Hygiénisme

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Révision de 5 novembre 2014 à 13:28 par Anthony (discussion | contributions) (Anatomie et physiologie comparées)

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L'hygiénisme est un mode de vie qui prône l'autoguérison (notamment par le jeûne) et une alimentation avec les aliments spécifique à l'espèce.

Qu'est-ce que l'alimentation hygiéniste ? Qu'est-ce qu'un aliment naturel ? Comment savoir quoi manger ?

Introduction

Selon A. Mosséri, l'hygiénisme est l'art de vivre en bonne santé par le respect des lois de la nature et par la bonne connaissance des aliments spécifiques à l'espèce humaine.

La nourriture idéale

Arrivé au 3ème millénaire, les sociétés dites civilisées en sont encore à l'âge de pierre quand il s'agit de parler d'alimentation et de santé. Les responsables politiques cherchent à culpabiliser la population quant au trou de la sécu alors qu'ils cherchent par ailleurs à accroître leurs profits en conditionnant, dans l'ignorance, les consommateurs dès la naissance, favorisant ainsi la surconsommation d'aliments industriels raffinés, de protéines animales destructrices, de produits laitiers riches en graisse et soi-disant indispensables qui encrassent l'organisme sans parler des mauvaises associations alimentaires qui, au fil du temps, transforment notre corps en véritable poubelle génératrice de toutes les maladies hépato-intestinales et rénales de nos contemporains. Le Docteur Tall Schaller écrit : « Sur notre planète, l'alimentation représente un problème majeur. Dans les pays du nord, la surcharge alimentaire, l'abus d'aliments d'origine animale et d'aliments industriels, le recours systématique à des excitants artificiels et à des produits chimiques minent la santé des populations. Dans le sud, le mal développement engendre d'immenses souffrances. Partout, l'ignorance de nos vrais besoins nutritionnels fait des ravages. On meurt de faim sur toute la planète, qu'il s'agisse de la « faim des maigres » dans les pays pauvres ou de la « faim des gros » des pays riches, qui consomment d'énormes quantités d'aliments dépourvus de substances nutritives et sont, au niveau de leurs cellules, aussi carencés que les peuples souffrant de la faim! ». Le docteur Edmond Bordeaux Székély classe les aliments en quatre catégories : les aliments biogéniques, régénérateurs de vie (graines germées, jeunes pousses, riches en enzymes et en énergie) et regroupant la plupart des aliments n'ayant subi aucune manipulation ; les aliments bioactifs qui entretiennent la vie (fruits, légumes et oléagineux crus et frais) ; les aliments biostatiques qui ralentissent la vie (aliments d'origine animale, aliments cuits, végétaux non frais) et les aliments biocidiques qui détruisent la vie (tous les aliments industriels, trafiqués, qui contiennent des produits chimiques et qui, au lieu d'engendrer la vie, la détruisent). Les fruits et légumes frais, les graines germées et les jeunes pousses ainsi que quelques oléagineux constituent par conséquent à eux seuls la catégorie des aliments vivants, riches en enzymes, nous offrant un potentiel vivant maximum de nutriments inaltérés et vivants et capables de combler toutes les carences de l'alimentation tristement moderne à laquelle sont confrontés tous nos contemporains jeunes et vieux, victimes du profit industriel au détriment de la qualité de vie. Ils nous évitent, de surcroît, toute leucocytose (ou hyperleucocytémie) digestive (augmentation du nombre des globules blancs apparaissant après ingestion d'aliments cuits ou trafiqués). Aliments biogéniques et bioactifs sont les seuls à préserver la Vie.

Anatomie et physiologie comparées

L'homme se classe parmi les frugivores. Il n'est ni carnivore, ni granivore (pain, céréales).

Les deux propositions de Sylvester Graham :

  1. Il existe un rapport défini entre la constitution physique d'un animal et sa nourriture normale (food supply).
  2. L'aliment auquel un organisme est normalement et constitutionnellement adapté est l'aliment qui servira au mieux les plus hauts intérêts biologiques, physiologiques et psychologiques de l'animal ou de l'homme.

La spécificité

Aujourd'hui, plus personne ne peut ignorer que certains aliments sont meilleurs que d'autres pour la santé. Les résultats d'études scientifiques les plus récentes convergent vers une certitude : les maladies modernes sont étroitement liées à l'alimentation.

Quel est le critère par lequel on peut choisir ses aliments ?
L'aliment naturel de l'homme est, écrit Téofilio de la Torre, celui qui est :

  • agréable à la vue, à l'odorat, au goût,
  • consommé à l'état cru, sans cuisson ni raffinements,
  • sans mélanges (combinaisons incompatibles),
  • sans assaisonnements (qui sont tous irritants), ni sauces, ni condiments.

Tous les aliments doivent être pris crus. Par conséquent, toute chose comestible qui n'est pas agréable et plaisante à manger dans son état naturel cru, n'est pas un aliment naturel pour l'homme. Rechercher des aliments biologiques sans en faire une obsession et faire particulièrement attention aux additifs alimentaires tels l'aspartame, le glutamate (GMS), le Splenda, et tant d'autres.

Les aliments naturels pour l'homme (spécifiques), et il ne doit rien manger d'autres, sont :

  • Les fruits (frais et secs),
  • Les salades vertes et les crudités (légumes, racines),
  • Le lait caillé, est toléré par certains, rarement, comme les fromages frais au lait cru.
  • Les graines germées ?

Les fruits et légumes (frais)

L'homme est-il mangeur de fruit à 100 % ?
Certains s'imaginent que l'homme est par nature un mangeur de fruits, ce qui est loin d'être vrai. L'homme ne peut pas se maintenir en bonne santé sur un régime exclusif de fruits, ni sur un régime où les fruits prédominent. Les fruits nettoient l'organisme, les légumes nourrissent le corps. Ne jamais prendre deux repas de fruits consécutifs. Alterner toujours fruits et légumes (si possible de saison et non d'importation ! Qui plus est, les quantités de fruits frais par jour que l'on peut consommer varieront selon les circonstances (vieillards, bien-portants sédentaires, travailleurs de force et gens très actifs).
Attention car les fruits ne doivent jamais être cuits (pas de compotes, tartes, etc)!
Les fruits secs doux ne sont pas permis à ceux qui ont des gaz et ballonnements, aux sédentaires, par temps de chaleur. Attention à l'excès et à l'abus!

Cependant, certains fruits, légumes, racines et autres aliments d'origines « naturelles » ne doivent également pas être consommés. C'est le cas du café, du tabac, du thé, du cacao, bétel, oignon et ail, moutarde, belladone, sucre raffiné, poivre, miel, céréales, blé - donc le pain - et tous les aliments qui contiennent de l'amidon en trop grande quantité (graines germées tolérées), épices, rhubarbe, oseille, romarin, légumineuses, graisses en tous genres, soja, fèves sèches, raifort, clou de girofle, muscade, ...

Les fruits et légumes (secs)

Le séchage, ou déshydratation, est sans doute la méthode la plus simple et la plus naturelle pour conserver ses aliments. Effectivement, le séchage arrête la croissance bactérienne, élimine 80% à 90% d'humidité et permet de conserver de bons légumes tout l'hiver. Les produits séchés gardent une grande partie de leur saveur, de leur texture et de leur valeur nutritive. Qui plus est, ce procédé de conservation permet de conserver les aliments assez longtemps et de réaliser de grandes économies. Les fruits et légumes doivent être réhydratés avant d'être consommés. Un séchage adéquat conserve le goût et la plupart des éléments nutritifs des aliments. Ne sécher cependant que des produits frais, mûrs et sains, entre 35°C et 50°C, au grand air, à l'abri du soleil. Les aliments correctement séchés constituent une nourriture de grande qualité.

Le lait

Nous faisons partie des mammifères. Or, est-il possible de citer un seul mammifère sauvage qui boive du lait à l'âge adulte sur la planète ?

L'on trouve de fait des carnivores, des herbivores, des granivores, mais aucun lactivore. Il semble donc qu'il y ait là de la part du genre humain une transgression aux lois naturelles. Pire, aucun animal n'aurait l'idée de se nourrir avec le lait d'une autre espèce. La simple observation de la nature montre que le lait est réservé aux premiers mois de la vie, et exclusivement dispensé par la mère. Donner à nos bébés du lait de vache (ou autres) prive ceux-ci de la bêta-lactoglobuline contenue dans le lait de femme et qui détient un haut pouvoir immunologique. Mais, ce n'est pas tout, un long cortège de maladies devenues classiques s'installe avec: rhino-pharyngites, otites, angines, asthme, eczéma, allergies multiples, migraines, ... Ces maladies chroniques peuvent suivre toute la vie tant que la suppression des laitages n'aura pas été admise. Remarquez que dans la Bible, le lait de vache n'est jamais mentionné.

Si l'on en croit les équipes de chercheurs, les femmes du monde entier risque d'euthanasier leurs petits bambins en le laissant s'abreuver à leur sein. En effet, ceux-ci ont découvert que les crèmes de beauté, shampoings, teintures, rouges à lèvres, bref toute la cosmétique passe dans le lait maternel ; et ce n'est pas tout, car il y a aussi les dioxines, conservateurs, édulcorants, pesticides, antibiotiques et mille autres poisons absorbés journellement, y compris les médicaments éventuels - sans parler du tabac et de l'alcool - qui passe dans le sang de l'enfant. Quand une femme allaite, il est évident qu'elle doit faire attention à tout ce qu'elle mange, boit et se met sur la peau. Aucun fabricant ne peut reproduire le lait humain. Seul le lait de la mère est parfaitement adapté au nouveau-né. Si le lait n'est pas bon, c'est que la maman commet des erreurs alimentaires.

Le sel

Le sel tue la vie et ne doit pas être consommé, notamment parce qu'il s'agit d'un minéral qui ne peut être assimilé par le corps se nourrissant de végétal.

Le sucre

Le sucre est également un destructeur de vie. À venir...

Les semences (pain, céréales et graines)

Toutes les semences produisent les mensurations et le sperme. Ce sont des aliments riches en protides qui favorisent le cancer. Tous les aliments provenant des graines démantèlent le corps. L'intégrité de l'organisme est violée, les carences sont engendrées, la maladie et le vieillissement s'installent. Les protides contenues dans ces semences produisent des semences humaines et tirant des réserves vitales et en produisant les carences. Un aliment à base de semences est concentré en certains éléments qui provoquent donc une carence en sels minéraux, car les graines sont des substances mortelles qui soutirent tout ce qu'elles peuvent de la plante d'où elles proviennent, du sol et du corps humain, uniquement pour la reproduction. Les semences sont donc destinées à la reproduction des plantes et non à être consommées. La consommation des semences provoque chez l'homme sa propre semence, en le dévitalisant, en le carençant, en le rendant malade et en le détruisant.

Les différentes noix sont des semences destinées par la nature à la reproduction seulement. Ce sont des aliments avilissants, aphrodisiaques, qui souillent l'organisme et le dégradent en provoquant la déchéance rapide.

Un organisme purifié ne supportera pas la moindre tranche de pain, même sans sel. La suppression totale des farineux permet l'amélioration du fonctionnement du pancréas. Par ailleurs, la gliadine du blé provoque la leucocytose digestive, responsable des maladies auto-immunes.

La viande, le poisson

Le cimetière est le seul endroit où il faut mettre les cadavres. Ne faites pas de votre intestin un cimetière.

Les œufs

La protéine animale la moins toxique est celle de l’œuf frais et cru.

Chaque fois que nous achetons une boite d'œufs qui ne porte aucune mention sur le mode d'élevage, nous pouvons être certains que ces poules ont été élevées en batterie. C'est-à-dire qu'elles sont quatre dans une cage de 40cm de côté, constamment éclairées à l'aide d'une lumière artificielle, et leur espérance de vie ne dépasse pas un an. Elles mettent six semaines au lieu de six mois à atteindre leur poids « normal ». L'observation de leurs troubles de comportement indique un rejet de ces traitements contre-nature qui engendrent de leur part une forte agressivité. C'est pour cette raison qu'on leur administre des calmants et qu'on les ampute de leurs becs et de leurs griffes (à vif). Ces traitements impliquent une forte mortalité. Pour éviter les maladies, on les gave d'antibiotiques et de médicaments que l'on retrouvera dans l'œuf, donc obligatoirement dans notre assiette. Mais l'important est que ces poules pondent environ douze fois plus que les poules élevées en liberté. Après l'abattage, leur carcasse sert à confectionner des bouillons et des raviolis. En France, des millions de poules pondeuses sont ainsi condamnées à perpétuité. Quant aux poussins mâles, non-productifs, ils sont gazés ou broyés vivants afin d'être transformés en farine animale. La seule alternative est de consommer des œufs issus de poules élevées en plein aire et respectant les méthodes de production biologique.

La frugalité

Celui qui mange modérément digère ses aliments facilement, est convenablement nourri et se trouve en état de s'occuper des affaires courantes de la vie. Mais celui qui mange beaucoup surcharge sa digestion, est mal nourri, empoisonné et se trouve souvent dans un état impossible pour s'occuper des affaires courantes de la vie. Les repas simples pris modérément facilitent la digestion.

Shelton s'étonne que les gens puissent digérer toutes les quantités d'aliments consommés. Rien d'étonnant puisque les médecins savent désormais que la plupart des gens ne digèrent que 25% de ce qu'ils mangent, le reste passant le lendemain ou surlendemain dans les selles qui deviennent abondantes, peu moulées, malodorantes et salissant le corps. Quand on digère très bien ce que l'on mange, on a des selles minimes, sans odeur, bien moulées et ne salissant pas le corps (plus besoin de papier hygiénique). La fréquence des selles n'a aucune importance: 2 fois par jour ou par semaine, tout dépend de ce que l'on consomme et en quelles quantités.

La quantité de nourriture varie selon la taille, l'activité physique ou sédentarité, l'âge, le sexe, la saison (été et hiver), la faim (attendre la faim aiguë), l'état de repos et de tension nerveuse, ...

Ce n'est pas ce que l'on mange qui profite ou non, mais ce que l'on assimile. Le respect de la faim est le plus important dans le domaine de la santé car il régit parfaitement la nutrition qui est à la base de toute l'existence. Répétons-le: ce n'est pas ce que nous mangeons qui est important, mais bien ce que nous assimilons. Le maigre digère mal et absorbe mal, et n'assimile rien; alors que le gras digère bien, absorbe très bien, mais assimile mal. Le pouvoir d'assimilation est relativement plus important que la richesse de l'aliment consommé. Une personne qui digère ce qu'elle mange a des selles peu abondantes, sans odeur, moulées. C'est là qu'il faut surveiller. Ce n'est pas la quantité "absorbée" qui fortifie, mais c'est plutôt la quantité qui est digérée, absorbée, assimilée. Plus on mange, plus on a faim car on digère mal les aliments qui ne profitent plus au corps. Moins on mange, moins on a faim souvent car on digère mieux et on assimile mieux.

L'excès est fatal à la santé. Une diminution de l'excès est essentielle pour les manifestations les plus vigoureuses de la vitalité. Après avoir mangé une fois pour se nourrir, l'homme mange encore deux fois trop: une seconde fois pour se rendre malade et une troisième fois pour se tuer. Moins on mange, mieux ça vaut!

La faim

Les médecins hygiénistes demandent toujours d'attendre une heure après les premiers signes de la faim avant de manger.
Pourquoi une heure ? Pourquoi ne pas manger tout de suite ?

  1. Cette attente permet de distinguer la fausse faim (l'envie de manger) de la vraie faim (aiguë, besoin).
  2. Pour permettre à l'estomac distendu de devenir plus petit pour ainsi procurer une satiété normale.
  3. Pour procurer plus de satisfaction et éviter ainsi l'écueil de vouloir rechercher le plaisir manqué par la satiété pathologique.

Le seul guide sera la faim que l'on calmera tout juste. Le seul vice, c'est la satiété. Ne jamais manger à satiété.

La soif

En règle générale, la soif (l'envie de boire) est un signe mauvais d'indigestion. Il faut résister à cette soif et ne rien boire. Avec un régime hygiéniste, on n'a pas besoin de boire de l'eau, jamais. En effet, les fruits et les légumes frais et crus contiennent une majorité d'eau vitaminée, vitalisée et vivante.

Une seule exception à la règle : par temps chaud et/ou lorsqu'on effectue un travail musculaire ardu, intense. Cependant, aucun jus ne doit remplacer l'eau. Enfin, la soif devrait seule dicter la quantité d'eau qu'il faut boire.

Quelle eau boire ?

Depuis toujours, l'eau a pu être aussi bien le plus précieux apport de santé et de longévité que le plus dangereux vecteur de maladies selon qu'elle est pure ou polluée. Depuis quelques décennies, les pollutions ont changé de forme, aussi sommes-nous passés du danger bactériologique au danger chimique. La pollution chimique se présente sous trois formes principales: celle des engrais et pesticides de l'agriculture, celle des rejets industriels massifs, celle de la désinfection des eaux dites potables. L'eau qui nous arrive au robinet n'est pas bonne à boire en raison de son goût déplorable. Si dans les pays pauvres, on risque une dysenterie, dans les pays industrialisés, on risque une intoxication chimique menant à une mort lente! Les eaux minérales en bouteille sont une aberration car elles sont la plupart du temps ni plus ni moins que de l'eau du robinet, sans parler des bouteilles en plastique libérant des micro-particules que le foie stocke et élimine péniblement. Alors quelle eau boire ?

L'alcool

Il n'existe pas de bon ou de mauvais alcool. Il n'existe que de l'alcool avec tous les inconvénients qui lui sont assortis. Il irrite le foie, imprègne les reins et le cerveau, coagule le sang et durcit les artères. Il tue la cellule! D'une manière générale, l'alcool a été supprimé des régimes hygiénistes.

Le crudivorisme

Cette méthode alimentaire consiste à se nourrir exclusivement de végétaux sous leur forme naturelle, c'est-à-dire crus.

La cause de la maladie humaine a finalement été découverte. Les maladies sont causées par l'introduction des aliments cuits et par d'autres substances empoisonnantes dans l'organisme. Le seul moyen radical de guérir les maladies est de supprimer la cuisson des aliments et les autre substances empoisonnantes. Les aliments végétaux crus devraient être la seule nourriture de l'homme. La propagation du crudivorisme représente le travail le plus noble et le plus humain qu'on puisse entreprendre dans le siècle. « En règle générale, manger à l'occasion un peu de nourriture cuite ne peut être vraiment préjudiciable, à l'exception des fritures, et sous la condition de consommer aussi une quantité suffisante de nourriture crue. En effet, la conséquence d'une consommation régulière d'aliments cuits et transformés est sans conteste la dégénérescence progressive des cellules et des tissus ». Telle est la principale conviction du Dr. Norman W. Walker, chercheur de réputation mondiale dans le domaine de la biologie, de la santé et de la nutrition.

Il ne faut jamais cuire ce qu'on peut manger cru. Tous les légumes que l'on peut manger cru ne doivent pas être cuits. La cuisson est une habitude antinaturelle qui devrait être éliminée de la Terre une fois pour toute. La nourriture humaine devrait comprendre des cellules vivantes seulement, les aliments cuits étant la principale cause de toutes les maladies chez l'homme. Avant toute autre qualité, un aliment spécifique doit posséder le caractère de crudité. Qui mange cru, mange juste. Seuls les aliments spécifiques crus sont régénérateurs. Ne jamais utiliser de conserves. Moins les légumes seront cuits, mieux ils seront digestes et plus ils seront nutritifs. Tous les êtres animés mangent cru, sauf l'homme. Il faut considérer que l'élément le plus important pour l'entretien de la vitalité est l'alimentation spécifique et crue. La cuisson tue la vie. L'aliment cuit est morbidogène, impropre à la vie et engendre des carences. Rien ne surpasse les crudités en puissance d'épuration et de détoxication. La cuisson détruit 100% des enzymes. L'aliment cru étant la base biologique de l'alimentation, celui-ci doit être présent à tous les repas. Les aliments frais et crus contiennent une eau vivante, capable d'entretenir la vie.

Les combinaisons alimentaires

La loi des combinaisons alimentaires demande une révision des schémas alimentaires traditionnels. Les travaux effectués par le Dr Shelton pendant la première moitié de ce siècle l'ont amené à la conclusion suivante: selon sa composition biochimique, un aliment sollicite des sucs digestifs pendant un temps donné. Les temps de digestion diffèrent par conséquent d'un type d'aliment à l'autre alors que ces aliments se trouvent ingérés en même temps. Qu'en résulte-t-il? Une « bousculade » dans l'estomac entre des aliments incompatibles, qui engendre une digestion difficile d'une partie de ces aliments, qui elle-même entraîne des fermentations intestinales. D'où mauvaise assimilation, abondance de toxines, gaz et ballonnements.

En France, le biologiste Désiré Mérien a repris et développé les travaux du Dr Shelton regroupés en une méthode: l'Hygiénisme. Désiré Mérien conseille l'application rigoureuse mais non maniaque des principes de compatibilités. L'être humain doit manger les fruits et les légumes séparément. Les fruits nettoient plus ou moins l'organisme tandis que les légumes nourrissent le corps. Le mélange le plus mauvais est l'acide avec le farineux. Plus que les mauvais mélanges, les protides concentrés sont la cause principale de l'infection (pus, etc). Attention car certaines combinaisons alimentaires favorisent la digestion alors que d'autres encouragent la fermentation.

Les aliments acides et producteurs d'acides

Voici quelques pathologies ayant un rapport direct ou indirect avec l'acidification du terrain :

  • les maladies auto-immunes et dégénératives (diabète, cancer, ...),
  • les rhumatismes non-infectieux,
  • la spasmophilie, la décalcification, la carie dentaire,
  • certaines perturbations digestives, gastrites, colites,
  • certaines allergies,
  • certains troubles psychiques (irritabilité, déprimes, ...),
  • certains troubles respiratoires, ...

Il convient de faire la différence entre les aliments dits « acides » et ceux dits « producteurs d'acides » :

  • les aliments acides,
    • les limonades, le vinaigre,
    • les fruits acides (agrumes, certaines pommes),
    • les fruits non matures,
    • l'excès de fruits,
    • les légumes acides tels que la rhubarbe, le cresson ou l'oseille,
    • le lait fermenté,
    • les fromages acides ;
  • les aliments producteurs d'acides,
    • le café, le thé, le cacao, le sucre,
    • les légumineuses (lentilles, fèves)
    • les aliments à base de céréales (même complètes),
    • les graisses animales et végétales,
    • les œufs, le poisson,
    • la viande.

Les acides ont des caractéristiques communes : ils sont irritants, agressifs, ils stimulent certaines fonctions jusqu'à épuisement, ils sont grands consommateurs d'oxygène et de sels minéraux, ils encrassent les tissus par leur présence en excès, ils fragilisent les membranes cellulaires, diminuent la rapidité des échanges métaboliques et affectent l'immunité. Il convient de remplacer ces aliments par des aliments alcalinisants - ou basiques, tels que les légumes verts crus (salades, laitues) et colorés (carottes, betteraves, céleri) - également crus.

L'autoguérison

Aujourd'hui, un nombre croissant de scientifiques mondiaux affirment qu'une nourriture appropriée rend notre système immunitaire capable de mieux nous protéger contre toute attaque: virus, pollution, stress, dégénérescence... Le corps humain est capable de générer plus d'un milliard d'anticorps spécifiques différents, alors que notre science n'a pu produire, jusqu'ici à grands frais, qu'une centaine d'antibiotiques à effets secondaires indésirables.

Le jeûne

Le jeûne est l'abstention totale d'aliments solides ou liquides autres que de l'eau pure, ou, l'abstention totale de tout aliment y compris l'eau pure, sur des périodes de durée variable (durée très courte lors d'abstention d'eau). Le jeûne est la restriction, voire la suppression, momentanée de l'alimentation solide, pour une meilleure santé, et peut être une excellente méthode de guérison. Il est indiqué dans tous les cas d'obésité, de maladies cardiovasculaires, de désintoxications, de troubles rénaux et intestinaux. En effet, dans notre société, la consommation d'aliments est trop importante en quantité et c'est la principale cause des problèmes de santé actuels, comme l'obésité, en augmentation constante. Une réduction de la quantité alimentaire parsemée de quelques diètes ou jeûnes dans l'année permet, au départ, une détoxination de l'organisme avec des résultats considérables: perte de poids, sang de meilleure qualité, peau rajeunie, consolidation d'anciennes fractures, meilleure forme physique et intellectuelle. Une meilleure résistance aux maladies et bien d'autres choses encore... Le jeûne hygiéniste popularisé par le docteur Herbert Shelton préconise le repos le plus total dans toutes les fonctions de l'organisme. En situation de jeûne (au repos), l'organisme économise momentanément l'énergie affectée à la fonction musculaire afin de la mettre à la disposition de la fonction d'élimination toxinique. C'est pour cela que l'activité physique est proscrite tant que le corps est en état d'acidose - c'est-à-dire d'empoisonnement, dû principalement au stress et à l'alimentation. Le repos le plus total, aussi bien du corps et de l'esprit, est le maître mot dans la pensée hygiéniste. Le concept de « médicament » n'existe pas en hygiénisme. En effet, les hygiénistes pensent que l'organisme a toutes les capacités de supprimer les désordres de santé, créés par une hygiène de vie défectueuse. À partir du moment où on le met au repos, il peut se rénover, se régénérer dans le maximum de fonctions physiologiques, y compris les fonctions alimentaires. Pendant le jeûne, l'organisme fonctionne au ralenti, le volume du sang est plus fluide et le cœur travaille deux fois moins. La durée du jeune dépend de la vitalité du sujet, de son âge, de ses réserves, de la maladie à traiter. Les cures peuvent durer de plusieurs heures à plusieurs semaines. Éviter de pratiquer un jeûne quand on est trop fatigué. L'élimination demande de l'énergie à l'organisme. Il peut se produire des boutons sur la peau, des mauvaises odeurs, une mauvaise haleine, mais ne pas s'inquiéter et accompagner si possible ces manifestations d'épuration au grand air. Le jeûne résout la plupart des problèmes de santé courants. Il vaut mieux faire de petits jeûnes répétés que de longs jeunes, surtout chez des personnes maigres ou hypotoniques. Par la suite, celui qui a obtenu grâce au jeûne un pouvoir digestif et un pouvoir d'assimilation forts peut tirer profit des aliments les plus pauvres.

Par ailleurs, le jeûne ne fait rien par lui-même, c'est le corps qui fait tout. La toxémie empêche une bonne assimilation et le jeûne élimine la toxémie. De même que les cellules musculaires de l'homme en état de jeûne, les organismes unicellulaires qui jeûnent subissent seulement une diminution de la grosseur cellulaire. Durant le jeûne, le corps utilise tout ce dont il peut se passer afin de préserver l'intégrité des tissus essentiels. Les choses inutiles et moins essentielles sont sacrifiées en premier lieu. La déficience en apport nerveux et sanguin des tumeurs et de toutes les croissances anormales les prédispose à devenir les victimes du processus autolytique, possédant une moindre vitalité que les tissus normaux et ne jouissant pas d'une liaison étroite avec le reste de l'organisme. Il n'est pas de changement dans le métabolisme plus propice à entraîner l'autolyse d'une tumeur, maligne ou non, que celui provoqué par le jeûne. À mesure que le jeûne progresse, la taille des cellules, et par conséquent de l'organe, est graduellement réduite, mais il n'y a aucune détérioration véritable dans la structure des cellules, des tissus, et de l'organe.

L'inanition, c'est mourir; jeûner, c'est vivre. Les accumulations de surplus de tissus sont examinées, revues et analysées; les éléments constituants utiles passent au service de la nutrition, tandis que les déchets sont enlevés complètement et d'une façon permanente. Une véritable régénération s'opère sur toutes les qualités intellectuelles et émotionnelles de l'homme. Le jeûne augmente le contrôle personnel sur tous les désirs et passions. Plus la surproduction de bile commence tôt après la cessation de l'alimentation, plus la quantité de bile rejetée est grande et plus le malade recouvre rapidement la santé. L'excès alimentaire semble être opposé aux fins génétiques les plus élémentaires, et le jeûne devient nécessaire afin d'aider au moins à un rétablissement acceptable de symbiose interne (organique). Un jeûne de deux semaines restaure temporairement les tissus d'un homme de quarante ans et les ramène à la condition physiologique des tissus d'un jeune de dix-sept ans. (Dr Carlson et Dr Kunde du Service de Physiologie de l'Université de Chicago) En répétant des jeûnes rajeunissants (d'année en année) à intervalles réguliers, l'individu peut se maintenir plus jeune d'année en année, beaucoup plus jeune physiologiquement qu'il ne le serait autrement; en un mot, il éloigne la vieillesse. Le jeûne partiel empêche le vieillissement. L'être en état de jeûne est ramené d'un âge avancé au stade post-embryonnaire; c'est pratiquement une renaissance. Une élimination de toxines et de l'excès, par le jeûne, permet la régénération des tissus. Il n'y a aucune diminution réelle du nombre des cellules musculaires dans le jeûne ordinaire.

Chaque fois qu'on saute un repas, le corps se purifie d'autant, et cela devient apparent dans l'amélioration qui s'ensuit, que ce soit par le bien-être ou par la force ressentis. Un jeûne de quelques jours, ou d'une semaine au plus, soulagera et sera bénéfique; mais obliger l'organisme à vivre un mois sans nourriture est une violence inutile. Dans bien des cas, il vaut probablement mieux faire plusieurs jeûnes courts en s'alimentant soigneusement entre-temps, plutôt que de tenter un long jeûne.

Une personne saine aura faim avant de se sentir faible, tandis qu'une personne malade se sentira faible avant d'avoir faim. Vingt-quatre heures sans manger l'ont totalement libéré de sa douleur. Les changements remarquables qui s'effectuent au niveau de la peau et des yeux, qui deviennent plus brillants, contribuent beaucoup à donner aux jeûneurs une apparence de jeunesse. Chez une personne vraiment saine, le jeûne ne provoque pas de réaction. Si la langue commence à se charger, l'haleine à devenir fétide et si la personne se sent mal à l'aise et pas dans son assiette, si elle est de mauvaise humeur, c'est une preuve positive que l'état de santé n'est pas aussi bon qu'on ne le pensait. Au-delà d'un minimum d'activité physique, plus l'organisme malade a de repos et plus la santé sera rapidement restaurée. Le repos (physique, mental et physiologique) est également important et bénéfique durant le jeûne. Le repos, le calme, la tranquillité, la chaleur sont plus importants que n'importe quelle méthode de traitement jamais conçue. Le corps possède une réserve de nourriture à laquelle il peut faire appel dès que le besoin s'en fait sentir. Il y a une perte de poids beaucoup plus rapide chez le jeûneur malade que chez le jeûneur sain.

Le jeûne n'est qu'un moyen en vue d'atteindre un but; c'est un processus de nettoyage et un repos physiologique qui préparent l'organisme à un mode de vie correct par la suite. Si nous voulons nous porter bien après un jeûne, un bon régime, un exercice approprié et suffisant, une certaine quantité de soleil, d'air pur, de repos mental et physique, et une absence complète d'habitudes dévitalisantes, sont essentiels. La durée des résultats bienfaisants du jeûne dépend du mode de vie après le jeûne. Si l'on allège la surcharge toxique, si l'on suit un mode de vie raisonnable, si l'on dirige son esprit vers de nouvelles voies, et si l'on calme et l'on contrôle ses émotions, ce ne sera plus un jeu de hasard de se rétablir et de se maintenir en bonne santé. Mieux vous vous portez, moins vous devriez jeûner. Un homme ne peut jeûner profitablement que lorsqu'il est malade. S'il est en bonne santé et qu'il se prive de nourriture, il commencera tout de suite à entamer ses réserves.

Chaleur, repos et jeûne, avec un peu d'eau pour satisfaire la soif, tels sont les besoins d'un malade, homme ou femme. Le jeûne n'élimine pas la cause de la "maladie" (qui est la toxémie). Il permet simplement à l'organisme d'accomplir sont travail d'élimination de façon plus efficace, en évitant de placer des obstacles su son chemin. Jeûner ou manger; voilà de quoi dépendent souvent la vie et la mort. L'épuration de l'organisme et la régénération des tissus restaurent la jeunesse du corps.

Médecine

Nos pays surmédicalisés connaissent actuellement les problèmes annoncés depuis des décennies par les praticiens de médecines alternatives, à savoir les dégâts consécutifs à l'usage abusif des antibiotiques. Médecine alternative, naturelle? Il ne faut jamais supprimer les symptômes, car les symptômes sont des signes d'élimination. La fièvre même très élevée n'est jamais dangereuse (le corps ne se suicide pas) si on laisse le corps agir à sa guise sans l'entraver avec des produits chimiques ou autres moyens contre-nature. Plus l'organisme est faible, moins il faut intervenir.

Les vaccins

Connaissez-vous la composition des vaccins ? Depuis longtemps, les êtres humains du monde entier sont inoculés avec de l'hydroxyde d'aluminium, sel attaquant le cerveau et entraînant autisme, chorée, Alzheimer, Creutzfeldt-Jakob; des sels de mercure dont chaque vaccin cumule les doses de façon irréversible; des virus OGM obtenus à partir du SV40, précurseur du sinistre HIV; du sérum de veau fœtal alors que tout extrait d'origine bovine est strictement interdit dans tout médicament depuis 1994; de l'enzyme Tdt, dangereux mutagène; etc.

Nota: le BCG est toujours cultivé sur de la bile de bœuf au mépris de toute réglementation et des mesures de précautions actuelles concernant la vache folle. Qui plus est, la plupart des médecins ne sont aucunement informés de toutes ces infractions graves à la fois légales et sanitaires - le Vidal® n'y faisant pas mention, qui intoxiquent un être humain pour toute une vie et peut-être même ses descendants.

Références

→ Préambule de la constitution : « La Nation garantit à tous la protection de la santé ».
→ Article 7 du Code de déontologie médicale : « La volonté du malade doit toujours être respectée ».
→ Serment de Genève de 1948 : le médecin déclare , « Je considérerai la santé de mon patient comme mon premier souci ».

Citations

« Nous pouvons contrôler le genre et la quantité des aliments consommés, leurs combinaisons, la mastication et l'insalivation ».
« Il vaut mieux manger comme tout le monde modérément, que de manger sainement avec excès » A. Mosséri.
« L'excès d'eau, comme le manque d'eau, causent la mort chez la plante ».
« Ce qui est en excès est le frère de ce qui manque » Proverbe Arabe.
« Éviter l'excès alimentaire est une chose vitale ».
« En somme, seuls les fruits et légumes juteux conviennent réellement à l'alimentation humaine » LoveWisdom.
« Dans l'ordre naturel, après le sevrage, on n'est pas censé prendre du lait sous aucune forme » A. Mosséri.
« Il est obligatoire de manger tous les jours des crudités, salades ou autres verdures ».
« Les aliments que l'on peut manger crus ne doivent jamais être cuits ».
« Les aliments trop concentrés en farineux et en protides encrassent l'organisme ».
« Une bêtise dite par cinq millions d'hommes reste envers et malgré tout une bêtise » A. France.

Conclusion

Il ne faut pas chercher à supprimer ou à guérir la maladie car c'est bien la maladie qui guérit le malade! La clef d'une bonne nutrition, c'est la faim et le plaisir qu'on tire à manger avec la faim. Il n'existe pas de méthode plus efficace d'accroissement de l'élimination que celle du repos. La maladie n'est pas héréditaire, mais les prédispositions le sont. Pour maintenir une bonne santé, le corps réclame la lumière naturelle, l'air, la chaleur, l'eau, l'exercice, le repos et le sommeil, l'équilibre émotif et le régime approprié. Mais trop ou trop peu de l'autre produirait l'énervation. Les aliments cuits ne sont pas la seule cause, mais la principale cause des maladies, avec les poisons, les médicaments, la peur, l'anxiété, etc. Pour subjuguer et annihiler la maladie, il faut faire mourir l'homme factice. Les cellules malades ou cancéreuses mourront d'elles-mêmes de la sorte. Il ne faut jamais supprimer un symptôme, car il représente une élimination utile. L'aliment spécifique humain est le fruit mûr, cru, naturellement bien sucré. Les légumes jeunes devront être préférés, consommés crus, étant plus faciles à assimiler car les fibres seront tendres.

Nous sommes le résultat de ce que nous mangeons, de ce que nous buvons, de ce que nous respirons et de ce que nous pensons. Une nourriture vivante est fraîche, consommée non cuite et composée de jeunes pousses, de fruits et de légumes crus, de végétaux sauvages, d'algues, d'oléagineux et de fruits secs. L'énergie vitale est directement conditionnée par la qualité nutritionnelle de nos aliments, et aussi par la qualité de l'air que nous respirons. Manger peu, absorber toutes sortes d'aliments crus (salades, fruits, œufs) et respirer de l'air pur. Le repos est créateur de vie.

Voir aussi

Liens internes

Liens externes

Bibliographie

  • Le Jeûne de H.-M. Shelton, aux éditions Courrier du Livre.
  • Les Combinaisons alimentaires et votre santé de H.-M. Shelton, aux éditions Courrier du Livre.
  • La Santé par la Nourriture de A. Mosséri, aux éditions Courrier du Livre.
  • La Nourriture idéale et les Combinaisons simplifiées de A. Mosséri, aux éditions Courrier du Livre. ISBN 9782702900321
  • Santé, mensonges et propagande de Thierry Souccar et Isabelle Robard, aux éditions Seuil. ISBN 9782020573726
  • Lait, mensonges et propagande de Thierry Souccar, Thierry Souccar Éditions. ISBN 9782916878027
  • Ces étonnantes graines germées de Max Labbé, auto-édité.
  • Pesticides, révélations sur un scandale français de Fabrice Nicolino et François Veillerette, aux éditions Fayard. ISBN 9782213629346
  • Additifs alimentaires, danger ! de Corinne Gouget, Éditions Chariot d'Or. ISBN 9782911806698
  • Mastiquer, c'est la santé de France Guillain, aux éditions Jouvence.
  • Et si c'était le gluten ? par Philippe Barraqué, aux éditions Jouvence.
  • Les 7 péchés capitaux de notre alimentation de Marcel Dunand, aux éditions Jouvence.
  • Le sucre ou la vie de Bruno Kleiner, Éditions Vivez Soleil. ISBN 2880583845
  • L'alimentation plaisir du Dr Christian Tal Schaller et Johanne Razanamahay, Éditions Vivez Soleil. ISBN 2880584108
  • Comment revire par le jeûne du Dr H. Lützner, aux éditions Terre Vivante.
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