Bicyclette : Différence entre versions

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(2 pays nordiques sont adeptes du vélo toute l'année : Danemark et Pays-Bas)
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Il n'est pas possible de transporter son vélo sur les lignes du réseau TCL, y-compris sur les tram (alors que le projet prévoyait des plateformes spéciales) sauf dans les funiculaires et sur la ligne de métro C, en respectant quelques règles (accès uniquement par les escaliers, circulation dans les couloirs à pied, toujours tenir son vélo à la main, ne pas encombrer les couloirs
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Un des avantage de la transformation de l'ancienne ligne de l'Est en tramway est qu'on y ai associé une piste cyclable, permettant d'accéder en toute sécurité au centre ville.
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Version du 4 janvier 2010 à 18:10

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Une bicyclette (aussi appelée un vélo) est un véhicule terrestre composé de deux roues alignées (d'où elle tire son nom), d'un système de propulsion pédestre formé d'une chaîne réunissant un pédalier composé de deux pédales et d'une roue dentée solidaire située sur le cadre et un pignon situé sur la roue motrice, généralement l'arrière. La force motrice est fournie par un humain (le cycliste) en position assise ou couchée, par l'intermédiaire de pédales. La bicyclette est l'un des principaux moyens de transport dans de nombreuses parties du monde. Sa pratique, le cyclisme, constitue également un sport, un moyen de déplacement simple et non polluant, et un loisir populaire.


Introduction

L'ordre de grandeur habituel des vitesses de déplacement à bicyclette est de 16 à 32 km/h. À titre de comparaison, la vitesse moyenne de la voiture en agglomération est de 15 à 20 km/h. Sur un vélo de course rapide, un cycliste raisonnablement entraîné peut atteindre environ 50 km/h sur un parcours horizontal, durant de courtes périodes. La plus grande vitesse jamais atteinte sur du plat, fut atteinte par le Canadien Sam Whittingham en 2001, constituant le record du monde avec 130 km/h, sur son vélo couché hautement aérodynamique. Ceci constitue le record toutes catégories pour les véhicules à propulsion humaine.

Une vélomobile est une extension de la bicyclette pratique facile et plus rapide permettant d'accéder à l'interurbain ou aux grandes randonnées.

Avantages du vélo

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On peut pratiquer le vélo pour une foule de raisons, économiques, pratiques, sportives, mais le principal bienfait que le cycliste quotidien constatera sera sur sa santé. Rappelons que l'OMS préconise un exercice quotidien de 30 minutes, le déplacement en vélo permet de respecter cette préconisation en temps masqué.

Quelques comparaisons

Par rapport à la voiture

Le vélo présente de nombreux avantages par rapport à la voiture.

Le premier avantage est bien entendu le coût. Le coût interne comprend le prix d'achat, le carburant si nécessaire, les assurances, les taxes diverses, l'entretien, les réparations, le coût de stationnement.

Un petit tableau pour résumer

voiture vélo
coût interne* moyen au km 0,4 € /km 0,05 € /km
coût externe construction et entretien des routes et des autoroutes, pollution de l'air, effet de serre, accidents, embouteillage, stress, manque d'exercice physique entretien des routes : pas spécialement du macadam, terre battue

En comptant le temps de travail nécessaire pour gagner de quoi couvrir tous les coûts liés à la possession d'une voiture, on peut déterminer la vitesse généralisée de l'automobile, qui est, selon les modes de calculs, comprise entre 6 et 20 km/h.

D'autres avantages peuvent être trouvés pour le vélo :

  • l'amélioration de la santé
  • le plus faible encombrement
  • la pollution limitée en terme de rejet de gaz à effet de serre
  • une pollution sonore presque nulle
  • l'absence de consommation d'énergie fossile pour son utilisation (mais pas pour sa fabrication)
  • il est beaucoup plus facile de garer son vélo en ville que son auto

Une bonne alternative au transport automobile est la combinaison du transport ferroviaire pour les longues distances avec le déplacement en vélo pour les plus courtes distances. En effet, on peut embarquer gratuitement son vélo dans les TER (la plupart d'entre eux comportent d'ailleurs des emplacements prévus pour les vélos), puis l'utiliser pour se rendre à la destination finale depuis la gare. Ceci permet une économie d'argent: plus de frais d'essence, de péage ni de stationnement. Bien souvent, cela permet également de gagner du temps: on arrive directement dans le centre-ville, et on peut facilement rejoindre sa destination finale en vélo.

Dans bien des cas, les déplacements urbains en vélo sont significativement plus rapides qu'en transports en commun ou qu'en auto.

Efficacité par rapport à la marche à pied

Par rapport à la marche à pied, le vélo est trois fois plus efficace à effort égal et entre trois et quatre fois plus rapide. On a également calculé qu'en termes de conversion en mouvement de l'énergie issue de la nourriture, il s'agit d'une forme de locomotion plus efficace que n'importe quel organisme biologique. Voir : Science of Cycling: Human Power: page 1 (en anglais).

Les différents types de vélos

Les vélos traditionnels

Bike2.jpg

Le vélo de ville a une position droite et confortable pour faciliter la vision autour de soi et éviter les voitures. Il est muni de sacoches, panier et/ou porte-bagages afin de transporter des objets. Ses pneus sont assez larges pour garder l'équilibre à faible vitesse et lisse pour éviter de trop adhérer à la route et freiner le vélo.

Le VTT (Vélo Tout Terrain) est destiné aux balades dans les sentiers, pour cela il est munis de pneus larges et cramponnés afin de bien adhérer au terrain et de garder l'équilibre dans toutes les situations. Sa position est semi-couchée ; le conducteur garde une bonne visibilité, mais ne gêne pas l'aérodynamisme du vélo et donc gagne facilement en vitesse pour se faire plaisir.

Le vélo de course est conçu pour la vitesse en faisant le moins d'effort possible. Il est léger, ses pneus sont étroits et lisses, évitant le contact avec la route. La position du cycliste aérodynamique est couchée au maximum, il a la tête dans le guidon.

Le VTC (Vélo Tout Chemin) est intermédiaire entre le vélo de ville et le VTT. Du vélo de ville il garde la position droite et confortable. Du VTT, il tient les pneus un peu plus larges qui permettront d'accéder à des sentiers de terre battue et de sortir des routes goudronnées, sans pour autant s’aventurer dans les bois.

Les vélos couchés

Un vélo couché est un vélo sur lequel le cycliste pédale en position couchée, le pédalier étant situé à l'avant du vélo. Il existe de très nombreux types de vélo couché. Le record de vitesse est de 130km/h. Ce vélo est interdit de compétition internationale par l'Union Cycliste Internationale depuis 1932, il va trop vite...

Un tricycle couché est un vélo couché à 3 roues.

Une vélomobile est techniquement un tricycle couché caréné. Elle est au vélo ce que la voiture est à la moto.

Les vélos à assistance électrique (VAE)

Les véhicules à propulsion musculaire avec assistance électrique, bien que peu connus, commencent à se développer en Europe alors qu'ils sont utilisés depuis plusieurs années dans des pays tels que la Chine et dans une mesure moindre en Europe du Nord.

La demande croissante dans le monde a engendré une augmentation de la qualité et une baisse des prix de ces véhicules. Aujourd'hui, la meilleure motorisation existante est un moteur dit "brushless" c'est-à-dire sans contact à balai, qui remplace le moyeu de la roue avant ou arrière.
Il existe en France de plus en plus de revendeurs de ce type de moyen de transport. Les avantages sont les mêmes que ceux d'un vélo classique : économique, rapide en milieu urbain, facile à garer, n'émet pas de polluants atmosphériques à l'utilisation et ... bon pour la santé. Par ailleurs, lorsque la distance le permet, il est utile pour aller à son travail, sans arriver en sueur.

L'avantage supplémentaire est le fait de pouvoir se déplacer sans subir une fatigue excessive, ce qui est intéressant lors des trajets travail domicile, surtout si le trajet comporte des côtes ou de fréquents STOPS qui nécessitent autant de relances.

Le principal inconvénient est le poids, plus important à cause des batteries (de l'ordre de 25 kg au total pour les plus légers et en progrès constant), mais peu sensible en raison de l'assistance. L'autonomie moyenne est de l'ordre de 20 à 100 km et ils se rechargent pour un prix dérisoire en quelques heures. Les batteries génèrent de la pollution pour leur fabrication (énergie et matières premières), pour leur recharge, et par les déchets qu'elles représentent en fin de vie (en particulier le plomb.)

La législation concernant ces vélos (VAE) est la même en France que celle concernant nos bons vieux vélos, pourvu que l'assistance ne fonctionne que quand on pédale et se coupe à partir de 25 km/h. 32 km/h pour le Canada. Au-delà de 25 km/h, on bascule dans la catégorie Vélomoteur. Rappel: moins de 45 km/h, port du casque et assurance obligatoire. Il requis une puissance de 250 W nominal pour reste dans la catégorie.

Le principal inconvénient demeure le prix : ces VAE sont à peine moins chers que les cyclomoteur ou les scooter.

Faire du vélo

En plus des associations, des magasins de vélo, des supermarchés qui proposent parfois de louer des vélos, certaines villes ont mis en place des initiatives pour faciliter la location ou l'emprunt ou la réparation et l'entretien des bicyclettes. Quelques exemples :

À Toulouse

L'association "Vélorution !" entretient les vélos dans 2 ateliers et sur certains marchés. Garages volants sur les marchés (s'il ne pleut pas) de 10h à 13h : tous les mardis au marché bio, place du Capitole ; tous les mercredis au marché de cristal, à l'entrée de la rue de la concorde et en face du Decatlon ; tous les jeudis au marché St Cyprien, entre la poste et le marché. L'atelier de Rangueil (sur le campus au PAUL associatif) est ouvert les mardis et jeudis de 14h à 18h, l'atelier de Myrys est ouvert tous les jeudis soir de 19h à 22h (12 rue Ferdinand Lassalle). L'association vend aussi des bicyclettes d'occasion à l'atelier de Myrys les mardis, mercredis et vendredis soir de 17h à 20h et les jeudis de 19h à 22h. L'adhésion est à 5 € par an, une participation libre et nécessaire est demandée à chaque visite (fruits, légumes, jus, viandes, poissons, laitages, bouquins, etc. et au pire de l'argent). Les bénévoles (minimum 4h par an) ont accès étendu aux ateliers et aux matériels (prêts de bicyclettes, tricycles, rosalie, charettes, prix coûtant pour le consommable, etc.) ; pour tout renseignement complémentaire contacter velorutiontoulouse@no-log.org

À Lille

Au moins deux services de location existent:

  • Chti Vélo, situé près de la gare, des vélos vert pomme
  • les vélos de l'A.E.U ( Association d'Entraide Universitaire ), situé boulevard Vauban, des vélos orange
  • Cyclogreen, location de Vélos à Assistance Electrique, situé 58 rue Gustave Delory, à 5 mm à pieds de la gare Lille Flandres.
  • et il y en a plein d'autres www.lille.fr

À Lyon et Rhône-Alpes

Transport régionaux

Beaucoup de gares sont aménagées pour faciliter l'utilisation des trains et du vélo.

Circulation dans la métropole lyonnaise

La Communauté urbaine de Lyon a mis en place un réseau de voies et pistes cyclables cohérent et dense.

transport en commun lyonnais : TCL

Il n'est pas possible de transporter son vélo sur les lignes du réseau TCL, y-compris sur les tram (alors que le projet prévoyait des plateformes spéciales) sauf dans les funiculaires et sur la ligne de métro C, en respectant quelques règles (accès uniquement par les escaliers, circulation dans les couloirs à pied, toujours tenir son vélo à la main, ne pas encombrer les couloirs de circulation).

Un des avantage de la transformation de l'ancienne ligne de l'Est en tramway est qu'on y ait associée une piste cyclable, permettant d'accéder en toute sécurité au centre ville.

Location et prêt : les vélo'V

Un service d'emprunt de vélos (Velo'v), a été mis en place en 2005. Des stations sont densément réparties dans tout Lyon intra-muros ainsi que dans Villeurbanne.
Ce service a été mis en place à la demande de la municipalité par l'entreprise JC Decaux en contrepartie de l'augmentation du nombre de mobiliers urbains publicitaire (abri-bus, sucette). Le succès (10 00 utilisateurs espérés, 70 000 estimés) provoque des saturations de certaines stations, par exemple le matin près des campus universitaires. Les possesseurs d'une carte de transport en commun (TCL) peuvent utiliser ce service, sinon, les utilisateurs doivent acheter une carte à l'année (5 €) ou utiliser au coup par coup leur Carte bancaire (fiabilité plus aléatoire). Les 30 premières minutes sont gratuites, ensuite le tarif varie jusqu'à 2 euros de l'heure ! Les nombreuses stations permettent cependant de reposer un vélo puis en reprendre un autre toutes les 30 min... À noter que l'engouement suite au succès du service, les Lyonnais utilisent désormais de plus en plus leur propre vélo : le nombre de cycliste a doublé depuis la mise en place de ce service.

À Poitiers

La Communauté d' Agglomération de Poitiers met à disposition des vélos pour 5€ par mois pour les étudiants, et pour 7,5€ par mois pour les autres, ou bien à 1€ par jour. Vous pourrez louer ces vélos au Point Vélo (13 rue du Chanoine Duret) ou bien dans un certain nombre de stationnements comme Carnot, De Gaulle ou Blossac. À noter que pour les étudiants vous pourrez aussi vous en procurer sur le campus et à vélo campus à l' Hotel de Ville.

À Grenoble

  • Un P'tit vélo dans la tête promeut l'usage du vélo depuis 1994. Elle est à l'origine du Véloparc Gare qui fut ouvert en 1999. Cette association propose un atelier de recyclage de vélo et d'apprentissage de la mécanique.


  • Metro Vélo loue des vélos sur Grenoble et son agglomération.

À Paris et en Île de France

L'utilisation du RER est permise aux vélos, et un fourgon est en général réservé à ceux-ci (bien réperé sur les nouvelles rames par un cercle vert entourant le pictogramme "cycle")

Le Velib' à Paris est un système de location à l'heure des vélos au moyens de borne automatique. Ces vélos restent lourds, les vitesses assez courtes. Les vélos contiennent des batteries, se qui posera des problèmes au moment de leur destruction. L'installation des bornes automatiques se fait souvent à la place de place de parkings là ou il y a souvent de la place sur le trottoir. Ces manœuvres sont discutables du point de vue de l'écologie: par exemple, les voitures mettent plus de temps à trouver une place, et donc consomment plus d'essence.

À Montréal

Un projet-pilote d'emprunt de vélos a vu le jour dans le quartier du plateau mont-royal. La ville étudie la possibilité d'étendre ce programme. À suivre...

Il est permis de monter son vélo à bord du métro de montréal dans certaines plages horaires. Seul le wagon à la tête du train doit être utilisé à cet effet. Les trains de banlieue de la région métropolitaine de montréal acceptent également les vélos sur certaines rames prévues à cet effet. Par conséquent, il vaut mieux planifier ses déplacements à l'avance si on désire emprunter les trains de banlieue de la STM avec son vélo.

La ville de Montréal a aussi mis sur pieds un système de vélo en libre-service: les Bixi

Le vélo en hiver?

Dans certaines régions plus éloignés de l'équateur où le climat hivernal est plus rude, on associe le vélo à une activité estivale et un peu moins à un mode de transport estival, à l'exception notable des pays que sont le Danemark et les Pays-Bas. Dans un pays enseveli sous la neige plus de 5 mois par année, l'idée d'utiliser un vélo comme mode de transport hivernal ne fait pas l'unanimité. Encore moins s'il est question de percevoir le vélo en hiver comme activité récréative! Or, le vélo sous la neige fait de nombreux adeptes et si on se fie à ces observations au creux de l'hiver dans certains centre-villes septentrionaux les hiverno-cyclistes semblent se multiplier d'année en année.

Certains insistent à utiliser tout au long de l'hiver un moyen de transport qu'ils trouvent écologique plutôt que de se résigner à l'utilisation de la voiture durant les mois les plus froids de l'année. D'autres apprécient l'effort physique supplémentaire et la plus grande agilité requise qui est associée au vélo d'hiver. D'autres aiment relever le défi que représente rouler à vélo quotidiennement dans des conditions qui apparaissent impossibles. Il semble que l'hiverno-cycliste soit avant tout volontaire à se livrer à cette expérience semblablement difficile.

Bien évidemment, il s'agit là d'une activité bien différente de l'utilisation d'un vélo sous le soleil. Le vélo sous la neige requiert de l'équipement en fonction des conditions météo. Il existe des pneus cloutés pour la glace. Deux écoles de pensée existent sur la largeur des pneus à utiliser; Ultra-fins pour fendre la neige ou ultra-larges pour être soutenu d'avantage. Les sur-vêtements utilisés seront d'une importance primordiale pour le confort du cycliste également.

Un soin particulier devra être apporté à l'entretien du vélo pour contrer les effets de la glace, de la neige et du sel dans tous les mécanismes du vélo. Une chaine de vélo glacée ne tourne pas aussi rond qu'une belle chaîne neuve, huilée à 28 degrés sous le soleil. Certains choisissent alors des vélos à vitesse unique, outrepassant les fragilités et complexités des systèmes de changement de vitesse. Les rapports de vitesses utilisés pour le vélo en hiver seront plus faibles, permettant de creuser plus facilement dans la neige. D'autres trouveront des manières d'empêcher la glace d'atteindre la chaîne, etc. La technique de conduite du vélo sera également différente. Il est difficile de prendre un virage à vitesse soutenue, l'équilibre est plus précaire, etc.

La pratique du vélo en hiver requiert une vigilance toute particulière en ce qui concerne la sécurité de la route. La visibilité est réduite, les distances de freinages sont largement augmentés, les chutes sont plus fréquentes. Le cycliste agira alors en conséquence.

En somme, il n'est pas impossible de rouler à vélo dans des conditions météo qui sembleraient autrement impraticables. Certains diront même qu'il s'agit là d'une activité : Agréable et écologique!

Sécurité

Sécurité passive

Le port du casque à vélo n'est pas obligatoire dans tous les pays, et il bien qu'étant le seul dispositif de protection de la tête en cas de choc, il ne protège pas de manière optimale en cas de choc sur les cotés de la tête (car principalement conçu pour un choc sur le sommet du crâne, alors que la très grande majorité des accidents incluent des chocs sur le coté). L'utilisation d'un casque intégral peut pallier ce problème. Un casque est prévu pour subir un accident, mais pas plusieurs (suite à un choc, même minime, les capacités d'absorption du casque sont réduites). Changez-le après qu'il ait reçu un choc. Évitez d'acheter un casque d'occasion qui aura peut-être déjà été choqué. Il faut cependant relativiser le risque; en France les statistiques de la sécurité routière mettent en évidence une fréquence moindre de traumatisme crânien pour les accidentés cyclistes que pour les automobilistes ou piétons. Il existe par contre un lien entre le taux d'accidents concernant les cyclistes et le nombre de cyclistes en circurlation : Les pays-bas, qui ont le taux d'utilisation du vélo le plus élevé au monde, ont aussi le taux d'accident concernant les cyclistes le plus faible. Le port du casque pour la pratique sportive (VTT, route) est par contre fortement conseillé.

Les gants protègent les mains en cas de chute. Les protège-genoux et protège-coudes ont la même utilité, surtout pour les enfants.

Vérifiez que les freins sont en bon état, équilibrés (sur chaque roue, les deux patins doivent être à distance égale des deux côtés, et entre l'arrière et l'avant) avant de partir. Si des blocages intempestifs de la roue arrière sont constatés, les relâcher, sans pour autant pénaliser excessivement la capacité et la facilité à ralentir efficacement, en pente avant les intersections tout particulièrement. On doit sentir de façon satisfaisante l'action des patins sous les doigts quand on freine.

Pour rouler la nuit ou par temps de brouillard, vous pouvez:

  • équiper votre vélo d'un éclairage avec dynamo ou piles
  • mettre des bandes réfléchissantes sur vos vêtements
  • placer un maximum de catadioptres, autrement nommés réflecteurs, (au niveau du phare arrière, dans les rayons, sur les pédales)
  • éviter de préférence les vêtements de couleur sombre

Vous pouvez aussi vous munir d'un rétroviseur facilement (dé)montable sans outils.

Sécurité active

Laissez tout le temps la priorité aux piétons (même en dehors des passages cloutés), soyez polis à 200%.

En ville, méfiez-vous des "aménagements dits cyclables" car le taux d'accident y est élevé (spécialement aux intersections, bande le long des files de stationnements, contre-allées, entre autres). Il est en effet de 10 à 1000 fois plus important que sur une chaussée sans aménagement. N'allez pas sur les trottoirs non plus du fait des risques élevés de confrontation avec les piétons (sorties d'immeubles et de commerces).

En ville, vous pouvez rouler au milieu de votre voie sur la chaussée (même à deux de front, mais pas trois), pour que les automobilistes vous voient et laissent un écart suffisant.

Un des principaux risques d'accident pour le cycliste est le choc avec un poids lourd ou avec une portière qui s'ouvre à votre arrivée. Soyez donc très vigilant à proximité des camions, bus et des véhicules en stationnement, et ayez toujours les mains prêtes à freiner, le mieux étant de s'en écarter systématiquement.

L'automobiliste se considère parfois comme le roi de la route, il juge inconcevable de devoir céder la priorité à un cycliste. Attendez-vous donc toujours à ce qu'une voiture vous coupe la priorité (très fréquent dans les ronds-points).

Aménagements adaptés aux vélos

Dans ce paragraphe, vous allez trouver la liste des aménagements possibles en France. Depuis l'entrée en vigueur du concept Code de la Rue dans le Code de la Route en juillet 2008, les cyclistes ont désormais le loisir de trouver à leur disposition tout un panel d'aménagements en leur faveur. Souvent méconnus du public, ces aménagements ont vocation à être développés de plus en plus dans les années à venir.

Il existe trois catégories d'aménagements en faveur des cyclistes : les aménagements propres aux cycles, les aménagements mixtes et les zones apaisées.


1- Les aménagements propres aux cycles : les bandes cyclables et les pistes cyclables

  • Les bandes cyclables : ce sont des voies de circulation réservées aux cycles à droite de la chaussée et sur la chaussée. Elles sont matérialisées par une ligne blanche et un panneau à fond bleu.Elles sont unidirectionnelles, ce qui signifie qu'il n'y a qu'un sens de circulation pour le vélo dans ces bandes cyclables. La circulation et le stationnement des véhicules motorisés y sont interdits. L'aménagement permettant la circulation des cycles dans l'autre sens sera une bande cyclable à contre sens appelée "double sens cyclable".
  • Les pistes cyclables : ce sont des voies de circulation réservées aux cycles mais séparées de la chaussée par un obstacle (ilôt, bordures, plantations). Elles peuvent être soit unidirectionnelles soit bidirectionnelles (circulation des cycles dans les deux sens). Elles sont matérialisées par une ligne blanche et un panneau à fond bleu. La circulation et le stationnement des véhicules motorisés y sont interdits. On peut trouver quelques fois, à tort, des pistes cyclables sur des trottoirs, ce qui apporte souvent des conflits entre les piétons et les cylistes, mais aussi des incompréhensions sur la légalité de circuler sur les trottoirs. La circulation des cycles sur les trottoirs étant interdite (en dehors des aménagements marqués) aux personnes de plus de 8 ans.


2- Les aménagements mixtes : les voies bus ouvertes aux cycles et les voies vertes


  • Les voies bus ouvertes aux cycles : ce sont des voies réservées à la circulation des bus (et parfois des taxis) dont la circulation des cycles peut y être autorisée. Les sens de circulation est le même que celui des bus y circulant.
  • Les voies vertes : ce sont des voies réservées aux piétons et cyclistes (et parfois des cavaliers) dont la circulation motorisée est interdite. Elles peuvent se situer en milieu rural (ancienne voie ferrée, chemin de halage) mais aussi en milieu urbain. Il ne faut pas confondre ces voies vertes avec des trottoirs.

3- Les zones apaisées : les aires piétonnes, les zones de rencontre et les zones 30


  • Les aires piétonnes : sous ce nom, on trouve souvent d'autres noms (zone piétonne,secteur règlementé ...)mal utilisés. Elles sont réservées à la circulation des piétons. Les cyclistes sont autorisés à y circuler à la vitesse du pas (vitesse de la marche à pied). Les cyclistes doivent respecter les sens de circulation quand la circulation motorisée est ponctuellement autorisée.Les piétons sont prioritaires sur les cyclistes.
  • Les zones de rencontre : nouvelles zones créees en 2008, ce sont des zones ouvertes à la circulation motorisée (vitesse de 20 km/h) mais avec une priorité des piétons sur les autres modes de déplacements, y compris les vélos. Les cyclistes respectent les sens de circulation. A partir de juillet 2010, les collectivités doivent autorisés tous les doubles sens cyclables dans les rues à sens unique des zones de rencontre.
  • Les zones 30 : ce sont des zones ouvertes à la circulation motorisée (vitesse de 30km/h) où les piétons doivent circuler sur les trottoirs et les cyclistes sur la chaussée.Les cyclistes respectent les sens de circulation. A partir de juillet 2010, les collectivités doivent autorisés tous les doubles sens cyclables dans les rues à sens unique des zones 30.

Vélo et train

Le vélo serait sans doute le moyen le plus complémentaire du transport ferroviaire, et il est parfois possible :

  1. de transporter souvent gratuitement son vélo dans le train
  2. de louer des vélos dans les environs de quelques gares
  3. d'expédier son cycle par la compagnie de chemins de fer (cette solution est assez onéreuse : aux alentours de 50 € en France)

Il existe de grandes différences suivant les régions et suivant les pays qui peuvent aller de l'attention à la simple politique de communication. Dans certains cas, il existe des abris à vélo en gare, parfois même des enclos protégé (box). Important lorsqu'on utilise le train, il faut bien faire attention au fait que les transports ferroviaires peuvent-être interrompus, et remplacés par des autocars ou autobus (suite à des mouvements sociaux ou des interruption de trafic), lesquels peuvent ne pas assurer le transport de cycle.

Il est à noter que la SNCF demande à ses utilisateurs désirant porter un vélo à bord d'un TGV de placer son vélo dans une housse ou une boite prévue à cet effet. Il en est de même pour VIA Rail Canada.


Vol

Malheureusement, le vol des vélos est courant. Quelque soit le système antivol, sachez qu'il faut au maximum quinze minutes pour le couper avec une scie à métaux. Quasiment personne n'interviendra, car le voleur peut prétendre qu'il a perdu ses clefs de vélos. Même si vous reconnaissez votre vélo dans la rue avec quelqu'un dessus, vous n'avez pas le droit de le reprendre, car il appartient à celui qui est dessus. Le reprendre de force serait un vol avec violence, ce qui est pire que le vol avec effraction. Vous pouvez tout au plus demander qui lui a vendu ce vélo ou lui demander son identité.

Quelques conseils contre le vol :

  • Investissez dans un (ou plusieurs) cadenas solide(s), le seul qui soit vraiment solide est le U, et il faut le prendre avec les deux barres latérales étroites (sinon on l'ouvre facilement avec un petit crik de voiture...)
  • Attachez systématiquement le vélo, même pour quelques minutes
  • Attachez le vélo avec un cadenas à un support fixe et solide, même s’il est dans une cour ou une cave fermée. Veillez à ce que l'objet sur lequel vous attachez le cadenas soit aussi solide sinon plus solide que votre cadenas, car il est parfois plus facile de couper l'acier sur lequel le cadenas est attaché que l'acier du cadenas lui-même.
  • Chez vous, préférez ranger le vélo dans un local fermé ou sur votre balcon. (attention, les vols de vélo au premier étage sont fréquents)
  • Dans un lieu public, placez votre vélo dans des endroits où il y a souvent du passage.
  • Le marquage antivol consiste à graver un numéro sur le vélo. Si il est volé puis retrouvé par la police, il pourra ainsi être rendu à son propriétaire. Renseignez-vous auprès des associations locales de vélo. Le gravage est facturé d'un montant qui varie selon le lieu, en général entre 4 et 7 euros. À montréal; Il est possible de gratuitement faire l'emprunt d'un appareil de burinage au poste de police de quartier et buriner vous-même votre propre vélo (ainsi que tous vos biens de valeur).
  • Pensez à ne rien laisser sur le vélo : même les lampes peuvent se voler.
  • retirez la scelle ou une roue (vérifiez qu'elle est bien fixée avant de repartir) : un vélo inutilisable est moins intéressant à voler.
  • Le vol de vélos étant principalement motivé par la revente de pièces détachées il est d'autant plus important que toutes les pièces du vélo soient solidifiées. Utilisez des collets de plomberie ou autres moyens pour empêcher l'ouverture des attaches de roues/sièges à enlèvement rapide ("quick-release") ou remplacez carrément ces attaches par des simples écrous et boulons de taille convenable.
  • Certaines assurances couvrent le vol de vélo. Pour en bénéficier, gardez la facture du vélo et portez tout de suite plainte à la police en cas de vol.
  • Il n'est pas utile d'utiliser un VTT flambant neuf qui "attire" le regard. Un bon vieux vélo ayant une bonne quinzaine d'années acheté dans une brocante suffit largement. À ce sujet, il n'existe pas encore de loi nous empêchant de posséder plus d'un vélo : Si vous faites façe à un dilemne, gardez de côté votre beau vélo de route/VTT pour les sorties ensoleillées du dimanche et rafistolez-en vous un de moindre valeur (apparente ou réelle) pour les déplacements dans la jungle urbaine.

Aspects techniques

La diversité des vélos est de plus en plus connue. Certaines pièces sont cependant facilement identifiables. Le cadre en est la partie principale, il consiste généralement en un triangle sur lequel le poids du cycliste est réparti à partir du point d'appui de la selle où est assis le cycliste, associé à un second triangle plus petit sur lequel est monté la roue arrière : les haubans. La roue avant est fixée au cadre par une fourche, la partie haute de celle-ci est monté sur des roulements à billes au travers d'un tube presque vertical à l'avant du cadre. Le sommet de la fourche constitue une potence à laquelle est fixé le guidon. De nombreux modèles de vélos modernes sont toutefois conçus sans haubans, remplacés par un système suspendu ressemblant à une fourche à l'horizontale. La fourche avant peut également être suspendue. De tels vélos « tout-suspendus » sont conçus pour la pratique en terrain inégal comme le vélo tout terrain ou apporter un confort supplémentaire.

L'énergie est fournie par le cycliste par l'intermédiaire de ses pieds, avec lesquels il appuie sur les pédales, reliées à un ou plusieurs engrenages au niveau du pédalier : le ou les plateaux. L'engrenage arrière, le pignon (mais il y a souvent plusieurs pignons de tailles différentes fixés ensemble, on parle alors de cassette) est monté sur la roue arrière par un mécanisme à cliquet anti-retour : la roue-libre. La transmission du mouvement entre un plateau et un pignon est assurée par la chaîne. En fonction du type de pratique pour laquelle le vélo est conçu, la cassette peut être « plate » comme sur un vélo de route, ce qui veut dire qu'entre deux pignons successifs, il n'y a qu'une dent de plus sur le plus grand ; sur d'autres types de vélos comme les VTT, le nombre de dents peut augmenter bien plus vite entre les pignons successifs. L'ensemble des éléments compris entre les pédales et la roue arrière est désigné par le terme de transmission.

La possibilité de changer de vitesses constitue l'une des avancées majeures de la technique cycliste. Le travail des jambes est plus efficace à certaines vitesses de rotation (ou cadences) du pédalier. Disposer d'une possibilité de sélection plus étendue des rapports de vitesses entre plateaux et pignons permet au cycliste de conserver sa cadence de pédalage la plus proche d'une valeur désirée. C'est pourquoi les vélos de route sont équipés de pignons « plats », de manière à permettre au cycliste de bien contrôler sa cadence en fonction du petit nombre de configurations de terrain qu'il pourra usuellement rencontrer. Le dérailleur est un dispositif simple qui pousse la chaîne latéralement de manière à l'obliger à changer de pignon (ou de plateau pour le dérailleur avant). Les côtés des pignons eux-mêmes ont une forme spécifique avec des indentations aux dimensions des maillons de la chaîne, pour « attraper » la chaîne lorsqu'elle est poussée contre le pignon, l'engageant ainsi sur les dents de ce pignon. Le système est considérablement plus simple que les systèmes plus anciens comme la bicyclette à trois vitesses, mais mirent plus de temps à être disponibles sur le marché, en raison de leur différence fondamentale avec tous les systèmes de changement de vitesses utilisés auparavant.

Le dernier des plus importants organes d'un vélo est le système de freinage. Le freinage moyeu par câble ou rétropédalage est simple et nécessite peu d'entretien.

Le principe du frein à disque est beaucoup plus puissant.

Le freinage patin est classique : Il est composé de deux poignées de frein indépendantes, commandant chacune une mâchoire venant appliquer des tampons en caoutchouc sur la jante par l'intermédiaire de câbles de frein. Les câbles sont la plupart du temps protégés dans des gaines.

Depuis les années 1950, la plupart des systèmes de freinage sont dérivés de la conception des mâchoires à tirage latéral inventée par Campagnolo. Les deux bras de la mâchoire se resserrent lorsque le câble, fixé à l'extrémité d'un des bras et passant par l'extrémité de l'autre est tendu. La pression des tampons appliqués par les mâchoires sur la jante s'équilibre grâce à un ressort qui répartit l'effort entre les deux bras de mâchoires.

L'usage de plus en plus fréquent de pneumatiques plus gros sur les VTT a fini par poser un problème : la jante et son pneumatique devenaient trop large pour passer entre les mâchoires. Dans un premier temps, le système cantilever a apporté une réponse à ce problème. Les bras de la mâchoire devenaient indépendants, tout en étant reliés par un câble court de répartition de l'effort de freinage. Le câble de commande vient alors se fixer au milieu du câble de répartition. Cependant ce système présente quelques faiblesses : si la fixation du câble de commande n'est pas centrée, l'effort est mal réparti entre les bras, et si le connecteur se décroche, le câble de répartition peut bloquer la roue brutalement en se coinçant dans les dessins du pneumatique, ce qui peut entraîner un accident si cela se produit sur la roue avant. Une solution plus adaptée au problème de la largeur des pneumatiques est le v-brake. Le câble est fixé de manière à être dirigé vers le haut de manière à ne pas pouvoir retomber sur le pneumatique, et transmet en outre de bien meilleure façon la puissance de freinage impulsée par la poignée de frein, tout en étant un peu plus facile à centrer lors du montage.

Les matériaux utilisés pour la fabrication des bicyclettes sont proches de ceux utilisés en aéronautique, l'objectif dans les deux cas étant d'obtenir une structure légère et résistante. Presque tous les vélos d'avant les années 1970 étaient faits d'un alliage d'acier et de chrome : le chromaloy (ou chromoloy). Au début des années 1980 l'aluminium connut un certain succès, notamment en raison de la baisse de son coût.

À ce jour, ce métal est probablement le plus utilisé pour des vélos de milieu de gamme. Dans le haut de gamme on utilise la fibre de carbone et le titane, mais ces matériaux sont très chers. Chaque type de matériau utilisé pour le cadre a ses avantages et ses inconvénients, bien que pour une géométrie de cadre donnée, l'ensemble des bicyclettes possèdent des qualités quasiment identiques dans leur comportement à l'effort.

Les différences les plus flagrantes entre matériaux apparaissent lorsqu'on compare leur tenue dans le temps, leur esthétique, leur capacité à être réparés et leur poids. Comme la rigidité du cadre dans le plan vertical, même pour un matériau très élastique, est d'un ordre de grandeur supérieur à celui de la rigidité des pneumatiques et de la selle, le confort du vélo se résume plutôt à un problème de choix de la selle, de la géométrie du cadre, des pneumatiques et de réglage général du vélo.

Bien que réparer un vélo soit simple dans son principe, nombre de pièces sont relativement complexes et certains préfèrent déléguer la maintenance de leur engin à des professionnels.

Toutefois, beaucoup de personnes préfèrent entretenir leur vélo autant que possible, que ce soit pour économiser de l'argent, ou tout simplement pour le plaisir de bricoler, par passion pour le vélo.


Cyclotourisme

Le cyclotourisme est le fait de découvrir des paysages, des gens et des cultures en se déplaçant à vélo que ce soit pour une courte ou longue période.

Avant de partir

  • On peut, si nécessaire, faire une fiche avec les directions à prendre.
  • Ne pas oublier de prendre des vêtements adaptés (sur soi, et rangés pour pouvoir être passés si nécessaire), y compris des pinces à pantalon si besoin. On doit être libres dans ses mouvements (éviter baladeurs qui les gênerait par exemple).
  • Se protéger intégralement les yeux contre les insectes et poussières, avec un procédé n'affectant pas la vision (clignotants des voitures...).

Bricoler le vélo

Attention, la plupart des magasins de vélo ne connaissent rien en cyclisme du quotidien (exemple).

Boite à outils

Liste de pièces


Voir aussi

Liens internes

Liens externes

Bibliographie

  • Guide du cyclisme, manuel pratique et conseil de santé (Albin Michel). ISBN 2226078363


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