les Supérieurs Inconnus, op.cit, p. 81-82
  11. Modèle:Harv
  12. lointain successeur de Clément V qui avait dissous l'Ordre sous la pression de Philippe IV le Bel
  13. Guy Mouny, Rennes-le-Château: un autre regard sur l'énigme, Cheminements, Le Coudray-Macouard, 1999.
  14. Étienne Pattou 2006-2016, p. 2 et 3. ; Jean-Baptiste-Pierre Courcelles 1822, p. 1.
  15. B. Comtes de Rochefort (Barres).
  16. Les Plantagenêts : Origines et destin d'un empire (XIe-XIVe siècles), Fayard, 2004, 962 p. (ISBN 978-2-213-63974-1) [présentation en ligne] 
  17. Richard Cœur de Lion, Fayard, 1988, 326 p. (ISBN 978-2-213-63880-5) [présentation en ligne] 
  18. Histoire des ducs et des comtes de Champagne, A. Durand, 1865 [présentation en ligne] 
  19. John Daniel, Scarlet and the Beast - A History of the War between English and French Freemasonry, Day Publishing; 3rd edition (April 1, 2007), (ISBN 978-1890913991)
  20. Modèle:Cite book, éd. française 2004 chez Jean-Claude Lattès
  21. Edwy Plenel, Le journaliste et le Président, Stock, 2006.


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